La nouvelle chocolaterie inaugurée il y a six mois à Fleurance, Gers, marque un pas de plus pour cette coopérative dans la volonté de défendre et faire connaître tous les aspects du commerce équitable, y compris dans ses aspects ludiques et gourmands.
L’investissement de 20 millions d'euros a essentiellement porté sur l’outil industriel ultra-moderne, mais il intègre également la création d’un parcours pédagogique de 400 m2 conçu pour les visites du public qui ouvrira au printemps 2022.
L’investissement de 20 millions d'euros a essentiellement porté sur l’outil industriel ultra-moderne, mais il intègre également la création d’un parcours pédagogique de 400 m2 conçu pour les visites du public qui ouvrira au printemps 2022.
Une visite pédagogique et militante
« Souvent les gens ne savent pas d'où vient le café ou le chocolat qu'ils achètent. C'est souvent des mélanges. Ici, on revient à des origines pures, on veut faire découvrir aux consommateurs le vrai goût des produits », justifie le directeur de l’usine, Rémi Roux.
« On a décidé d'ouvrir ce site de visite pour avoir le temps de convaincre les gens qui vont venir sur l'importance de la nourriture bio, l'importance de payer un prix plus juste, de faire du commerce équitable et donc d'acheter un cacao à des conditions plus juste, plus décentes, de façon à pérenniser la filière. »
Le financement de l’usine a été facilité par l’intervention de la Banque des Territoires. C’est cette même institution qui a porté la plateforme Alentour sur les fonds baptismaux, une plateforme qui favorise la commercialisation via les hébergeurs des activités touristiques locales.
Lire aussi : La plateforme Alentour gagne un nouveau partenaire
« On a décidé d'ouvrir ce site de visite pour avoir le temps de convaincre les gens qui vont venir sur l'importance de la nourriture bio, l'importance de payer un prix plus juste, de faire du commerce équitable et donc d'acheter un cacao à des conditions plus juste, plus décentes, de façon à pérenniser la filière. »
Le financement de l’usine a été facilité par l’intervention de la Banque des Territoires. C’est cette même institution qui a porté la plateforme Alentour sur les fonds baptismaux, une plateforme qui favorise la commercialisation via les hébergeurs des activités touristiques locales.
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