La Confédération des acteurs du tourisme (CAT) a été reçue par la commission spécialisée relative au calendrier scolaire afin de s’exprimer sur les possibles changements à venir dans l’organisation des différentes zones scolaires.
Les échanges ont mis en évidence les enjeux et les risques de la fusion des différentes zones, mais également les options envisageables pour trouver un équilibre entre tous les acteurs.
Retour sur une refonte sous tension.
Les échanges ont mis en évidence les enjeux et les risques de la fusion des différentes zones, mais également les options envisageables pour trouver un équilibre entre tous les acteurs.
Retour sur une refonte sous tension.
La fin des 3 zones pour les vacances scolaires ?
La réorganisation du système des trois zones pour les vacances scolaires n’est pas un sujet nouveau. Bien qu’aucune décision n'ait été prise pour l'instant, l’idée d'une refonte des sections pour passer à deux zones pour les vacances d’hiver et de printemps est à l’étude.
Une question semble cependant revenir régulièrement. En cas de fusion des zones pour n’en former que deux, les deux semaines de vacances des zones seront-elles consécutives, (deux semaines la première zones puis deux semaines la seconde), ou se chevaucheront-elles sur une semaine ?
Les domaines skiables sont les premiers à s’inquiéter de cette réorganisation. En effet, la fusion des zones et le chevauchement de celles-ci entraînerait la perte d’une semaine de haute saison pour les professionnels de la montagne qui basent leur survie sur cette période de l’année.
L’organisation des flux de vacanciers est aussi un enjeu à gérer pour les différents acteurs qui vont devoir mettre en place de nouvelles stratégies pour s’adapter à une nouvelle demande.
La réorganisation des vacances de printemps apporte elle aussi son lot d’enjeux. Le modèle de sept semaines de cours entre deux périodes de vacances scolaires pourrait retarder cette période de vacances et également pénaliser les destinations de montagne. En effet, si les vacances de Pâques sont amenées à être déplacées jusqu’en mai, les professionnels de la montagne se retrouvent pénalisés car la période de neige touche à sa fin sur cette période.
Les acteurs du tourisme souhaitent trouver une organisation qui permette d’éviter les déséquilibres actuels pour les vacances d’hiver et de printemps, mais pas que.
Une question semble cependant revenir régulièrement. En cas de fusion des zones pour n’en former que deux, les deux semaines de vacances des zones seront-elles consécutives, (deux semaines la première zones puis deux semaines la seconde), ou se chevaucheront-elles sur une semaine ?
Les domaines skiables sont les premiers à s’inquiéter de cette réorganisation. En effet, la fusion des zones et le chevauchement de celles-ci entraînerait la perte d’une semaine de haute saison pour les professionnels de la montagne qui basent leur survie sur cette période de l’année.
L’organisation des flux de vacanciers est aussi un enjeu à gérer pour les différents acteurs qui vont devoir mettre en place de nouvelles stratégies pour s’adapter à une nouvelle demande.
La réorganisation des vacances de printemps apporte elle aussi son lot d’enjeux. Le modèle de sept semaines de cours entre deux périodes de vacances scolaires pourrait retarder cette période de vacances et également pénaliser les destinations de montagne. En effet, si les vacances de Pâques sont amenées à être déplacées jusqu’en mai, les professionnels de la montagne se retrouvent pénalisés car la période de neige touche à sa fin sur cette période.
Les acteurs du tourisme souhaitent trouver une organisation qui permette d’éviter les déséquilibres actuels pour les vacances d’hiver et de printemps, mais pas que.
Les enjeux des vacances d’été
A la fin de l’été de cette année, Emmanuel Macron avait évoqué l’idée de réduire les vacances d’été pour reprendre le chemin de l’école le 20 août, afin de mieux répartir la charge de travail sur l’année.
Pour les professionnels du tourisme, il s’agit d’une ligne rouge à ne pas franchir. Ces derniers mettent en avant le fait que le début du mois de juillet et la fin du mois d’août sont généralement les semaines où les tarifs sont les plus accessibles.
Retirer la dernière semaine du mois d’août revient donc à retirer une semaine de haute saison, empêchant donc les vacanciers de partir sur cette période. Cela entraînera également une hausse des prix sur le reste de la période estivale pour compenser le manque à gagner, ce qui pénalisera obligatoirement d’autres vacanciers.
Bien que rien n'ait été décidé pour l'instant, la refonte des zones des vacances scolaires soulèvent de nombreux enjeux dans le secteur du tourisme et de l’éducation nationale. L’objectif de cette réforme sera donc de trouver un équilibre qui permette au secteur du tourisme de continuer sa progression et qui ne pénalise pas les touristes.
Pour les professionnels du tourisme, il s’agit d’une ligne rouge à ne pas franchir. Ces derniers mettent en avant le fait que le début du mois de juillet et la fin du mois d’août sont généralement les semaines où les tarifs sont les plus accessibles.
Retirer la dernière semaine du mois d’août revient donc à retirer une semaine de haute saison, empêchant donc les vacanciers de partir sur cette période. Cela entraînera également une hausse des prix sur le reste de la période estivale pour compenser le manque à gagner, ce qui pénalisera obligatoirement d’autres vacanciers.
Bien que rien n'ait été décidé pour l'instant, la refonte des zones des vacances scolaires soulèvent de nombreux enjeux dans le secteur du tourisme et de l’éducation nationale. L’objectif de cette réforme sera donc de trouver un équilibre qui permette au secteur du tourisme de continuer sa progression et qui ne pénalise pas les touristes.