Vintage Rides, basée en Inde, a été créée par Alexandre Zurcher et Alexandre Le Beuan en 2007 - DR : Vintage Rides
Depuis 2007, Vintage Rides a roulé sa bosse.
L’agence réceptive, basée à Delhi, en Inde, est née de la rencontre de deux Français, Alexandre Zurcher, qui venait de faire le tour du pays à moto et Alexandre Le Beuan, professionnel du tourisme installé à Delhi depuis 2 ans.
Ensemble, ils créent cette agence, spécialisée dans les voyages en Royal Enfield, la moto emblématique du pays.
Aujourd’hui, l’entreprise compte une vingtaine de salariés et plus de 600 clients, dont 400 Français et quelque 200 personnes issues du marché domestique.
« Au départ, nous ne vendions qu’en direct, raconte Alexandre Zurcher, mais nous disposons désormais d’une quarantaine de motos, de bons guides et d’une capacité d’accueil plus importante. Cela nous permet d’ouvrir nos ventes aux agences de voyages et de proposer un taux de commission allant jusqu’à 15% ».
Tout dépend du nombre de clients envoyés, mais les taux démarrent entre 10 et 12% pour atteindre les 15% de rémunération.
L’agence réceptive, basée à Delhi, en Inde, est née de la rencontre de deux Français, Alexandre Zurcher, qui venait de faire le tour du pays à moto et Alexandre Le Beuan, professionnel du tourisme installé à Delhi depuis 2 ans.
Ensemble, ils créent cette agence, spécialisée dans les voyages en Royal Enfield, la moto emblématique du pays.
Aujourd’hui, l’entreprise compte une vingtaine de salariés et plus de 600 clients, dont 400 Français et quelque 200 personnes issues du marché domestique.
« Au départ, nous ne vendions qu’en direct, raconte Alexandre Zurcher, mais nous disposons désormais d’une quarantaine de motos, de bons guides et d’une capacité d’accueil plus importante. Cela nous permet d’ouvrir nos ventes aux agences de voyages et de proposer un taux de commission allant jusqu’à 15% ».
Tout dépend du nombre de clients envoyés, mais les taux démarrent entre 10 et 12% pour atteindre les 15% de rémunération.
Vers l'ouverture d'une agence en France ?
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Alexandre Zurcher se dit même ouvert aux partenariats avec des tour-opérateurs français qui auraient des demandes spécifiques sur les destinations qu’il propose.
« La marque dispose désormais d’une certaine notoriété et nous souhaiterions que les ventes en agences constituent une part conséquente du chiffre d’affaires. Nous proposons donc un taux de commission attractif, alors que certains tour-opérateurs classiques baissent la leur ».
Vintage Rides se présente comme un TO proactif, après et même avant la réservation du voyage.
« Nous n’hésitons pas à entrer en contact directement avec le client et avec l’agent de voyages, à faire beaucoup de pédagogie, précise Alexandre Zurcher. Nous tenons à nous assurer qu'ils ont bien cerné le genre de roadtrip qu'ils s'apprêtent à acheter ».
Mais quid des garanties pour les professionnels français ? « Nous n’avons jamais rencontré le moindre problème, rétorque Alexandre Zurcher.
Notre agence réceptive est référencée au registre national du ministère du tourisme indien et membre du IATO, l’association indienne des tour-opérateurs.
Sans apporter de garantie réelle, cela prouve le sérieux et la qualité de notre agence.
Toutefois, nous songeons à ouvrir notre propre agence de voyages en France, dans le cas où plusieurs de nos clients souhaiteraient bénéficier de cette garantie supplémentaire.
Dans tous les cas, nous préférons travailler avec des personnes qui vont porter notre marque, au cas par cas, plutôt que d’adhérer à un réseau de distribution et se retrouver noyé dans la masse. »
Pour l’instant toutefois, la commercialisation de séjours via des agences de voyages ne représente qu’une vente sur 100.
« La marque dispose désormais d’une certaine notoriété et nous souhaiterions que les ventes en agences constituent une part conséquente du chiffre d’affaires. Nous proposons donc un taux de commission attractif, alors que certains tour-opérateurs classiques baissent la leur ».
