Il était notamment demandé aux producteurs quelle était leur quantité annuelle de brochures imprimées et quels étaient leurs pourcentages de distribution. Aux distributeurs il était demandé s'ils étaient approvisionnés par les TO automatiquement ou sur demande. La question était aussi posée aux uns et aux autres sur leurs critères d'approvisionnement.
Les critères reposent sur le chiffre d'affaires et le référencement réseau
Sur un panel de 44 producteurs (11 221 000 brochures imprimées !), 32 % ont répondu faire des approvisionnements automatiques, 22 % réapprovisionnent à la demande des agences et 41 % à celle des clients directs. 4 TO ont indiqué ne plus imprimer et utiliser internet.
Les critères de distribution reposent le plus souvent sur le chiffre d'affaires des années précédentes et le référencement réseau. Le potentiel de développement, la situation géographique, le coût et la rentabilité entrent aussi dans cette appréciation.
La papier recyclé n'est pas encore dans l'air du temps : 60 % des TO le refusent. Quant aux reliquats, ils vont pour 45 % en recyclage ou à la déchèterie, 20 % à la poubelle et 10 % dans les écoles de tourisme.
La quasi totalité des TO (82 %) disent oui à la gestion des brochures en ligne sur internet les autres y sont favorables. Le papier reste cependant d'actualité, indispensable pour les informations détaillées. D'une façon générale les producteurs tiennent à garder les deux formules, trouvant une réelle complémentarité. à leur utilisation.
Dire aussi que l'idée de faire payer les brochures, un jour, n'est pas exclue chez les TO.
Les critères reposent sur le chiffre d'affaires et le référencement réseau
Sur un panel de 44 producteurs (11 221 000 brochures imprimées !), 32 % ont répondu faire des approvisionnements automatiques, 22 % réapprovisionnent à la demande des agences et 41 % à celle des clients directs. 4 TO ont indiqué ne plus imprimer et utiliser internet.
Les critères de distribution reposent le plus souvent sur le chiffre d'affaires des années précédentes et le référencement réseau. Le potentiel de développement, la situation géographique, le coût et la rentabilité entrent aussi dans cette appréciation.
La papier recyclé n'est pas encore dans l'air du temps : 60 % des TO le refusent. Quant aux reliquats, ils vont pour 45 % en recyclage ou à la déchèterie, 20 % à la poubelle et 10 % dans les écoles de tourisme.
La quasi totalité des TO (82 %) disent oui à la gestion des brochures en ligne sur internet les autres y sont favorables. Le papier reste cependant d'actualité, indispensable pour les informations détaillées. D'une façon générale les producteurs tiennent à garder les deux formules, trouvant une réelle complémentarité. à leur utilisation.
Dire aussi que l'idée de faire payer les brochures, un jour, n'est pas exclue chez les TO.
Brochure papier plus... rassurante vis à vis du client
83 distributeurs ont répondu au questionnaire. 50 % ont déclaré être livrés automatiquement par les TO (20 % disent en recevoir trop). Les critères reposent sur les demandes clients, les ventes réalisées et le référencement réseau.
Un distributeur sur deux estiment la brochure papier plus rassurante dans sa relation avec le client et sa lecture, plus confortable. Le stockage, la manutention et le fait que les brochures imprimées "ne soient jamais à jour" (phénomène de yield).
Le constat de gaspillage des brochures non utilisées posent toutefois problème aux agences sensibles à ce phénomène de protection de la nature et de tourisme durable...
Il est enfin étonnant de constater que les agents de voyages disent ignorer le nombre de brochures qu'elles reçoivent. Beaucoup disent qu'elles en reçoivent trop et demandent davantage de concertation avec les TO.
Les reliquats vont à la déchèterie, en présentoir extérieur libre service, dans les écoles de tourisme ou en recyclage.
Enfin, ce n'est demain la veille du jour où les distributeurs paieront 1 euro la brochure. 70 % disent un non catégorie arguant la crainte de perdre leur client et d'être amenés à payer eux-mêmes cette "participation".
Un distributeur sur deux estiment la brochure papier plus rassurante dans sa relation avec le client et sa lecture, plus confortable. Le stockage, la manutention et le fait que les brochures imprimées "ne soient jamais à jour" (phénomène de yield).
Le constat de gaspillage des brochures non utilisées posent toutefois problème aux agences sensibles à ce phénomène de protection de la nature et de tourisme durable...
Il est enfin étonnant de constater que les agents de voyages disent ignorer le nombre de brochures qu'elles reçoivent. Beaucoup disent qu'elles en reçoivent trop et demandent davantage de concertation avec les TO.
Les reliquats vont à la déchèterie, en présentoir extérieur libre service, dans les écoles de tourisme ou en recyclage.
Enfin, ce n'est demain la veille du jour où les distributeurs paieront 1 euro la brochure. 70 % disent un non catégorie arguant la crainte de perdre leur client et d'être amenés à payer eux-mêmes cette "participation".