Pour Jens Wolhtorf, président-directeur général (PDG) et co-fondateur de Blacklance, plateforme de mise en relation pour les véhicules de tourisme avec chauffeur (VTC), la loi de Laurent Grandguillaume, député de la Côte-d'Or ne va pas complètement dans le sens de la mise en place d'un "marché régulé" où "l'introduction d'innovations garantit aux passagers et aux chauffeurs un meilleur service."
Il salue néanmoins la volonté d'assurer aux aux chauffeurs d'utiliser plusieurs plateformes à la fois. "La compétition qui en résulte est bénéfique à l'industrie toute entière", estime le PDG de Blacklane.
Il regrette toutefois la fin du statut LOTI pour les véhicules qui transportent au moins 8 passagers. "Cette mesure réduit le nombre de chauffeurs légaux limitant ainsi le choix du consommateur", analyse Jens Wolhtorf.
Mais le sujet le plus controversé du débat n'est pas abordé pas la loi, regrette-t-il. Il s'agit du rachat des licences de taxis potentiellement financé par une taxe sur l'activité des VTC.
"Octroyer des subventions à une industrie en déclin financées par les innovateurs de demain est absurde, s'énerve le PDG de Blacklane.
Aider les taxis à survivre en taxant les VTC serait un exemple édifiant de la concurrence déloyale que les taxis s'acharnent à dénoncer. En fin de compte, ce sera le consommateur qui paiera la protection du cartel des taxis."
Il salue néanmoins la volonté d'assurer aux aux chauffeurs d'utiliser plusieurs plateformes à la fois. "La compétition qui en résulte est bénéfique à l'industrie toute entière", estime le PDG de Blacklane.
Il regrette toutefois la fin du statut LOTI pour les véhicules qui transportent au moins 8 passagers. "Cette mesure réduit le nombre de chauffeurs légaux limitant ainsi le choix du consommateur", analyse Jens Wolhtorf.
Mais le sujet le plus controversé du débat n'est pas abordé pas la loi, regrette-t-il. Il s'agit du rachat des licences de taxis potentiellement financé par une taxe sur l'activité des VTC.
"Octroyer des subventions à une industrie en déclin financées par les innovateurs de demain est absurde, s'énerve le PDG de Blacklane.
Aider les taxis à survivre en taxant les VTC serait un exemple édifiant de la concurrence déloyale que les taxis s'acharnent à dénoncer. En fin de compte, ce sera le consommateur qui paiera la protection du cartel des taxis."
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