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TourMaG.com - Comment s'appelle le nouveau concept et en quoi consiste-t-il ?
Christian Orofino : « Pour l'instant nous n'avons pas finalisé le titre de la brochure. Les CDT joueront le rôle dans le montage de ce produit de réceptifs avec un produit qui sera complètement ficellé par leurs soins.
Au départ ils sélectionneront un produit représentatif de leur région qui devra comprendre 2 nuits, un repas typique et 2 thèmes qui pourront être « découverte », « ludique, « artisanal ou « culturel ».
Ensuite Visit France reprendre toutes ces thématiques dans une brochure qui sera éditée à 100 000 exemplaires distribués dans les 3 500 d'agences de voyages où nous sommes représentés.
En ce qui concerne le transport nous discutons avec la SNCF pour savoir si elle serait partie prenante dans ce montage. Selon sa réponse nous l'intégrerons dans le package ou on la proposera en option.»
T.M.com - Si la formule a du succès, ces produits ne risquent-ils pas d'être vendus en direct ultérieurement ?
Ch. O.: « Non parce que chaque année nos partenaires CDT devront sélectionner un produit différent. Ensuite, comme il s'agit de petits prestataires locaux qui en seront les fournisseurs, il sera difficile au client de trouver en direct ces mêmes prestations. Ces packages seront donc exclusifs au minimum pendant un an. »
T.M.com - Qui sont vos partenaires dans cette opération ?
Ch. O.: Cette opération est coordonnée par une interlocutrice très efficace, Véronique Brizon, directrice de la FNCDT. »
T.M.com - A combien sortiront en moyenne ces packages de ces produits et quid de la commission des agences de voyages ?
Ch. O.: « Ils seront commercialisés à une moyenne de 200 euros dans les agences et nous proposerons au réseau un modèle économique différent avec une rémunération fixe par dossier que nous n'avons pas fixé de manière définitive.
En ce qui concerne la commission, nous en négocions actuellement le montant avec les réseaux. D'ores et déjà Afat Voyages et l'Alliance.T à qui j'ai présenté le concept, semblent intéressés. »
T.M.com - Vous êtes-vous fixé un prévisionnel
Ch. O.: «Nous aimerions atteindre les 5000 clients la 1ère année et visons 20 000 clients d'ici 5 ans... »
T.M.com - Pourquoi cette initiative ?
Ch. O.: « La 1ère raison c'est qu'il n'y a plus aucune proposition de forfait sur la France en direction des Réseaux. Le dernier TO présent sur l'Hexagone est Visit France qui réalise aujourd'hui 20 000 clienst sur la France et 10 000 sur la marque Visit Europ pour un CA global de 16 Mie.
Deuxième raison : le court séjour ne doit pas disparaître des agences car il s'avère un produit d'appel pour vendre des packages plus importants en long courrier.
Or, la moitié de ces clients ont souvent dans l'année une nouvelle demande de départ. Si on les laisse filer on risque de les perdre définitivement, car ils se débrouilleront tout seuls.
Enfin, la 3e raison c'est qu'on est assis sur un « puits de pétrole » touristique qu'on a pas encore exploité. Or, c'est la sophistication et la richesse de nos produits et de leur contenu qui continueront à attirer nos clients vers les agences. »
T.M.com - Quel est le but de Visit France dans cette opération ?
Ch. O.: Tous les acteurs du tourisme (institutionnels, opérateur, distributeurs) doivent aujourd'hui se mobiliser pour promouvoir une France authentique et reprendre les parts de marché potentielles sur notre territoire. »
Christian Orofino : « Pour l'instant nous n'avons pas finalisé le titre de la brochure. Les CDT joueront le rôle dans le montage de ce produit de réceptifs avec un produit qui sera complètement ficellé par leurs soins.
Au départ ils sélectionneront un produit représentatif de leur région qui devra comprendre 2 nuits, un repas typique et 2 thèmes qui pourront être « découverte », « ludique, « artisanal ou « culturel ».
Ensuite Visit France reprendre toutes ces thématiques dans une brochure qui sera éditée à 100 000 exemplaires distribués dans les 3 500 d'agences de voyages où nous sommes représentés.
En ce qui concerne le transport nous discutons avec la SNCF pour savoir si elle serait partie prenante dans ce montage. Selon sa réponse nous l'intégrerons dans le package ou on la proposera en option.»
T.M.com - Si la formule a du succès, ces produits ne risquent-ils pas d'être vendus en direct ultérieurement ?
Ch. O.: « Non parce que chaque année nos partenaires CDT devront sélectionner un produit différent. Ensuite, comme il s'agit de petits prestataires locaux qui en seront les fournisseurs, il sera difficile au client de trouver en direct ces mêmes prestations. Ces packages seront donc exclusifs au minimum pendant un an. »
T.M.com - Qui sont vos partenaires dans cette opération ?
Ch. O.: Cette opération est coordonnée par une interlocutrice très efficace, Véronique Brizon, directrice de la FNCDT. »
T.M.com - A combien sortiront en moyenne ces packages de ces produits et quid de la commission des agences de voyages ?
Ch. O.: « Ils seront commercialisés à une moyenne de 200 euros dans les agences et nous proposerons au réseau un modèle économique différent avec une rémunération fixe par dossier que nous n'avons pas fixé de manière définitive.
En ce qui concerne la commission, nous en négocions actuellement le montant avec les réseaux. D'ores et déjà Afat Voyages et l'Alliance.T à qui j'ai présenté le concept, semblent intéressés. »
T.M.com - Vous êtes-vous fixé un prévisionnel
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Deuxième raison : le court séjour ne doit pas disparaître des agences car il s'avère un produit d'appel pour vendre des packages plus importants en long courrier.
Or, la moitié de ces clients ont souvent dans l'année une nouvelle demande de départ. Si on les laisse filer on risque de les perdre définitivement, car ils se débrouilleront tout seuls.
Enfin, la 3e raison c'est qu'on est assis sur un « puits de pétrole » touristique qu'on a pas encore exploité. Or, c'est la sophistication et la richesse de nos produits et de leur contenu qui continueront à attirer nos clients vers les agences. »
T.M.com - Quel est le but de Visit France dans cette opération ?
Ch. O.: Tous les acteurs du tourisme (institutionnels, opérateur, distributeurs) doivent aujourd'hui se mobiliser pour promouvoir une France authentique et reprendre les parts de marché potentielles sur notre territoire. »