Selon une étude de l'Unat réalisée sur un échantillon représentatif de 1024 personnes, un tiers des Français connaissent le tourisme solidaire. Même s'il existe encore un déficit d’information sur l’offre existante, les choses commencent à bouger. « C’est encourageant. La notion de tourisme éthique se clarifie dans les esprits » estime Jean-Marc Mignon, président de l’Unat.
Selon les résultats de l’étude, 59 % des sondés se déclarent intéressés, et 7 % même très intéressés, par le tourisme solidaire. Et 50 % d’entre eux seraient prêts à payer plus cher leur voyage s'il est associé à une déonthologie.
Création d'un label écologiste
« Ces personnes constituent notre vivier, analyse Jean-Marc Mignon. Nous n’avons pas vocation à remplacer le tourisme traditionnel, mais nous pouvons être un complément. »
Un sérieux bémol toutefois : les Français attentifs au tourisme solidaire voyagent déjà beaucoup et et sont issus des C.S.P. supérieures. Pour attirer l'attention du grand public encore en retrait, l'Unat planche sur la création d’un label écologique
La Rédaction - redaction@tourmag.com
Selon les résultats de l’étude, 59 % des sondés se déclarent intéressés, et 7 % même très intéressés, par le tourisme solidaire. Et 50 % d’entre eux seraient prêts à payer plus cher leur voyage s'il est associé à une déonthologie.
Création d'un label écologiste
« Ces personnes constituent notre vivier, analyse Jean-Marc Mignon. Nous n’avons pas vocation à remplacer le tourisme traditionnel, mais nous pouvons être un complément. »
Un sérieux bémol toutefois : les Français attentifs au tourisme solidaire voyagent déjà beaucoup et et sont issus des C.S.P. supérieures. Pour attirer l'attention du grand public encore en retrait, l'Unat planche sur la création d’un label écologique
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