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IATA juge "désastreuse" la hausse de la taxe Chirac
Une pétition lancée sur Internet à l’initiative commune de tous les opérateurs touristiques - qui a réuni en trois semaines près de 36.000 signatures ! - a finalement convaincu le gouvernement belge.
Lors de sa réunion hebdomadaire vendredi dernier, il a décidé d’abandonner le principe d’une taxe sur les billets d’avion, qui aurait dû entrer en vigueur le 1er janvier prochain et aurait pu rapporter quelque 132 millions d’euros.
Il ne s’agissait pas d’une sorte de « taxe Chirac » vouée à alimenter un fonds de développement, ni d’un prélèvement censé compenser la « trace carbonique », mais plus vulgairement d’une mesure destinée à renflouer le budget de l’Etat.
Une mesure contre laquelle l’ensemble de la profession s’était élevée avec une belle unanimité.
Une « union sacrée » comme on n’en avait jamais vue, entre agences de voyage francophones comme flamandes, tour opérateurs, compagnies aériennes et aéroports, contre une initiative qui aurait pu menacer jusqu'à 10.000 emplois.
La démocratie directe ça paye aussi !
Lors de sa réunion hebdomadaire vendredi dernier, il a décidé d’abandonner le principe d’une taxe sur les billets d’avion, qui aurait dû entrer en vigueur le 1er janvier prochain et aurait pu rapporter quelque 132 millions d’euros.
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Une « union sacrée » comme on n’en avait jamais vue, entre agences de voyage francophones comme flamandes, tour opérateurs, compagnies aériennes et aéroports, contre une initiative qui aurait pu menacer jusqu'à 10.000 emplois.
La démocratie directe ça paye aussi !