Vintage Rides se présente comme un TO proactif, après et même avant la réservation du voyage.
« Nous n’hésitons pas à entrer en contact directement avec le client et avec l’agent de voyages, à faire beaucoup de pédagogie, précise Alexandre Zurcher. Nous tenons à nous assurer qu'ils ont bien cerné le genre de roadtrip qu'ils s'apprêtent à acheter ».
Mais quid des garanties pour les professionnels français ? « Nous n’avons jamais rencontré le moindre problème, rétorque Alexandre Zurcher.
Notre agence réceptive est référencée au registre national du ministère du tourisme indien et membre du IATO, l’association indienne des tour-opérateurs.
Sans apporter de garantie réelle, cela prouve le sérieux et la qualité de notre agence.
Toutefois, nous songeons à ouvrir notre propre agence de voyages en France, dans le cas où plusieurs de nos clients souhaiteraient bénéficier de cette garantie supplémentaire.
Dans tous les cas, nous préférons travailler avec des personnes qui vont porter notre marque, au cas par cas, plutôt que d’adhérer à un réseau de distribution et se retrouver noyé dans la masse. »
Pour l’instant toutefois, la commercialisation de séjours via des agences de voyages ne représente qu’une vente sur 100.
Des voyages au contact des populations locales
L'offre peut aller du voyage organisé en départ garanti avec guide français et véhicule d’assistance à la formule liberté où le voyageur part seul avec son roadbook électronique et sa boîte à outils - DR : Vintage Rides
Quant à la gamme des circuits, elle varie du voyage organisé en départ garanti avec guide français et véhicule d’assistance pour transporter les bagages et le passager de temps à autre, à la formule liberté où le voyageur part seul avec son roadbook électronique et sa boîte à outils, après avoir reçu une formation d’une journée.
Autre alternative, le circuit organisé agrémenté d’activités à la carte ou sur-mesure.
« Nos offres vont du circuit de luxe "Chic et Charme" au raid, et séduisent majoritairment une clientèle moyen de gamme à supérieure, âgée de plus de 35 ans, ce qui n’exclut pas que nous pouvons avoir de jeunes clients, poursuit Alexandre Zurcher.
Autre règle : nos groupes ne dépassent jamais 12 participants, afin de pouvoir aller au contact des populations locales ».
Avec un peu moins d’un million d’euros en objectif de chiffre d’affaires pour le prochain exercice, Vintage Rides poursuit sa route.
« La Mongolie sera le challenge de l’été, en attendant d’ouvrir de nouvelles destinations », poursuit Alexandre Zurcher.
A l’étude également, l’ouverture de franchises pour s’implanter dans de nouveaux pays…
Autre alternative, le circuit organisé agrémenté d’activités à la carte ou sur-mesure.
« Nos offres vont du circuit de luxe "Chic et Charme" au raid, et séduisent majoritairment une clientèle moyen de gamme à supérieure, âgée de plus de 35 ans, ce qui n’exclut pas que nous pouvons avoir de jeunes clients, poursuit Alexandre Zurcher.
Autre règle : nos groupes ne dépassent jamais 12 participants, afin de pouvoir aller au contact des populations locales ».
Avec un peu moins d’un million d’euros en objectif de chiffre d’affaires pour le prochain exercice, Vintage Rides poursuit sa route.
« La Mongolie sera le challenge de l’été, en attendant d’ouvrir de nouvelles destinations », poursuit Alexandre Zurcher.
A l’étude également, l’ouverture de franchises pour s’implanter dans de nouveaux pays…
Vintage Rides en quelques chiffres
- Création en 2007
- Une vingtaine de salariés
- Chiffre d’affaires visé sur l’exercice avril 2013- mars 2014 : un peu moins d’un million d’euros
- 400 clients français par an, 50 anglophones, 20 germanophones, 200 du marché domestique
- Une vingtaine de salariés
- Chiffre d’affaires visé sur l’exercice avril 2013- mars 2014 : un peu moins d’un million d’euros
- 400 clients français par an, 50 anglophones, 20 germanophones, 200 du marché domestique
![Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/85025254-60665965.jpg?v=1734537945 "Futuroscopie - Crise de la presse, crise du réel, fatigue informationnelle [ABO]")
