Après avoir annoncé une série de baisses sur les produits de base tels le pain et le lait, le président tunisien a également promis la liberté de presse et de mettre fin à la liberté surveillée d'Internet.
Mais, surtout, il a laissé entendre qu'à 74 ans, atteint par la limite d'âge (75 ans) il passera la main. Autant de promesses qui ont fait descendre la foules dans la rue.
Le peuple tunisien a gagné et même acclamé le nom conspué la veille. C'est une victoire historique pour la démocratie et la preuve qu'on ne peut indéfiniment vivre sous le joug, privé d'emploi, de pain et de liberté.
Si les choses en restent là, les voyagistes français s'en sortiront à bon compte. En effet, la contagion avait commencé à gagner aujourd'hui les zones touristiques de Hammamet et Nabeul et les choses prenaient une tournure très fâcheuse.
Les producteurs les plus importants avaient commencé à prendre des précautions en ce qui concerne les excursions et d'autres ne pouvaient que constater la chute des résa et le début des annulations.
La Tunisie n'est pas une destination comme les autres pour l'économie touristique française. Près d'un million de nos compatriotes ont choisi le "pays ami" pour y passer leurs vacances.
Un enjeu commercial qui ne laisse pas de marbre les professionnels, très attentifs à la situation. Un enjeu réciproque compte tenu de la place du tourisme dans le PIB tunisien.
Pour l'instant, la casse est limitée. Il appartient désormais aux Tunisiens de gérer les fenêtres percées et de les élargir autant que faire se peut... pour éviter de retrouver encore la "balle" dans leur camp !
Mais, surtout, il a laissé entendre qu'à 74 ans, atteint par la limite d'âge (75 ans) il passera la main. Autant de promesses qui ont fait descendre la foules dans la rue.
Le peuple tunisien a gagné et même acclamé le nom conspué la veille. C'est une victoire historique pour la démocratie et la preuve qu'on ne peut indéfiniment vivre sous le joug, privé d'emploi, de pain et de liberté.
Si les choses en restent là, les voyagistes français s'en sortiront à bon compte. En effet, la contagion avait commencé à gagner aujourd'hui les zones touristiques de Hammamet et Nabeul et les choses prenaient une tournure très fâcheuse.
Les producteurs les plus importants avaient commencé à prendre des précautions en ce qui concerne les excursions et d'autres ne pouvaient que constater la chute des résa et le début des annulations.
La Tunisie n'est pas une destination comme les autres pour l'économie touristique française. Près d'un million de nos compatriotes ont choisi le "pays ami" pour y passer leurs vacances.
Un enjeu commercial qui ne laisse pas de marbre les professionnels, très attentifs à la situation. Un enjeu réciproque compte tenu de la place du tourisme dans le PIB tunisien.
Pour l'instant, la casse est limitée. Il appartient désormais aux Tunisiens de gérer les fenêtres percées et de les élargir autant que faire se peut... pour éviter de retrouver encore la "balle" dans leur camp !