Selon son porte-parole, Thomas Cook Belgium ne volerait pas avec JetAir
Si le 11 janvier, déjà, Bart Brackx, le CEO de Jetair (TUI) nous avait signalé tout le mal qu’il pensait de la prise de position de Test Achats, aujourd’hui, c’est au tour de Thomas Cook d’entrer dans la danse.
Claude Perignon, porte-parole de Thomas Cook Belgium: « Nous contestons les déclarations de Test Achats quant à l’appartenance à un duopole en Belgique. Duopole que nous partagerions, selon les dire de cet organisme, avec Jetair (TUI).
Trois éléments prouvent que ces affirmations sont totalement erronées. Les marges avec lesquelles nous opérons , Jetair et nous-mêmes, sont inférieures à 2 % avant impôts. Si nous avions un accord avec notre confrère, il va de soi que nous travaillerions en commun pour relever ces marges et donc l’ensemble de nos tarifs.
Il est totalement faux de dire que nous disposons de 80 % du marché belge
Deuxièmement, s’il y avait une concordance voulue entre nous et que nous nous entendrions sur une politique de prix commune, les tarifs seraient stabilisés et supérieurs à ceux que l’on connaît aujourd’hui.
Mieux, il ne nous serait plus indispensable de publier, chaque année, plusieurs cahiers de prix par saison. Cahiers qui, notamment, adaptent à chaque fois la situation de nos offres tarifaires à l’état du marché et de la concurrence dont celle de Jetair.
Enfin, quant à nos parts de marché, il faut rester sérieux. Il est totalement faux de dire que nous disposons, Jetair et nous-même, de 80 % du marché belge.
En réalité il faut entendre par là que nous contrôlons 80 % du marché réalisé par les membres de l’ABTO , l’association belge des tours-opérateurs qui représente +/- 80 % du marché des TO en Belgique et à peine 29 % du total des vacances en Belgique.
En conclusion, Jetair et Thomas Cook, ont ensemble une part de marché de 23 % du total du tourisme organisé et individuel des Belges ».
Michel GHESQUIERE à Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be
Claude Perignon, porte-parole de Thomas Cook Belgium: « Nous contestons les déclarations de Test Achats quant à l’appartenance à un duopole en Belgique. Duopole que nous partagerions, selon les dire de cet organisme, avec Jetair (TUI).
Trois éléments prouvent que ces affirmations sont totalement erronées. Les marges avec lesquelles nous opérons , Jetair et nous-mêmes, sont inférieures à 2 % avant impôts. Si nous avions un accord avec notre confrère, il va de soi que nous travaillerions en commun pour relever ces marges et donc l’ensemble de nos tarifs.
Il est totalement faux de dire que nous disposons de 80 % du marché belge
Deuxièmement, s’il y avait une concordance voulue entre nous et que nous nous entendrions sur une politique de prix commune, les tarifs seraient stabilisés et supérieurs à ceux que l’on connaît aujourd’hui.
Mieux, il ne nous serait plus indispensable de publier, chaque année, plusieurs cahiers de prix par saison. Cahiers qui, notamment, adaptent à chaque fois la situation de nos offres tarifaires à l’état du marché et de la concurrence dont celle de Jetair.
Enfin, quant à nos parts de marché, il faut rester sérieux. Il est totalement faux de dire que nous disposons, Jetair et nous-même, de 80 % du marché belge.
En réalité il faut entendre par là que nous contrôlons 80 % du marché réalisé par les membres de l’ABTO , l’association belge des tours-opérateurs qui représente +/- 80 % du marché des TO en Belgique et à peine 29 % du total des vacances en Belgique.
En conclusion, Jetair et Thomas Cook, ont ensemble une part de marché de 23 % du total du tourisme organisé et individuel des Belges ».
Michel GHESQUIERE à Bruxelles - michel.ghesquiere@skynet.be