Daniel Buren et Patrick Bouchain, Les anneaux, Nantes, création Estuaire 2007 - DR © Gino Maccarinelli
En 2013, Nantes sera la capitale verte de l’Europe.
En attendant, 2010 lui a bien réussi ; la ville et ses 600 000 habitants ont accueilli 2,7 millions de touristes, dont 20 % d’étrangers.
C’est le fruit d’un travail long de 20 ans, au bout desquels la cité des Ducs de Bretagne est devenue une métropole artistique et culturelle, indiscutable « urbi et orbi ». Et la dynamique est loin de s’éteindre.
Après la rénovation du Château, la création du désormais célèbre éléphant et des différentes « machines animales », directement sortie d’un bestiaire à la Jule Vernes, l’un des plus fameux enfants du pays, Nantes s’enrichit encore de nouveaux lieux d’animation.
Pour les petits et les grands, le Carrousel des Mondes Marins, un manège de 3 étages dédié à la faune sous marine, et la Fabrique, nouveau temple du spectacle et des expositions, ou le Mémorial de l’abolition de l’esclavage vont apporter de nouvelles capacités événementielles.
Pour exploiter au mieux ce potentiel, où la tradition et la modernité se conjuguent audacieusement, la ville lance « Le Voyage à Nantes », un concept à tiroir qu’elle espère installer dans la durée.
Le « VAN », selon l’expression des afficionados, est d’abord une structure. Mi-janvier dernier, l’Office du tourisme de Nantes Métropole, la SEM, organisme qui gère notamment le Château, et l’activité Estuaire, dont le parcours culturel le long de la Loire, de Nantes à Saint Nazaire, exposera cette année de nouvelles œuvres, ont été regroupés pour être confiés à Jean Blaise, déjà bien connu des Nantais, après la création du Festival des Allumées.
En attendant, 2010 lui a bien réussi ; la ville et ses 600 000 habitants ont accueilli 2,7 millions de touristes, dont 20 % d’étrangers.
C’est le fruit d’un travail long de 20 ans, au bout desquels la cité des Ducs de Bretagne est devenue une métropole artistique et culturelle, indiscutable « urbi et orbi ». Et la dynamique est loin de s’éteindre.
Après la rénovation du Château, la création du désormais célèbre éléphant et des différentes « machines animales », directement sortie d’un bestiaire à la Jule Vernes, l’un des plus fameux enfants du pays, Nantes s’enrichit encore de nouveaux lieux d’animation.
Pour les petits et les grands, le Carrousel des Mondes Marins, un manège de 3 étages dédié à la faune sous marine, et la Fabrique, nouveau temple du spectacle et des expositions, ou le Mémorial de l’abolition de l’esclavage vont apporter de nouvelles capacités événementielles.
Pour exploiter au mieux ce potentiel, où la tradition et la modernité se conjuguent audacieusement, la ville lance « Le Voyage à Nantes », un concept à tiroir qu’elle espère installer dans la durée.
Le « VAN », selon l’expression des afficionados, est d’abord une structure. Mi-janvier dernier, l’Office du tourisme de Nantes Métropole, la SEM, organisme qui gère notamment le Château, et l’activité Estuaire, dont le parcours culturel le long de la Loire, de Nantes à Saint Nazaire, exposera cette année de nouvelles œuvres, ont été regroupés pour être confiés à Jean Blaise, déjà bien connu des Nantais, après la création du Festival des Allumées.
Du 15 juin au 2 septembre, la ville « renversée par l’art »
Le VAN est également un événement. Du 15 juin au 2 septembre prochains, la ville entière, ses monuments, ses boutiques, ses hôtels, ses restaurants et ses rues, sera « renversée par l’art » sous toutes ses formes, y compris gastronomiques, explique Jean Blaise, le directeur général du VAN.
L’objectif est de provoquer partout une atmosphère poétique susceptible de surprendre et d’apprivoiser le visiteur.
Dernier étage de la fusée, le VAN est aussi un produit touristique pérenne, une ballade en ville, à pied ou en vélo, au cœur de la population.
Guidé ou non, le visiteur suivra à son rythme, un trajet balisé à la découverte du patrimoine classique, comme la Cathédrale, le Passage Pommeraye, le Cours Cambronne, ou l’Opéra, mais aussi des ouvrages plus contemporains, comme le Hangar à bananes, les Anneaux de Buren ou les deux tours, celle du biscuitier Lu et celle de Bretagne.
Ce produit sera proposé tout au long de l’année, sur mesure ou en package, à la clientèle individuelle comme aux groupes.
Plusieurs TO, VisitFrance et la FNAC notamment, sont déjà sur le coup, mais d’autres devraient suivre très bientôt, et pas seulement sur le marché national.
L’objectif est de provoquer partout une atmosphère poétique susceptible de surprendre et d’apprivoiser le visiteur.
Dernier étage de la fusée, le VAN est aussi un produit touristique pérenne, une ballade en ville, à pied ou en vélo, au cœur de la population.
Guidé ou non, le visiteur suivra à son rythme, un trajet balisé à la découverte du patrimoine classique, comme la Cathédrale, le Passage Pommeraye, le Cours Cambronne, ou l’Opéra, mais aussi des ouvrages plus contemporains, comme le Hangar à bananes, les Anneaux de Buren ou les deux tours, celle du biscuitier Lu et celle de Bretagne.
Ce produit sera proposé tout au long de l’année, sur mesure ou en package, à la clientèle individuelle comme aux groupes.
Plusieurs TO, VisitFrance et la FNAC notamment, sont déjà sur le coup, mais d’autres devraient suivre très bientôt, et pas seulement sur le marché national.
7 200 chambres et bientôt : un Radisson Blue
Car Nantes a surtout des ambitions européennes. Son parc hôtelier compte 7 200 chambres, auxquelles s’ajouteront très bientôt celles d’un Radisson Blue, dont l’ouverture est attendue dans le courant de l’année.
Elle peut aussi s’appuyer sur un aéroport international qui génère un trafic annuel de 3 millions de passagers, pour une centaine de destinations desservies, dont 40 en vols réguliers.
Proche de la mer, de La Baule et des Sables d’Olonne, de Guérande et des vignobles régionaux, la ville des Ducs de Bretagne ne manque pas d’atouts pour réussir son pari.
D’autant plus qu’elle aura le soutien d’Atout France : « La promotion internationale du Voyage à Nantes entre parfaitement dans le cadre de notre mission,» assurait Christian Mantéi, le directeur général d’Atout France, qui était venu épauler Jean Blaise, lors de la présentation de l’événement nantais.
Cerise sur le gâteau, Nantes a en plus de la chance : cette année, la saison estivale s’annonce radieuse pour la France.
Elle peut aussi s’appuyer sur un aéroport international qui génère un trafic annuel de 3 millions de passagers, pour une centaine de destinations desservies, dont 40 en vols réguliers.
Proche de la mer, de La Baule et des Sables d’Olonne, de Guérande et des vignobles régionaux, la ville des Ducs de Bretagne ne manque pas d’atouts pour réussir son pari.
D’autant plus qu’elle aura le soutien d’Atout France : « La promotion internationale du Voyage à Nantes entre parfaitement dans le cadre de notre mission,» assurait Christian Mantéi, le directeur général d’Atout France, qui était venu épauler Jean Blaise, lors de la présentation de l’événement nantais.
Cerise sur le gâteau, Nantes a en plus de la chance : cette année, la saison estivale s’annonce radieuse pour la France.