DreamCheaper fonctionne comme un traqueur du meilleur prix d’une chambre d’hôtel, une fois la réservation faite.
De nombreux acteurs sont sur le marché de la comparaison des prestations touristiques en amont du séjour.
La start-up allemande Dreamcheaper s’engage, elle, à jouer dans une autre cour, celle de l’après-réservation.
Reprenant le flambeau des comparateurs classiques, la start-up berlinoise fonctionne comme un véritable traqueur du meilleur prix dans le domaine de l’hôtellerie, une fois la réservation faite.
Quel est le principe ? Il suffit de faire une réservation d’hôtel sur le site de votre choix, en s’assurant que celle-ci soit remboursable sans frais, puis de transférer l’e-mail de confirmation à l’adresse e-mailhotel@dreamcheaper.com.
Ensuite, le site scanne les offres grâce à ses algorithmes , cherche un prix inférieur au vôtre. Il scanne les sites des agences de voyages en ligne, ceux proposant des réductions.
"Nous cherchons partout sur le web pour trouver les meilleurs tarifs. Nous avons des liens vers des API de la plupart des sources. Cela permet de vérifier les tarifs fréquemment", explique Nathan de DreamCheaper.
Lorsqu’un utilisateur effectue une réservation de chambre d’hôtel en ligne, le prix affiché fluctue en fonction d’éléments qui façonnent les prix de manière aléatoire : l’heure de la réservation, du nombre de chambres libres dans l’hôtel, de la demande …
Si une différence de prix par rapport à la réservation originale est constatée, le site web se charge alors d’annuler la réservation de l’utilisateur et d’en effectuer une nouvelle afin que celui-ci bénéficie d’un meilleur tarif. Cela peut se faire jusqu’à la veille du départ.
La start-up allemande Dreamcheaper s’engage, elle, à jouer dans une autre cour, celle de l’après-réservation.
Reprenant le flambeau des comparateurs classiques, la start-up berlinoise fonctionne comme un véritable traqueur du meilleur prix dans le domaine de l’hôtellerie, une fois la réservation faite.
Quel est le principe ? Il suffit de faire une réservation d’hôtel sur le site de votre choix, en s’assurant que celle-ci soit remboursable sans frais, puis de transférer l’e-mail de confirmation à l’adresse e-mailhotel@dreamcheaper.com.
Ensuite, le site scanne les offres grâce à ses algorithmes , cherche un prix inférieur au vôtre. Il scanne les sites des agences de voyages en ligne, ceux proposant des réductions.
"Nous cherchons partout sur le web pour trouver les meilleurs tarifs. Nous avons des liens vers des API de la plupart des sources. Cela permet de vérifier les tarifs fréquemment", explique Nathan de DreamCheaper.
Lorsqu’un utilisateur effectue une réservation de chambre d’hôtel en ligne, le prix affiché fluctue en fonction d’éléments qui façonnent les prix de manière aléatoire : l’heure de la réservation, du nombre de chambres libres dans l’hôtel, de la demande …
Si une différence de prix par rapport à la réservation originale est constatée, le site web se charge alors d’annuler la réservation de l’utilisateur et d’en effectuer une nouvelle afin que celui-ci bénéficie d’un meilleur tarif. Cela peut se faire jusqu’à la veille du départ.
Deux chances sur trois d'avoir un meilleur prix
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Le but ? Que le client garde le même hôtel, à la même date mais avec un prix pouvant lui faire réaliser 15% en moyenne d’économie.
Selon la start-up, il y aurait deux chances sur trois d’obtenir un prix moins cher.
Pour son service, le site retient 20% de commission sur la somme économisée à l’utilisateur.
Depuis le lancement de la plateforme en 2014, celle-ci recense désormais 5000 utilisateurs, et prévoit une forte augmentation du nombre de ceux-ci d’ici quelques mois, nous indique le site de L’Atelier.
« Pour l’instant disponible en allemand et en anglais, le site devrait être traduit en plusieurs langues dans les mois à venir, y compris en français », indique un membre de l’équipe.
Un concept, qui, s’il s’avère concluant pour le client, pourrait bien être étendu à d’autres secteurs.
Selon la start-up, il y aurait deux chances sur trois d’obtenir un prix moins cher.
Pour son service, le site retient 20% de commission sur la somme économisée à l’utilisateur.
Depuis le lancement de la plateforme en 2014, celle-ci recense désormais 5000 utilisateurs, et prévoit une forte augmentation du nombre de ceux-ci d’ici quelques mois, nous indique le site de L’Atelier.
« Pour l’instant disponible en allemand et en anglais, le site devrait être traduit en plusieurs langues dans les mois à venir, y compris en français », indique un membre de l’équipe.
Un concept, qui, s’il s’avère concluant pour le client, pourrait bien être étendu à d’autres secteurs.
DreamCheaper English from DreamCheaper on Vimeo.
![Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]](https://www.tourmag.com/photo/art/large_16_9/84367837-60259874.jpg?v=1732033411 "Futuroscopie - Architecture contemporaine : des icônes et moteurs touristiques [ABO]")
