La page web des séjours city break, qui propose des hébergement en ville. Un site internet spécifique sera lancé au printemps 2012.
Malgré une météo quelque peu capricieuse, le bilan estival des gîtes de France est tout à fait positif.
Le taux d’occupation pour les mois de juillet et août s’élève à 83%, en progression d’un point par rapport à 2010. Le mois d’août, traditionnellement le plus chargé, a vu ton taux d’occupation grimper à 92% contre 90% l’an passé.
« Avec le camping, nous sommes les deux produits qui tirent leur épingle du jeu sur le marché » assure Jérôme Monteil, le directeur général.
Si les grands classiques comme le littoral, la Corse et la région PACA ont très bien fonctionné, d’autres destinations sont revenues sur le devant de la scène, comme la Bretagne.
Enfin, grâce à l’été Indien, l’arrière saison devrait être particulièrement réussie. « Nous avons enregistré de très belles ventes de dernière minute dans certaines régions qui avaient un peu souffert, comme la Bourgogne, l’Aquitaine et toutes celles à deux heures de Paris » confirme Jérôme Monteil.
Le prix moyen lui n’a pas bougé à 500 euros pour une semaine en haute saison et 330 euros pour la basse saison. Notons également que près d’un contrat sur deux est vendu via le site internet, qui a attiré 33 millions de visiteurs uniques.
Le taux d’occupation pour les mois de juillet et août s’élève à 83%, en progression d’un point par rapport à 2010. Le mois d’août, traditionnellement le plus chargé, a vu ton taux d’occupation grimper à 92% contre 90% l’an passé.
« Avec le camping, nous sommes les deux produits qui tirent leur épingle du jeu sur le marché » assure Jérôme Monteil, le directeur général.
Si les grands classiques comme le littoral, la Corse et la région PACA ont très bien fonctionné, d’autres destinations sont revenues sur le devant de la scène, comme la Bretagne.
Enfin, grâce à l’été Indien, l’arrière saison devrait être particulièrement réussie. « Nous avons enregistré de très belles ventes de dernière minute dans certaines régions qui avaient un peu souffert, comme la Bourgogne, l’Aquitaine et toutes celles à deux heures de Paris » confirme Jérôme Monteil.
Le prix moyen lui n’a pas bougé à 500 euros pour une semaine en haute saison et 330 euros pour la basse saison. Notons également que près d’un contrat sur deux est vendu via le site internet, qui a attiré 33 millions de visiteurs uniques.
Des gîtes en ville
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Diverses initiatives ont également été mises en place pour recruter de nouveaux propriétaires et augmenter le parc de 3%. Les adhérents potentiels peuvent ainsi faire appel à des conseillers pour les aider dans leurs démarches.
Afin de mutualiser les efforts et rentabiliser les coûts, la fédération compte prochainement mettre en place 15 à 30 pôles commerciaux qui regrouperont 1500 à 3000 gîtes d’ici 2015.
L’objectif est ainsi de faire progresser le taux d’occupation de 1,5 semaines. « Nous tournons actuellement autour de 18 semaines. Il nous reste donc une bonne marge de manœuvre » analyse Jérôme Monteil.
Pour soutenir cette politique, une campagne de communication TV et web sera lancée et une nouvelle plateforme unique permettra de satisfaire l’ensemble des métiers du réseau, de la production à la relationclient.
Autre axe de développement du groupe, les City Break, un concept né en 2010, qui regroupe aujourd’hui 400 hébergements au cœur des villes.
Deux nouvelles adresses viennent d’être inaugurées à Paris : l’appartement haussmannien dans le 12e arrondissement et le Manoir de Beauregard.
La capitale était pour le moment absente de cette gamme. Le groupe espère ainsi référencer 200 à 250 nouvelles adresses sur Paris et sa petite couronne au cours des prochaines années.
Afin de mutualiser les efforts et rentabiliser les coûts, la fédération compte prochainement mettre en place 15 à 30 pôles commerciaux qui regrouperont 1500 à 3000 gîtes d’ici 2015.
L’objectif est ainsi de faire progresser le taux d’occupation de 1,5 semaines. « Nous tournons actuellement autour de 18 semaines. Il nous reste donc une bonne marge de manœuvre » analyse Jérôme Monteil.
Pour soutenir cette politique, une campagne de communication TV et web sera lancée et une nouvelle plateforme unique permettra de satisfaire l’ensemble des métiers du réseau, de la production à la relationclient.
Autre axe de développement du groupe, les City Break, un concept né en 2010, qui regroupe aujourd’hui 400 hébergements au cœur des villes.
Deux nouvelles adresses viennent d’être inaugurées à Paris : l’appartement haussmannien dans le 12e arrondissement et le Manoir de Beauregard.
La capitale était pour le moment absente de cette gamme. Le groupe espère ainsi référencer 200 à 250 nouvelles adresses sur Paris et sa petite couronne au cours des prochaines années.