Véritable sas de décompression, les séances de Spa-sophrologie se traduisent par des exercices de relaxation dynamique, par un travail de respiration et de détente mentale et musculaire © Dirima - Fotolia.com
Lancer sur le marché une gamme de produits cosmétiques bio ayant les mêmes fonctionnalités et les mêmes aspects que les produits traditionnels était une véritable gageure.
Pour être certifié, le « bio » nécessite en effet de nombreuses contraintes. (Voir encadré ci-dessous).
Qu’il ait par ailleurs une texture et des parfums aussi agréables que les produits traditionnels haut de gamme, avec un packaging à la fois élégant et biodégradable, demandait beaucoup de recherche.
Il faudra à Maryse de Wever trois ans d’études et de recherches scientifiques.
Partant d’une feuille blanche, il lui restait aussi à se faire connaître sur un marché très concurrentiel où les appellations non prouvées « bio » ou « produit naturel » sont légion. Elle enregistrera ses premières ventes en février 2013.
« Je voulais une marque de niche claire et différentielle. Tout le monde peut innover. Il suffit d’investir.
Mon objectif était de proposer à une clientèle exigeante des produits sains et écologiques. Tout en sachant que cela demandait beaucoup de contraintes, je voulais obtenir le label « écocert ».
Et cette contrainte ira jusque dans les détails : les pots en verre sont présentés dans des pochons réalisés en coton, soie et velours bio. Le packaging se déplie sans point de colle…
Pour être certifié, le « bio » nécessite en effet de nombreuses contraintes. (Voir encadré ci-dessous).
Qu’il ait par ailleurs une texture et des parfums aussi agréables que les produits traditionnels haut de gamme, avec un packaging à la fois élégant et biodégradable, demandait beaucoup de recherche.
Il faudra à Maryse de Wever trois ans d’études et de recherches scientifiques.
Partant d’une feuille blanche, il lui restait aussi à se faire connaître sur un marché très concurrentiel où les appellations non prouvées « bio » ou « produit naturel » sont légion. Elle enregistrera ses premières ventes en février 2013.
« Je voulais une marque de niche claire et différentielle. Tout le monde peut innover. Il suffit d’investir.
Mon objectif était de proposer à une clientèle exigeante des produits sains et écologiques. Tout en sachant que cela demandait beaucoup de contraintes, je voulais obtenir le label « écocert ».
Et cette contrainte ira jusque dans les détails : les pots en verre sont présentés dans des pochons réalisés en coton, soie et velours bio. Le packaging se déplie sans point de colle…
Le Spa-sophrologie : une signature exclusive Ymalia
En lançant le concept de Spa sophrologique associé aux bienfaits de l’eau de mer isotonique, ingrédient omniprésent dans ses soins, Maryse de Wever veut répondre à une demande globale de plus en plus formulée par le consommateur.
« Ce n’est pas en s’allongeant sur une table de soins que l’on efface toutes les problématiques liées au stress, à la fatigue ou à l’anxiété.
Tous nos protocoles intègrent des séances de sophrologie individuelles et adaptées ».
Considérées comme un véritable sas de décompression, ces séances se traduisent par des exercices de relaxation dynamique, par un travail de respiration et de détente mentale et musculaire.
L’enjeu de la réussite repose beaucoup sur la formation des équipes des partenaires, hôteliers ou Spas, tous haut de gamme.
Sophrologue de formation, Maryse de Wewer se charge personnellement de ces formations. Elle est la seule en France à s’engager dans une telle voie.
Le Renaissance d’Aix-en-Provence (ouvert en janvier 2014) et le Domaine de Chalvêches en Ardèche (qui ouvrira en juillet 2014) intègrent les deux premiers Spas exclusifs Ymalia.
La marque a engagé des partenariats avec le Chalet Zannier (Megève), le Chalet Royalp (Suisse), la Réserve de Beaulieu (Beaulieu-sur-Mer), le Mandarin Oriental (Barcelone). De futurs accords sont en cours.
« Ce n’est pas en s’allongeant sur une table de soins que l’on efface toutes les problématiques liées au stress, à la fatigue ou à l’anxiété.
Tous nos protocoles intègrent des séances de sophrologie individuelles et adaptées ».
Considérées comme un véritable sas de décompression, ces séances se traduisent par des exercices de relaxation dynamique, par un travail de respiration et de détente mentale et musculaire.
L’enjeu de la réussite repose beaucoup sur la formation des équipes des partenaires, hôteliers ou Spas, tous haut de gamme.
Sophrologue de formation, Maryse de Wewer se charge personnellement de ces formations. Elle est la seule en France à s’engager dans une telle voie.
Le Renaissance d’Aix-en-Provence (ouvert en janvier 2014) et le Domaine de Chalvêches en Ardèche (qui ouvrira en juillet 2014) intègrent les deux premiers Spas exclusifs Ymalia.
La marque a engagé des partenariats avec le Chalet Zannier (Megève), le Chalet Royalp (Suisse), la Réserve de Beaulieu (Beaulieu-sur-Mer), le Mandarin Oriental (Barcelone). De futurs accords sont en cours.
Ecocert : un organisme de contrôle et de certification
Depuis 20 ans, Ecocert contrôle sur le terrain le respect des exigences définies dans un référentiel et délivre le document d’attestation qui certifie la conformité du produit, système ou service à ce référentiel.
Précurseur dans ce domaine, Ecocert a créé et déposé en 2003, le référentiel « Cosmétique écologique et biologique ».
Un cosmétique certifié biologique par Ecocert doit obligatoirement porter la mention « Cosmétique écologique et/ou biologique certifié par Ecocert » et afficher son logo de certification.
Ses critères sont parmi les plus exigeants du marché. Ainsi, 95% d’ingrédients naturels au minimum dans le produit fini.
Absence d’OGM, parabens, phénoxyéthanol, ingrédients issus de la pétrochimie ou chimie de synthèse ; pas de tests de produits finis sur les animaux.
Tout le processus de fabrication est contrôlé, Le conditionnement, les emballages et suremballages doivent être biodégradables ou recyclables.
Pour le label « Cosmétique biologique » : 10% minimum du total des ingrédients doivent être issus de l’agriculture biologique (et 95% minimum des ingrédients végétaux de la formule).
Précurseur dans ce domaine, Ecocert a créé et déposé en 2003, le référentiel « Cosmétique écologique et biologique ».
Un cosmétique certifié biologique par Ecocert doit obligatoirement porter la mention « Cosmétique écologique et/ou biologique certifié par Ecocert » et afficher son logo de certification.
Ses critères sont parmi les plus exigeants du marché. Ainsi, 95% d’ingrédients naturels au minimum dans le produit fini.
Absence d’OGM, parabens, phénoxyéthanol, ingrédients issus de la pétrochimie ou chimie de synthèse ; pas de tests de produits finis sur les animaux.
Tout le processus de fabrication est contrôlé, Le conditionnement, les emballages et suremballages doivent être biodégradables ou recyclables.
Pour le label « Cosmétique biologique » : 10% minimum du total des ingrédients doivent être issus de l’agriculture biologique (et 95% minimum des ingrédients végétaux de la formule).