Après une interdiction partielle en 2015, Uber est désormais banni d'Italie (c) maxres
La conquête du monde pour Uber se révèle de plus en plus compliquée.
Après une interdiction partielle en 2015, Uber est désormais banni d'Italie.
Le tribunal de Rome a statué en faveur des chauffeurs de taxi en interdisant à l’entreprise californienne de déployer l’essentiel de ses services sur le territoire italien, en l’occurrence Uber X, XL, Black, Lux, SUV, Select et Van, à l’exception d’Uber Eats, service de livraison de repas.
Pour les juges italiens, la plateforme de VTC constitue une concurrence déloyale pour les taxis en s’appuyant sur une loi de 1992 régissant la fourniture de services de taxi.
La société Uber a indiqué qu'elle allait faire appel de la décision basée, selon elle, "sur une loi vieille de 25 ans qui n'est plus le reflet de l'époque.
Le gouvernement italien ne peut plus perdre de temps et doit désormais décider s'il veut rester ancré dans le passé ou s'il veut permettre aux Italiens de bénéficier des nouvelles technologies", a commenté Uber.
Après une interdiction partielle en 2015, Uber est désormais banni d'Italie.
Le tribunal de Rome a statué en faveur des chauffeurs de taxi en interdisant à l’entreprise californienne de déployer l’essentiel de ses services sur le territoire italien, en l’occurrence Uber X, XL, Black, Lux, SUV, Select et Van, à l’exception d’Uber Eats, service de livraison de repas.
Pour les juges italiens, la plateforme de VTC constitue une concurrence déloyale pour les taxis en s’appuyant sur une loi de 1992 régissant la fourniture de services de taxi.
La société Uber a indiqué qu'elle allait faire appel de la décision basée, selon elle, "sur une loi vieille de 25 ans qui n'est plus le reflet de l'époque.
Le gouvernement italien ne peut plus perdre de temps et doit désormais décider s'il veut rester ancré dans le passé ou s'il veut permettre aux Italiens de bénéficier des nouvelles technologies", a commenté Uber.