Thomas Cook France parveniendra-t-il à mener à bien sa réorganisation dans l'Hexagone et à reprendre du poil de la bête ?
Après avoir annoncé aux affiliés et franchisés, en juin 2013 lors de la convention de Marrakech, l'abandon de l'enseigne Jet tours pour les points de vente français du groupe, le groupe a fait part de son intention de supprimer 10 % de ses effectifs.
Un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) qui a eu beaucoup de mal à passer auprès des représentants du personnel.
Ainsi, dans un premier temps, syndicats et comité central d'entreprise (CCE) décidaient, début juin 2013, de rejeter le plan. Ils dénonçaient alors une "provocation" faite aux employés.
Quelques jours plus tard, l'Inspection du Travail (Direccte), saisie par le CCE, rendait un constat de « carence » à propos des modalité de ce PSE. Le CCE prenait alors la décision de saisir le juge du TGI de Nanterre pour demander l'annulation du plan.
Une procédure qui sera, en fin de compte, annulée fin juillet 2013. Des réunions entre la Direction et le CCE auraient permis de régler les désaccords et d'obtenir des avancées sensibles pour les salariés du groupe.
Mais tout n'est pas encore réglé et l'adoption des mesures prévues par le PSE devrait encore animer l'actualité dans les jours et les semaines à venir. Avec, comme enjeu, le futur de l'un des groupes touristiques majeurs en France.
Après avoir annoncé aux affiliés et franchisés, en juin 2013 lors de la convention de Marrakech, l'abandon de l'enseigne Jet tours pour les points de vente français du groupe, le groupe a fait part de son intention de supprimer 10 % de ses effectifs.
Un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) qui a eu beaucoup de mal à passer auprès des représentants du personnel.
Ainsi, dans un premier temps, syndicats et comité central d'entreprise (CCE) décidaient, début juin 2013, de rejeter le plan. Ils dénonçaient alors une "provocation" faite aux employés.
Quelques jours plus tard, l'Inspection du Travail (Direccte), saisie par le CCE, rendait un constat de « carence » à propos des modalité de ce PSE. Le CCE prenait alors la décision de saisir le juge du TGI de Nanterre pour demander l'annulation du plan.
Une procédure qui sera, en fin de compte, annulée fin juillet 2013. Des réunions entre la Direction et le CCE auraient permis de régler les désaccords et d'obtenir des avancées sensibles pour les salariés du groupe.
Mais tout n'est pas encore réglé et l'adoption des mesures prévues par le PSE devrait encore animer l'actualité dans les jours et les semaines à venir. Avec, comme enjeu, le futur de l'un des groupes touristiques majeurs en France.
Les autres pièces du dossier
Thomas Cook France : PSE de 150 emplois et l'abandon de la marque TC pour celle de Jet Tours
Distribution : exit l'enseigne Jet tours remplacée par celle de Thomas Cook
Thomas Cook France : le CCE rejette le PSE et dénonce la "provocation" faite aux salariés
Licenciements Thomas Cook : faut-il craindre un plan "ça passe ou ça casse" ?
Thomas Cook : "Notre objectif n'est pas de mettre le couteau sous la gorge des affiliés..."
PSE Thomas Cook : les syndicats et la direction trouvent un accord
Distribution : exit l'enseigne Jet tours remplacée par celle de Thomas Cook
Thomas Cook France : le CCE rejette le PSE et dénonce la "provocation" faite aux salariés
Licenciements Thomas Cook : faut-il craindre un plan "ça passe ou ça casse" ?
Thomas Cook : "Notre objectif n'est pas de mettre le couteau sous la gorge des affiliés..."
PSE Thomas Cook : les syndicats et la direction trouvent un accord
Retrouvez les autres dossiers brûlants de la rentrée 2013 en CLIQUANT ICI