
François Bachetta (à gauche) se donne entre trois et cinq ans pour amener les nouvelles lignes vers l’équilibre économique mais l’implantation toulousaine d’Easyjet ne devrait pas s’arrêter là. / Photo GB
Six mois après l’ouverture de la base toulousaine qui a vu le renforcement du programme de six nouvelles liaisons, François Bachetta, le directeur général France n’est pas mécontent du résultat et de son côté, Catherine Gay, la directrice du développement de l’aéroport ne tarit pas d’éloges sur la compagnie.
C’est près de 800 000 passagers qui ont été enregistrés par la low cost qui, avec une part de marché de 27%, est devenu le deuxième opérateur de la plate-forme.
François Bachetta se donne entre trois et cinq ans pour amener les nouvelles lignes vers l’équilibre économique mais l’implantation toulousaine d’Easyjet ne devrait pas s’arrêter là.
Un second A 319 fera un night stop à Toulouse mais il sera dédié à la ligne de Paris, et d’autres ouvertures sont en cours d’évaluation pour l’année prochaine.
Il est vrai que la présence d’Easyjet à Toulouse n’est pas récente.
La ligne de Paris qui a été ouverte… en 2003 a vu passer plus de 8 millions de passagers. Et de toutes les low cost qui se sont implantées à Toulouse, Easyjet gère 86,1%, ne laissant que des miettes aux concurrentes.
C’est près de 800 000 passagers qui ont été enregistrés par la low cost qui, avec une part de marché de 27%, est devenu le deuxième opérateur de la plate-forme.
François Bachetta se donne entre trois et cinq ans pour amener les nouvelles lignes vers l’équilibre économique mais l’implantation toulousaine d’Easyjet ne devrait pas s’arrêter là.
Un second A 319 fera un night stop à Toulouse mais il sera dédié à la ligne de Paris, et d’autres ouvertures sont en cours d’évaluation pour l’année prochaine.
Il est vrai que la présence d’Easyjet à Toulouse n’est pas récente.
La ligne de Paris qui a été ouverte… en 2003 a vu passer plus de 8 millions de passagers. Et de toutes les low cost qui se sont implantées à Toulouse, Easyjet gère 86,1%, ne laissant que des miettes aux concurrentes.
France : Easyjet estime que le marché des low cost n’est pas encore mature
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Mais l’essor économique de la région de Toulouse est aussi un incentive au développement du transport aérien. « 30% des passagers sont des voyageurs d’affaires mais on s’est rendu compte que les nouvelles destinations européennes ont créé une nouvelle clientèle loisirs" », constate Catherine Gay.
Pour autant, le marché des low cost n’est pas encore mature en France. Easyjet l’estime à 24% alors qu’il dépasse les 40% sur les marchés allemands ou britanniques.
En France, la compagnie orange a basé 24 appareils, soit 10% de la totalité de sa flotte et 16 villes sont desservies par les avions orange.
« Il y a encore une marge de développement importante sur le marché français ».
Et comme l’indique le patron France d’Easyjet, « nous ne sommes pas un transporteur à comptes d’auteurs », pour faire référence aux généreux budgets marketing réclamés par certains de ses concurrents.
Pour autant, le marché des low cost n’est pas encore mature en France. Easyjet l’estime à 24% alors qu’il dépasse les 40% sur les marchés allemands ou britanniques.
En France, la compagnie orange a basé 24 appareils, soit 10% de la totalité de sa flotte et 16 villes sont desservies par les avions orange.
« Il y a encore une marge de développement importante sur le marché français ».
Et comme l’indique le patron France d’Easyjet, « nous ne sommes pas un transporteur à comptes d’auteurs », pour faire référence aux généreux budgets marketing réclamés par certains de ses concurrents.
Dès le 27 novembre, EasyJet généralisera à l’intégralité de son réseau son système d’attribution de sièges lors de la réservation. Les passagers pourront également choisir leur siège pour un tarif supplémentaire.
Ce qui aura pour conséquence d’étendre la facilité actuelle du speedy boarding.
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