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A compter du 25 avril prochain, les passagers de British Airways ne pourront plus s’enregistrer que par internet (via son site ba.com ou par l’intermédiaire des bornes libre-service dans les aéroports.
La compagnie britannique vante notamment les avantages du web : les internautes peuvent émettre leur carte d’accès à bord jusqu’à 24 heures avant le départ ; ceux qui n’ont pas de bagages peuvent se rendre directement en salle d’embarquement. Pour ceux qui ont des bagages, certains des comptoirs d’enregistrement sont transformés en comptoirs «dépose bagages».
Toujours sur internet, les passagers de BA peuvent aussi choisir leurs sièges dans l’avion, communiquer leurs préférences alimentaires, remplir le formulaire nécessaire pour se rendre aux Etats-Unis.
Quant au téléphone, si la vente par son intermédiaire est en baisse et n’est pas particulièrement encouragée, il est en revanche amené à se développer pour toute une palette de services, dont l’enregistrement.
Redéploiement du personnel vers l’information des passagers
British Airways estime que la suppression des comptoirs simplifie et accélère l’«expérience aéroportuaire» des passagers. Le transporteur prévoit que 80% de ses clients s’enregistreront eux-mêmes lorsque sera inauguré le terminal 5 de l’aéroport de Londres-Heathrow prévue pour 2008 ; l’ensemble des compagnies de l’alliance oneworld – dont BA - seront alors regroupées dans le terminal 3 – rénové – et le terminal 5.
Revers de la médaille du développement de l’enregistrement automatique : des milliers d’emplois seraient menacés, selon les syndicats. «Une partie du personnel des comptoirs d’enregistrement travaillera désormais à aider et renseigner les passagers» souligne Patrick Malval, directeur commercial de British Airways France.
Même son de cloche chez Air France. Selon Pascal de Izaguirre, son directeur général Exploitation, le déploiement des e-services permet de mobiliser au mieux les ressources humaines, «au personnel au sol d’être dégagé des tâches techniques et davantage à l’écoute des demandes de nos clients». Air France ne surprendra personne lorsqu’elle annoncera à son tour la suppression de ses comptoirs d’enregistrement pour ses vols intérieurs.
La compagnie britannique vante notamment les avantages du web : les internautes peuvent émettre leur carte d’accès à bord jusqu’à 24 heures avant le départ ; ceux qui n’ont pas de bagages peuvent se rendre directement en salle d’embarquement. Pour ceux qui ont des bagages, certains des comptoirs d’enregistrement sont transformés en comptoirs «dépose bagages».
Toujours sur internet, les passagers de BA peuvent aussi choisir leurs sièges dans l’avion, communiquer leurs préférences alimentaires, remplir le formulaire nécessaire pour se rendre aux Etats-Unis.
Quant au téléphone, si la vente par son intermédiaire est en baisse et n’est pas particulièrement encouragée, il est en revanche amené à se développer pour toute une palette de services, dont l’enregistrement.
Redéploiement du personnel vers l’information des passagers
British Airways estime que la suppression des comptoirs simplifie et accélère l’«expérience aéroportuaire» des passagers. Le transporteur prévoit que 80% de ses clients s’enregistreront eux-mêmes lorsque sera inauguré le terminal 5 de l’aéroport de Londres-Heathrow prévue pour 2008 ; l’ensemble des compagnies de l’alliance oneworld – dont BA - seront alors regroupées dans le terminal 3 – rénové – et le terminal 5.
Revers de la médaille du développement de l’enregistrement automatique : des milliers d’emplois seraient menacés, selon les syndicats. «Une partie du personnel des comptoirs d’enregistrement travaillera désormais à aider et renseigner les passagers» souligne Patrick Malval, directeur commercial de British Airways France.
Même son de cloche chez Air France. Selon Pascal de Izaguirre, son directeur général Exploitation, le déploiement des e-services permet de mobiliser au mieux les ressources humaines, «au personnel au sol d’être dégagé des tâches techniques et davantage à l’écoute des demandes de nos clients». Air France ne surprendra personne lorsqu’elle annoncera à son tour la suppression de ses comptoirs d’enregistrement pour ses vols intérieurs.