Alain-Philippe Jomeau et Jean-Marie Séveno viennent ce jeudi matin d’expliquer le plus clairement possible, les futures structures d’un projet. - DR
Sans forfanterie aucune, nous avions déjà, dans TourMaG.com, annoncé les grandes lignes de ce qui devrait être la « refonte » plus moderne d’un grand réseau de distribution.
Lire : Laurent Abitbol : "On veut détruire mon projet par des mensonges !"
Alain-Philippe Jomeau (lequel avait deux grands-pères qui tenaient chacun à affubler leur petit fils de leur patronyme, juste pour le sourire) et Jean-Marie Séveno viennent ce jeudi matin d’expliquer le plus clairement possible, les futures structures d’un projet.
Parce que, expliquent-ils encore, New Coop n’en est encore qu’au stade du projet, destiné essentiellement à faire évoluer le modèle d’un réseau de distribution et de parvenir, enfin, à ce que chacun, fournisseurs et distributeurs, puissent travailler ensemble… et gagner de l’argent.
Simple.
Et accessoirement, balayer les craintes que peuvent, légitimement, éprouver certains adhérents du réseau qui craignent pour leur liberté.
Lire : Projet "New Coop" Selectour : "Nous sommes nombreux à dire Non !"
D’emblée, Jean-Marie Séveno reconnait qu’il est à la base du projet. Parce que, dit-il, il n’était plus supportable de laisser partir des revenus que "nous ne maîtrisions pas, délaissant surtout le pilotage des ventes de fournisseurs qui nous faisaient confiance".
Lire : Laurent Abitbol : "On veut détruire mon projet par des mensonges !"
Alain-Philippe Jomeau (lequel avait deux grands-pères qui tenaient chacun à affubler leur petit fils de leur patronyme, juste pour le sourire) et Jean-Marie Séveno viennent ce jeudi matin d’expliquer le plus clairement possible, les futures structures d’un projet.
Parce que, expliquent-ils encore, New Coop n’en est encore qu’au stade du projet, destiné essentiellement à faire évoluer le modèle d’un réseau de distribution et de parvenir, enfin, à ce que chacun, fournisseurs et distributeurs, puissent travailler ensemble… et gagner de l’argent.
Simple.
Et accessoirement, balayer les craintes que peuvent, légitimement, éprouver certains adhérents du réseau qui craignent pour leur liberté.
Lire : Projet "New Coop" Selectour : "Nous sommes nombreux à dire Non !"
D’emblée, Jean-Marie Séveno reconnait qu’il est à la base du projet. Parce que, dit-il, il n’était plus supportable de laisser partir des revenus que "nous ne maîtrisions pas, délaissant surtout le pilotage des ventes de fournisseurs qui nous faisaient confiance".
Un homme, femme, une voix !
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Mais finalement, le projet est tout simple. Car, ce qui n’est encore qu’au stade du projet, les deux hommes tiennent à cette différence, ne verra le jour qu’avec l’approbation unanime de l’ensemble des adhérents. D’ailleurs, une vaste campagne d’explication est prévue sur l’ensemble du réseau et toutes les questions y seront abordées.
Mais il est vrai en même temps (pour parler du Macron courant) que finalement, peu d’adhérents sont au fait des méandres de cette organisation.
Pourtant, il n’est pas question de changer quoi que ce soit aux principes fondamentaux de l’esprit (et de la lettre) du modèle de Coopérative.
Et la Coopérative gardera toujours la gestion et la direction de l’Entreprise, même si pour ce faire, son actionnariat est dilué dans l’augmentation de capital nécessaire afin de trouver les fonds indispensables à la mise en œuvre du projet.
Car New Coop, c’est aussi la défense de la marque Selectour, la possibilité d’accompagner les adhérents à transmettre leur entreprise et surtout le financement d’outils technologiques propres et privés pour le réseau.
Et il faut entre 3 et 8 millions d’euros. Qui seront fournis par les adhérents actionnaires qui souscriront à l’ouverture du capital. Uniquement les adhérents, le capital n’étant et c’est une volonté farouche, ouvert qu’aux seuls membres du réseau. Au prix nominal d’une action inchangée, à 6€ pièce.
Et sans aucun investisseurs étrangers, style Fonds de pension ou Rotschild, par exemple.
Mais il est vrai en même temps (pour parler du Macron courant) que finalement, peu d’adhérents sont au fait des méandres de cette organisation.
Pourtant, il n’est pas question de changer quoi que ce soit aux principes fondamentaux de l’esprit (et de la lettre) du modèle de Coopérative.
Et la Coopérative gardera toujours la gestion et la direction de l’Entreprise, même si pour ce faire, son actionnariat est dilué dans l’augmentation de capital nécessaire afin de trouver les fonds indispensables à la mise en œuvre du projet.
Car New Coop, c’est aussi la défense de la marque Selectour, la possibilité d’accompagner les adhérents à transmettre leur entreprise et surtout le financement d’outils technologiques propres et privés pour le réseau.
Et il faut entre 3 et 8 millions d’euros. Qui seront fournis par les adhérents actionnaires qui souscriront à l’ouverture du capital. Uniquement les adhérents, le capital n’étant et c’est une volonté farouche, ouvert qu’aux seuls membres du réseau. Au prix nominal d’une action inchangée, à 6€ pièce.
Et sans aucun investisseurs étrangers, style Fonds de pension ou Rotschild, par exemple.
Des contrats liés à la performance
Quant au pilotage des ventes, une fois encore, mais nous l’avons déjà écrit, rien de changé, si ce n’est que le réseau devrait s’appuyer sur une nouvelle forme de contrats, liés à la performance. Ce qui apparemment, séduit pour le moment, les futurs fournisseurs « loisirs ».
Encore une fois, rien de compliqué : les adhérents qui accepteront le « jeu » de suivre » les recommandations en fonction des objectifs fixés, bénéficieront d’un retour sur investissement plus conséquent. Détail intéressant, ceux qui « participeront activement » seront rémunérés, même si l’objectif n’est pas totalement atteint.
Ainsi, un adhérent qui aura « vendu » un partenaire « privilégié » sans avoir atteint totalement l’objectif de croissance touchera 100% de la sur-com…
Par acquis de conscience, alors que les élections au nouveau Conseil d’Administration ont lieu la semaine prochaine, nous avons interrogé le principal frondeur, Marc Boehm.
Lequel, malgré sa verve frontiste, reconnait que, de toutes manières, le projet New Coop verra le jour, parce qu’il « est indispensable de se tourner vers une modernité indispensable du secteur ».
Mais il demande juste la mise en place de quelques… garde-fous !
Encore une fois, rien de compliqué : les adhérents qui accepteront le « jeu » de suivre » les recommandations en fonction des objectifs fixés, bénéficieront d’un retour sur investissement plus conséquent. Détail intéressant, ceux qui « participeront activement » seront rémunérés, même si l’objectif n’est pas totalement atteint.
Ainsi, un adhérent qui aura « vendu » un partenaire « privilégié » sans avoir atteint totalement l’objectif de croissance touchera 100% de la sur-com…
Par acquis de conscience, alors que les élections au nouveau Conseil d’Administration ont lieu la semaine prochaine, nous avons interrogé le principal frondeur, Marc Boehm.
Lequel, malgré sa verve frontiste, reconnait que, de toutes manières, le projet New Coop verra le jour, parce qu’il « est indispensable de se tourner vers une modernité indispensable du secteur ».
Mais il demande juste la mise en place de quelques… garde-fous !