Entrée du siège du TO à Toulouse, qui a été vendu. DR
Optimistes et volontaires, les vendeurs (et vendeuses) des agences de Fram à Toulouse s'efforcent de garder le sourire, malgré les temps difficiles.
"Nous avons enfin un commandant à bord" s'exclame un conseiller de l'agence rue Lapeyrouse. Plus transparente et plus communicative, l'équipe de Daniel Cohen semble avoir conquis le cœur des salariés.
"Ils mettent tout en œuvre nous sortir de cette situation" assure une vendeuse de l'agence de Labège, dans la banlieue toulousaine.
Même sentiment au sein de l'agence du siège récemment vendu. "Il veut mettre un coup de pied dans la fourmilière. C'est très positif car l'entreprise a trop compté sur ses acquis".
Tous approuvent la nouvelle stratégie sur le web, indispensable pour s'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs. Pour eux, internet et agences physiques sont complémentaires et pas contradictoires.
" Le client doit pouvoir sélectionner ses produits le soir ou le week-end sur internet et venir concrétiser son achat dans nos agences".
Ils restent donc convaincus par l'importance des boutiques physique pour renseigner les voyageurs. "Dans notre métier, l'humain est un élément primordial. Les gens sont toujours nombreux à se déplacer pour nous demander des conseils".
"Nous avons enfin un commandant à bord" s'exclame un conseiller de l'agence rue Lapeyrouse. Plus transparente et plus communicative, l'équipe de Daniel Cohen semble avoir conquis le cœur des salariés.
"Ils mettent tout en œuvre nous sortir de cette situation" assure une vendeuse de l'agence de Labège, dans la banlieue toulousaine.
Même sentiment au sein de l'agence du siège récemment vendu. "Il veut mettre un coup de pied dans la fourmilière. C'est très positif car l'entreprise a trop compté sur ses acquis".
Tous approuvent la nouvelle stratégie sur le web, indispensable pour s'adapter aux nouvelles attentes des consommateurs. Pour eux, internet et agences physiques sont complémentaires et pas contradictoires.
" Le client doit pouvoir sélectionner ses produits le soir ou le week-end sur internet et venir concrétiser son achat dans nos agences".
Ils restent donc convaincus par l'importance des boutiques physique pour renseigner les voyageurs. "Dans notre métier, l'humain est un élément primordial. Les gens sont toujours nombreux à se déplacer pour nous demander des conseils".
Les autres agences toulousaines sont solidaires de Fram
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Les autres agences toulousaines sont solidaires de la situation de leurs collègues. Ils tentent de les soutenir en continuant les ventes. "Nos clients sont toujours satisfaits des séjours chez Fram. Nous n'allons pas arrêter de les y envoyer sous prétexte de problèmes en interne" explique-t-on chez Pujol Voyages.
Chez Havas Voyages La Dêpêche, Fram reste également un partenaire incontournable. "Le commercial est passé pour nous expliquer les détails de la prochaine stratégie. Nous avons totalement confiance".
Bénédicte Fleury, de l'agence Amaris Evasion, est ravie de recevoir beaucoup plus d'informations et de newsletters, signe selon elle d'une reprise en main des forces de ventes.
Quant aux clients toulousains, ils sont bien conscients des péripéties subies par Fram, grâce aux nombreux articles publiés dans la presse locale.
Mais le prestige de la marque n'est pas du tout écorné. Les demandes de réservations et les ventes se poursuivent aux mêmes rythmes qu'avant.
D'ailleurs, lors de notre passage dans les agences, le vendredi 31 mars, les comptoirs ne désemplissaient pas. Car crise ou pas, les clients ont toujours l'envie de voyager avec Fram.
Chez Havas Voyages La Dêpêche, Fram reste également un partenaire incontournable. "Le commercial est passé pour nous expliquer les détails de la prochaine stratégie. Nous avons totalement confiance".
Bénédicte Fleury, de l'agence Amaris Evasion, est ravie de recevoir beaucoup plus d'informations et de newsletters, signe selon elle d'une reprise en main des forces de ventes.
Quant aux clients toulousains, ils sont bien conscients des péripéties subies par Fram, grâce aux nombreux articles publiés dans la presse locale.
Mais le prestige de la marque n'est pas du tout écorné. Les demandes de réservations et les ventes se poursuivent aux mêmes rythmes qu'avant.
D'ailleurs, lors de notre passage dans les agences, le vendredi 31 mars, les comptoirs ne désemplissaient pas. Car crise ou pas, les clients ont toujours l'envie de voyager avec Fram.