TUI France : "Van de Velde...ne se laissera pas imposer des choses par la direction" - Crédit photo : TUI France
Après la valse des patrons à la tête de TUI France, se tenait ce jeudi 18 avril 2019, un Comité social et économique au sein de la filiale française du groupe allemand.
En présence du fraîchement nommé Hans Van de Velde, PDG de TUI France, la réunion devait aborder la lourde perde de 50 millions d'euros anticipée pour l'année en cours.
Si des questions ont été posées, l'entrevue ressemblait plutôt à un "discours d'intronisation et de politique générale" nous confie à la sortie de la salle Lazare Razkallah, le secrétaire général du CSE.
Dans un climat plus apaisé, et des syndicats voulant mettre "fin à la guerre avec la direction", la réunion fut positive avec un individu qui croît en son entreprise.
A lire : La case de l’Oncle Dom : TUI France... laisse aller, c’est une valse !
"M. Van de Velde nous a expliqué que les mauvaises relations entre la Direction, comprendre Elie Bruyninckx, et les syndicats ont eu un impact sur sa nomination."
Le nouveau patron a rappelé que le dialogue social était sa priorité et que les mauvais chiffres étaient confirmés. Face à un patron ouvert à la discussion, le responsable de la CGT s'est déclaré "très satisfait de cette nomination et de cette première prise de contact."
Suite à ce discours, un débat a alors eu lieu, mais en raison de la complexité des échanges, une commission économique va se réunir pour analyser les chiffres de l'entreprise.
En présence du fraîchement nommé Hans Van de Velde, PDG de TUI France, la réunion devait aborder la lourde perde de 50 millions d'euros anticipée pour l'année en cours.
Si des questions ont été posées, l'entrevue ressemblait plutôt à un "discours d'intronisation et de politique générale" nous confie à la sortie de la salle Lazare Razkallah, le secrétaire général du CSE.
Dans un climat plus apaisé, et des syndicats voulant mettre "fin à la guerre avec la direction", la réunion fut positive avec un individu qui croît en son entreprise.
A lire : La case de l’Oncle Dom : TUI France... laisse aller, c’est une valse !
"M. Van de Velde nous a expliqué que les mauvaises relations entre la Direction, comprendre Elie Bruyninckx, et les syndicats ont eu un impact sur sa nomination."
Le nouveau patron a rappelé que le dialogue social était sa priorité et que les mauvais chiffres étaient confirmés. Face à un patron ouvert à la discussion, le responsable de la CGT s'est déclaré "très satisfait de cette nomination et de cette première prise de contact."
Suite à ce discours, un débat a alors eu lieu, mais en raison de la complexité des échanges, une commission économique va se réunir pour analyser les chiffres de l'entreprise.
RV le 15 mai 2019, pour en savoir plus sur l'avenir...
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"La commission va alors préparer un rapport, avec l'aide des experts du CSE Apex sur la situation de notre entreprise. Ce compte-rendu sera ensuite présenté à un CSE extraordinaire le 15 mai 2019. Elle est très importante.
A l'occasion de cette réunion, la stratégie de TUI France et ses conséquences sur l'emploi seront dévoilées.
Et Lazare Razkallah de développer "en attendant, M. Van de Velde m'a confié qu'il ne laissera pas la Direction lui imposer des choses. Ce sera sa stratégie et la bonne pour TUI France."
Avec 17 ans d'expérience au sein du tour-opérateur allemand, le nouveau PDG pense "avoir ses entrées et connait M. Joussen". Si Lazare Razkallah ne se veut pas angélique et attend les annonces du 15 mai 2019 avant de juger, il ressort de ce comité une prise de contact positive.
"Nous avons l'impression d'avoir un patron. Il semble avoir les coudées franches pour permettre à la filiale française de regarder le futur avec sérénité."
Le plan social actuellement suspendu, l'avenir de TUI France se dessinera dans un mois, et le syndicaliste de rappeler "que le CSE prendra alors ses responsabilités suite aux annonces.
Il pourrait menacer d'un droit d'alerte interne, car nous ne voulons pas entendre d'un PSE," conclut le le secrétaire général du CSE.
Voici (pour l'instant) une bouffée d'oxygène pour TUI France, avant de connaître son sort le 15 mai 2019.
A l'occasion de cette réunion, la stratégie de TUI France et ses conséquences sur l'emploi seront dévoilées.
Et Lazare Razkallah de développer "en attendant, M. Van de Velde m'a confié qu'il ne laissera pas la Direction lui imposer des choses. Ce sera sa stratégie et la bonne pour TUI France."
Avec 17 ans d'expérience au sein du tour-opérateur allemand, le nouveau PDG pense "avoir ses entrées et connait M. Joussen". Si Lazare Razkallah ne se veut pas angélique et attend les annonces du 15 mai 2019 avant de juger, il ressort de ce comité une prise de contact positive.
"Nous avons l'impression d'avoir un patron. Il semble avoir les coudées franches pour permettre à la filiale française de regarder le futur avec sérénité."
Le plan social actuellement suspendu, l'avenir de TUI France se dessinera dans un mois, et le syndicaliste de rappeler "que le CSE prendra alors ses responsabilités suite aux annonces.
Il pourrait menacer d'un droit d'alerte interne, car nous ne voulons pas entendre d'un PSE," conclut le le secrétaire général du CSE.
Voici (pour l'instant) une bouffée d'oxygène pour TUI France, avant de connaître son sort le 15 mai 2019.