Autres articles
Varig a été sauvée in extremis de la liquidation le 21 juillet : la compagnie aérienne brésilienne a été acquise aux enchères ce jour-là par Aereo Transportes Aereos, nouveau département de VarigLog, l’ancienne filiale fret de Varig rachetée l`an dernier par un consortium regroupant des investisseurs brésiliens et le fonds d`investissement américain Matlin Patterson.
L’ancienne plus importante compagnie d’Amérique latine travaille maintenant à son plan de reprise. Son nouveau réseau doit obtenir cette semaine l’aval de l’aviation civile brésilienne. Il sera alors divulgué ce vendredi 25 août.
Varig opèrerait aujourd’hui seulement dix appareils
Selon certaines informations, Varig opèrerait aujourd’hui seulement dix appareils. Le chiffre a circulé d’une décision des repreneurs de ne conserver que 2 100 employés contre près de 10 000 avant le rachat. Le transporteur s’est voulu plus optimiste le 11 août dernier, annonçant qu’il entendait conserver 5 000 emplois ; sa flotte serait portée à 45 avions d’ici la fin de l’année, dont 13 gros porteurs.
Si la compagnie brésilienne dispose des moyens de ses ambitions, ce qui reste à démontrer, il lui faudra alors trouver des appareils sur un marché où l’offre s’est raréfiée ces dernières années.
Inquiétude chez Varig France
Varig entend reprendre toutes ses dessertes intérieures. Quid des liaisons internationales ? Sur l’Europe aujourd’hui, Varig vole uniquement sur Francfort. Quel sera son futur plan de vol sur le Vieux Continent ? La compagnie rouvrira-t-elle ses escales parisiennes et londoniennes ? La plupart des dix-sept employés parisiens de la compagnie ne cachent pas leur inquiétude. Denis Gaille, son directeur général France, se veut rassurant : «Nous sommes dans une période de transition. Rien n’est définitif, nous n’avons pas perdu les droits de trafic».
Varig va devoir rassurer aussi ses passagers potentiels et ses partenaires, à commencer par les autres membres de la Star Alliance, et bien sûr les voyagistes et agences qui la revendent…
L’ancienne plus importante compagnie d’Amérique latine travaille maintenant à son plan de reprise. Son nouveau réseau doit obtenir cette semaine l’aval de l’aviation civile brésilienne. Il sera alors divulgué ce vendredi 25 août.
Varig opèrerait aujourd’hui seulement dix appareils
Selon certaines informations, Varig opèrerait aujourd’hui seulement dix appareils. Le chiffre a circulé d’une décision des repreneurs de ne conserver que 2 100 employés contre près de 10 000 avant le rachat. Le transporteur s’est voulu plus optimiste le 11 août dernier, annonçant qu’il entendait conserver 5 000 emplois ; sa flotte serait portée à 45 avions d’ici la fin de l’année, dont 13 gros porteurs.
Si la compagnie brésilienne dispose des moyens de ses ambitions, ce qui reste à démontrer, il lui faudra alors trouver des appareils sur un marché où l’offre s’est raréfiée ces dernières années.
Inquiétude chez Varig France
Varig entend reprendre toutes ses dessertes intérieures. Quid des liaisons internationales ? Sur l’Europe aujourd’hui, Varig vole uniquement sur Francfort. Quel sera son futur plan de vol sur le Vieux Continent ? La compagnie rouvrira-t-elle ses escales parisiennes et londoniennes ? La plupart des dix-sept employés parisiens de la compagnie ne cachent pas leur inquiétude. Denis Gaille, son directeur général France, se veut rassurant : «Nous sommes dans une période de transition. Rien n’est définitif, nous n’avons pas perdu les droits de trafic».
Varig va devoir rassurer aussi ses passagers potentiels et ses partenaires, à commencer par les autres membres de la Star Alliance, et bien sûr les voyagistes et agences qui la revendent…