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Thai Airways se décidera-t-elle à rajouter trois vols supplémentaires au départ de Paris pour la saison hiver ? La décision se prend à Bangkok actuellement mais, souligne Gilles Ringwald le directeur commercial France, d'autres escales européennes sur aussi sur les rangs. Alors, on croise les doigts.
Pourtant Paris tient une chance sérieuse si l'on considère la remontée du yield. " L'an dernier, nous avons transporté 1% de passagers en moins mais notre chiffre d'affaires a augmenté de 8 %". Avec un taux de remplissage de 89 % en juin, 91 % en juillet et avec 102% d'advance bookings pour septembre, les trois vols supplémentaires seraient même particulièrement utiles, ne serait-ce que pour retenir la clientèle fidélisée.
Part de marché sur la destination Bangkok est de 37 %
"Notre part de marché sur la destination Bangkok est de 37 %, c'est un chiffre que je souhaite maintenir", précise Gilles Ringwald. Car la concurrence des compagnies du Moyen-Orient qui elles ont des capacités, se fait de plus en plus pressante.
D'ores et déjà la remontée mécanique du yield a eu des effets sur la distribution. La part de vente des agences en ligne est passée de 14% il y a trois ans à 7 % aujourd'hui. Le volume des sièges réservés aux tour-opérateurs est resté identique mais, de 18 TO il y a encore cinq ans, ils ne sont plus aujourd'hui que 5 à détenir des allottements. "Ceux avec lesquels nous avons établi une relation commerciale de confiance, qui nous ont soutenus pendant la crise du srars"...
Réorganisation de l'équipe commerciale
L'arrivée des vols supplémentaires coïnciderait aussi avec une réorganisation de l'équipe commerciale. La compagnie qui va passer à l'e-ticket en septembre, va également quitter les bureaux des Champs-Elysées pour s'installer à La Défense.
"Avec l'e-ticket, nous n'aurons plus besoin de l'agence pour les émissions de billets." Les quatre personnes qui y travaillent vont donc venir renforcer le service relations clientèle. "Cela tombe bien car avec les outils technologiques à notre disposition, je suis persuadé que la bataille commerciale se gagnera sur le plan du service". Et pas simplement le service à bord...
Pourtant Paris tient une chance sérieuse si l'on considère la remontée du yield. " L'an dernier, nous avons transporté 1% de passagers en moins mais notre chiffre d'affaires a augmenté de 8 %". Avec un taux de remplissage de 89 % en juin, 91 % en juillet et avec 102% d'advance bookings pour septembre, les trois vols supplémentaires seraient même particulièrement utiles, ne serait-ce que pour retenir la clientèle fidélisée.
Part de marché sur la destination Bangkok est de 37 %
"Notre part de marché sur la destination Bangkok est de 37 %, c'est un chiffre que je souhaite maintenir", précise Gilles Ringwald. Car la concurrence des compagnies du Moyen-Orient qui elles ont des capacités, se fait de plus en plus pressante.
D'ores et déjà la remontée mécanique du yield a eu des effets sur la distribution. La part de vente des agences en ligne est passée de 14% il y a trois ans à 7 % aujourd'hui. Le volume des sièges réservés aux tour-opérateurs est resté identique mais, de 18 TO il y a encore cinq ans, ils ne sont plus aujourd'hui que 5 à détenir des allottements. "Ceux avec lesquels nous avons établi une relation commerciale de confiance, qui nous ont soutenus pendant la crise du srars"...
Réorganisation de l'équipe commerciale
L'arrivée des vols supplémentaires coïnciderait aussi avec une réorganisation de l'équipe commerciale. La compagnie qui va passer à l'e-ticket en septembre, va également quitter les bureaux des Champs-Elysées pour s'installer à La Défense.
"Avec l'e-ticket, nous n'aurons plus besoin de l'agence pour les émissions de billets." Les quatre personnes qui y travaillent vont donc venir renforcer le service relations clientèle. "Cela tombe bien car avec les outils technologiques à notre disposition, je suis persuadé que la bataille commerciale se gagnera sur le plan du service". Et pas simplement le service à bord...