A l'occasion de l'IFTM Top Résa 2015, Avexia Voyages présente son dernier Livre Blanc, continuité de l'Observatoire 2015.
Cette publication de 19 pages part "à la recherche des dépenses perdues" dans le voyage d'affaires. Elle affirme, dès la couverture, que 30 à 40 % d'entre elles ne sont pas gérées dans les PME/PMI.
5 catégories de dépenses ne sont principalement pas maîtrisées : les frais de prévention, les frais routiers, les frais ancillaires, les frais hôteliers et les frais de restauration. Leurs "contours sont souvent mal définis [et] échappent à la vigilance des entreprises", explique Avexia Voyages.
Elles sont généralement engagées et payées directement par les collaborateurs des entreprises.
Partant de ce constat, le Livre Blanc donne des pistes d'optimisation pour les sociétés. Il conseille notamment d'intégrer les acteurs de la nouvelle économie dans leur stratégie de déplacements professionnels : Airbnb, Uber, BusinessTable...
La principale recommandation tient dans le passage "d'un contrôle a posteriori à un contrôle a priori des frais de déplacement."
Avec des enjeux importants en termes d'économies puisqu'ils sont d'environ 30 %, soit trois fois plus que les catégories de dépenses traditionnelles.
Cette publication de 19 pages part "à la recherche des dépenses perdues" dans le voyage d'affaires. Elle affirme, dès la couverture, que 30 à 40 % d'entre elles ne sont pas gérées dans les PME/PMI.
5 catégories de dépenses ne sont principalement pas maîtrisées : les frais de prévention, les frais routiers, les frais ancillaires, les frais hôteliers et les frais de restauration. Leurs "contours sont souvent mal définis [et] échappent à la vigilance des entreprises", explique Avexia Voyages.
Elles sont généralement engagées et payées directement par les collaborateurs des entreprises.
Partant de ce constat, le Livre Blanc donne des pistes d'optimisation pour les sociétés. Il conseille notamment d'intégrer les acteurs de la nouvelle économie dans leur stratégie de déplacements professionnels : Airbnb, Uber, BusinessTable...
La principale recommandation tient dans le passage "d'un contrôle a posteriori à un contrôle a priori des frais de déplacement."
Avec des enjeux importants en termes d'économies puisqu'ils sont d'environ 30 %, soit trois fois plus que les catégories de dépenses traditionnelles.
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