Pendant 18 mois des groupes de travail auxquels participaient élus, institutionnels et professionnels du secteur privé ont enquêté, étudié, réfléchi et mis à profit leur expérience et leurs connaissances des différentes facettes de l’industrie du tourisme.
Il en est ressorti quelques évidences connues de longue date. Oui, l’industrie du tourisme n’est pas en France reconnue à sa juste valeur et son ministère doit gérer un budget en forme de peau de chagrin. Oui, la France doit profiter au maximum du phénomène de mondialisation.
Oui, face à cette mondialisation et à l’émergence de nouvelles destinations, la France a perdu des parts de marché. Oui, la part du tourisme baisse dans le PIB national : 6,8 % en 2000, 6,40 en 2005.
Au-delà de l’analyse de la situation, la réunion d’hier devait présenter la synthèse des travaux et des propositions des différents groupes de travail. Or, certaines des propositions présentées ont provoqué quelques vives réactions dans la salle. Par exemple celle de remplacer le ministère du Tourisme par une délégation interministérielle placée sous l’autorité du Premier Ministre demande un peu d’explication et d’argumentation.
Selon Jean-Michel Couve, cette disposition permettrait aux institutionnels du secteur de disposer d’un budget de fonctionnement, de promotion et de développement plus important et plus adapté à leurs ambitions. Démocratie obligeant, il lui a été demandé de revoir sa copie. Ce sera vite fait.
La synthèse des travaux et des propositions de la Commission Nationale du Tourisme de l’UMP seront donc noir sur blanc dans une prochaine édition de Tourmag.com.
Il en est ressorti quelques évidences connues de longue date. Oui, l’industrie du tourisme n’est pas en France reconnue à sa juste valeur et son ministère doit gérer un budget en forme de peau de chagrin. Oui, la France doit profiter au maximum du phénomène de mondialisation.
Oui, face à cette mondialisation et à l’émergence de nouvelles destinations, la France a perdu des parts de marché. Oui, la part du tourisme baisse dans le PIB national : 6,8 % en 2000, 6,40 en 2005.
Au-delà de l’analyse de la situation, la réunion d’hier devait présenter la synthèse des travaux et des propositions des différents groupes de travail. Or, certaines des propositions présentées ont provoqué quelques vives réactions dans la salle. Par exemple celle de remplacer le ministère du Tourisme par une délégation interministérielle placée sous l’autorité du Premier Ministre demande un peu d’explication et d’argumentation.
Selon Jean-Michel Couve, cette disposition permettrait aux institutionnels du secteur de disposer d’un budget de fonctionnement, de promotion et de développement plus important et plus adapté à leurs ambitions. Démocratie obligeant, il lui a été demandé de revoir sa copie. Ce sera vite fait.
La synthèse des travaux et des propositions de la Commission Nationale du Tourisme de l’UMP seront donc noir sur blanc dans une prochaine édition de Tourmag.com.