Photo : Air France Corporate
A la suite d’accusations proférées par une passagère, l'équipage du vol AF 228 du 29 octobre 2017 à destination de Buenos aires en Argentine s'est vu interpellé par la Police.
Le syndicat SNPNC Air France a écrit à Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères pour lui demander qu'une enquête soit ouverte. Une autre lettre envoyée à l'Ambassadrice d'Argentine en France explique les circonstances de cette affaire.
Tout est parti du mécontentement d'une passagère qui a vu sa demande de surclassement refusée faute de place disponible.
Cette même passagère a ensuite demandé de changer de siège en raison de l'attitude déplacée de son voisin. L'équipage bien que n'ayant rien remarqué d'anormal, affecte un nouveau siège à cette cliente.
A l'atterrissage, et à la suite d'une plainte de cette même passagère, une partie de l'équipage est contraint de se rendre au commissariat de l'aéroport et d'y rester 6h explique le SNPNC qui relate l'histoire sur Facebook.
Ils ont ensuite reçu l'injonction de se rendre au Tribunal de Buenos Aires le lendemain matin à 8h30. Là ils ont été placés dans une cour. "Le chef de cabine a alors été séparé du reste du groupe et enfermé dans une pièce de 1m² sans avoir la possibilité ni de s’asseoir ni de boire et manger pendant plusieurs heures" précise le SNPNC.
Le syndicat SNPNC Air France a écrit à Jean-Yves Le Drian, ministre des affaires étrangères pour lui demander qu'une enquête soit ouverte. Une autre lettre envoyée à l'Ambassadrice d'Argentine en France explique les circonstances de cette affaire.
Tout est parti du mécontentement d'une passagère qui a vu sa demande de surclassement refusée faute de place disponible.
Cette même passagère a ensuite demandé de changer de siège en raison de l'attitude déplacée de son voisin. L'équipage bien que n'ayant rien remarqué d'anormal, affecte un nouveau siège à cette cliente.
A l'atterrissage, et à la suite d'une plainte de cette même passagère, une partie de l'équipage est contraint de se rendre au commissariat de l'aéroport et d'y rester 6h explique le SNPNC qui relate l'histoire sur Facebook.
Ils ont ensuite reçu l'injonction de se rendre au Tribunal de Buenos Aires le lendemain matin à 8h30. Là ils ont été placés dans une cour. "Le chef de cabine a alors été séparé du reste du groupe et enfermé dans une pièce de 1m² sans avoir la possibilité ni de s’asseoir ni de boire et manger pendant plusieurs heures" précise le SNPNC.
Possibilités de recours juridique
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Les autres membres d'équipage ont été entendus pendant plusieurs heures à partir du début de l'après midi, et le chef de cabine a été interrogé à partir de 20h seulement.
Toute le monde fut relâché sans excuse à la fin de la journée.
L'équipage a eu connaissance du lien de parenté de la passagère avec une magistrate de Buenos Aires et avec un ancien Vice-Ministre de la Justice, qui n'est autre que son père.
L'équipage choqué a été rapatrié en France.
Le SNPNC étudie actuellement les possibilités de recours juridique pour obtenir réparation du préjudicie subi.
Toute le monde fut relâché sans excuse à la fin de la journée.
L'équipage a eu connaissance du lien de parenté de la passagère avec une magistrate de Buenos Aires et avec un ancien Vice-Ministre de la Justice, qui n'est autre que son père.
L'équipage choqué a été rapatrié en France.
Le SNPNC étudie actuellement les possibilités de recours juridique pour obtenir réparation du préjudicie subi.