"British Airways, avec toute cette dissimulation qui caractérise souvent nos amis grands-bretons, vient d’annoncer que dorénavant, sur ses lignes court-courrier, il n’y aura plus de petite « collation » (généralement un canapé au concombre), assorti d’une tasse de thé gratuite !" - Photo : kasto-Fotolia.com
C’est très clair, les compagnies traditionnelles souffrent sur leurs lignes court et moyen-courrier.
Air France comme les autres, (sauf peut-être pour sa navette entre les cinq pôles économiques du pays) devrait, pour la première fois depuis très longtemps, dégager une situation saine. Croisons les doigts...
British Airways, avec toute cette dissimulation qui caractérise souvent nos amis grands-bretons, vient d’annoncer que dorénavant, sur ses lignes court-courrier, il n’y aura plus de petite « collation » (généralement un canapé au concombre), assorti d’une tasse de thé gratuite !)
En revanche, pour une modique somme (payable en carte de crédit) la célèbre maison Mark & Spencer qui fit la fortune de ses proprios et l’engouement de bons nombres de touristes, proposera aux passagers économiques de British quelques-unes de ses spécialités "culinaires" : chips, pas cher), salades, poulet au quinoa assorti d’épices (oui, c’est une traduction libre) et quelques boissons pas trop alcoolisées... So British !
Tant qu’il n’y a pas de pudding !
Air France comme les autres, (sauf peut-être pour sa navette entre les cinq pôles économiques du pays) devrait, pour la première fois depuis très longtemps, dégager une situation saine. Croisons les doigts...
British Airways, avec toute cette dissimulation qui caractérise souvent nos amis grands-bretons, vient d’annoncer que dorénavant, sur ses lignes court-courrier, il n’y aura plus de petite « collation » (généralement un canapé au concombre), assorti d’une tasse de thé gratuite !)
En revanche, pour une modique somme (payable en carte de crédit) la célèbre maison Mark & Spencer qui fit la fortune de ses proprios et l’engouement de bons nombres de touristes, proposera aux passagers économiques de British quelques-unes de ses spécialités "culinaires" : chips, pas cher), salades, poulet au quinoa assorti d’épices (oui, c’est une traduction libre) et quelques boissons pas trop alcoolisées... So British !
Tant qu’il n’y a pas de pudding !
C’est juste prévu pour janvier prochain.
Après tout, pourquoi pas, puisque selon la compagnie, cette mesure est prise afin de "lutter contre les low cost, particulièrement easyJet et Ryanair".
A mon humble avis, tout ceci va drôlement les faire rigoler, d’autant que British entend ainsi "faire baisser ses tarifs".
Ben, je demande à voir.
Et comme d’habitude, cette décision aura été prise après avoir enquêté auprès des passagers, lesquels, bien évidemment, ont préféré payer pour un petit truc à grignoter « de qualité ».
Comme quoi, les sondages, faut toujours y croire, damned !
Franchement, sur un vol d’une heure ou deux, je ne vois pas trop l’intérêt.
Si c’est vraiment trop lourd pour la compagnie, en termes financiers, je ne crois pas que vendre des chips et cacahuètes vont participer activement à la réduction des pertes… Mais bon !
Tiens, c’est peut-être un petit plus pour Air France, laquelle a déjà depuis longtemps réduit ses « petites collations » à bord de ses courts courriers.
Mais je regrette le temps où l’on vous distribuait ces petites galettes bretonnes. Elles étaient super bonnes et ça suffisait largement pour un vol d’une heure…
Après tout, pourquoi pas, puisque selon la compagnie, cette mesure est prise afin de "lutter contre les low cost, particulièrement easyJet et Ryanair".
A mon humble avis, tout ceci va drôlement les faire rigoler, d’autant que British entend ainsi "faire baisser ses tarifs".
Ben, je demande à voir.
Et comme d’habitude, cette décision aura été prise après avoir enquêté auprès des passagers, lesquels, bien évidemment, ont préféré payer pour un petit truc à grignoter « de qualité ».
Comme quoi, les sondages, faut toujours y croire, damned !
Franchement, sur un vol d’une heure ou deux, je ne vois pas trop l’intérêt.
Si c’est vraiment trop lourd pour la compagnie, en termes financiers, je ne crois pas que vendre des chips et cacahuètes vont participer activement à la réduction des pertes… Mais bon !
Tiens, c’est peut-être un petit plus pour Air France, laquelle a déjà depuis longtemps réduit ses « petites collations » à bord de ses courts courriers.
Mais je regrette le temps où l’on vous distribuait ces petites galettes bretonnes. Elles étaient super bonnes et ça suffisait largement pour un vol d’une heure…
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Mais Air France a d’autres soucis, outre rétablir la confiance, grâce, une nouvelle fois de plus à un cabinet d’audit.
Si je ne m’abuse, c’est encore le cabinet Boston qui va, à nouveau, sévir.
C’est ce même cabinet qui avait œuvré auprès de Spinetta, puis de Begougne de Juniac et pondu des plans « de redressement » qui ont donné les résultats que l’on connaît…
Nous verrons bien, au début du mois de novembre, ce que va nous révéler le nouveau patron de notre compagnie.
Et notamment, si oui ou non, Air France va se lancer, comme Lufthansa, par exemple, dans une filiale low cost long-courrier.
Parce que c’est là que la bataille va se jouer. Et Air France le sait bien. Et que c’est maintenant ou jamais...
Après, il sera trop tard, d’autant que prendre quelques participations dans des compagnies existantes et pratiquant cette formule ne serait pas si coûteux, malgré ce qu’en pensent les énarques financiers d’Air France.
Je me suis même laisser dire que Frédéric Gagey, Président d’Air France, pousserait fortement à la roue.
Et là, on pourra demander à Lenôtre ou Paul de fabriquer des « petites collations » à vendre dans les aéroplanes…
Mais que le bon peuple se rassure: la survie des compagnies passera (ou pas) par la bouffe!
Si je ne m’abuse, c’est encore le cabinet Boston qui va, à nouveau, sévir.
C’est ce même cabinet qui avait œuvré auprès de Spinetta, puis de Begougne de Juniac et pondu des plans « de redressement » qui ont donné les résultats que l’on connaît…
Nous verrons bien, au début du mois de novembre, ce que va nous révéler le nouveau patron de notre compagnie.
Et notamment, si oui ou non, Air France va se lancer, comme Lufthansa, par exemple, dans une filiale low cost long-courrier.
Parce que c’est là que la bataille va se jouer. Et Air France le sait bien. Et que c’est maintenant ou jamais...
Après, il sera trop tard, d’autant que prendre quelques participations dans des compagnies existantes et pratiquant cette formule ne serait pas si coûteux, malgré ce qu’en pensent les énarques financiers d’Air France.
Je me suis même laisser dire que Frédéric Gagey, Président d’Air France, pousserait fortement à la roue.
Et là, on pourra demander à Lenôtre ou Paul de fabriquer des « petites collations » à vendre dans les aéroplanes…
Mais que le bon peuple se rassure: la survie des compagnies passera (ou pas) par la bouffe!