L'appareil de Freebird n'a pas inspiré confiance aux passagers au départ d'Izmir
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50 passagers ont décidé de descendre de l’avion de la compagnie turque Freebird affrété par Mediades, dimanche dernier à l’aéroport d’Izmir, inquiétés par les problèmes techniques.
Le tour opérateur Mediades explique « L’avion avait un oiseau dans le réacteur à l’aéroport d’Izmir. La plate-forme nous a informés qu’il fallait 4 à 5 heures pour réparer. Nous avons donc informé nos passagers qu’il y avait un problème technique et qu’il y aurait du retard. Nous avons prévenu les clients, qui étaient encore l’hôtel, de ce délai.»
Ensuite poursuit-il, « des techniciens de l’aéroport, (équivalent de la DGAC française) étaient en train de terminé leur check-list et de régler un dernier problème au ventilateur, alors que les passagers étaient dans l'avion. C’est à ce moment que la situation s’est compliquée. »
Certains passagers ont cédé à la panique
Ces dernières réparations ont inquiété certains voyageurs, si l’on en croit les témoignages publiés dans un article paru hier, mardi dans Ouest France : ''« L'appareil est prêt à décoller et puis, tout à coup, c'est l'extinction totale des lumières, avec un gros raffut, raconte un voyageurs. Et des voisins voient que les réacteurs s'arrêtent. » Inquiétude. Ce qui ressemble furieusement à un « raté » au démarrage va se reproduire plusieurs fois.[…]''
Conséquence : certains passagers cèdent à la panique. La situation se serait envenimée. Le commandant de bord aurait expliqué qu'il ne souhaitait pas voler avec des passagers paniqués.
Manque de communication de l’équipage, peur de l’avion et puis panique, 50 passagers décident de descendre de l’appareil. Excédés, ils décident de bloquer le décollage de l’appareil en restant sur la passerelle.
Une fois libéré, l’avion avec les 170 passagers restants sont finalement bien arrivés à Paris, avec 5h30 de retard. Pour les voyageurs restés à Izmir, le tour opérateur précise « Nous avons informé les passagers du programme des vols. Nous avons pris l’initiative de bloquer 50 places sur Air Méditerranée. Les places ont été proposées à prix coûtant soit 390 € TTC par personne.
D’un point de vue législatif, les passagers qui refusent d’embarquer sont considérés au même titre que des voyageurs qui ratent leur avions, ou qui ne se présentent pas à l’embarquement puisque l'appareil prévu initialement a bien décollé. » conclut le tour opérateur.
Le tour opérateur Mediades explique « L’avion avait un oiseau dans le réacteur à l’aéroport d’Izmir. La plate-forme nous a informés qu’il fallait 4 à 5 heures pour réparer. Nous avons donc informé nos passagers qu’il y avait un problème technique et qu’il y aurait du retard. Nous avons prévenu les clients, qui étaient encore l’hôtel, de ce délai.»
Ensuite poursuit-il, « des techniciens de l’aéroport, (équivalent de la DGAC française) étaient en train de terminé leur check-list et de régler un dernier problème au ventilateur, alors que les passagers étaient dans l'avion. C’est à ce moment que la situation s’est compliquée. »
Certains passagers ont cédé à la panique
Ces dernières réparations ont inquiété certains voyageurs, si l’on en croit les témoignages publiés dans un article paru hier, mardi dans Ouest France : ''« L'appareil est prêt à décoller et puis, tout à coup, c'est l'extinction totale des lumières, avec un gros raffut, raconte un voyageurs. Et des voisins voient que les réacteurs s'arrêtent. » Inquiétude. Ce qui ressemble furieusement à un « raté » au démarrage va se reproduire plusieurs fois.[…]''
Conséquence : certains passagers cèdent à la panique. La situation se serait envenimée. Le commandant de bord aurait expliqué qu'il ne souhaitait pas voler avec des passagers paniqués.
Manque de communication de l’équipage, peur de l’avion et puis panique, 50 passagers décident de descendre de l’appareil. Excédés, ils décident de bloquer le décollage de l’appareil en restant sur la passerelle.
Une fois libéré, l’avion avec les 170 passagers restants sont finalement bien arrivés à Paris, avec 5h30 de retard. Pour les voyageurs restés à Izmir, le tour opérateur précise « Nous avons informé les passagers du programme des vols. Nous avons pris l’initiative de bloquer 50 places sur Air Méditerranée. Les places ont été proposées à prix coûtant soit 390 € TTC par personne.
D’un point de vue législatif, les passagers qui refusent d’embarquer sont considérés au même titre que des voyageurs qui ratent leur avions, ou qui ne se présentent pas à l’embarquement puisque l'appareil prévu initialement a bien décollé. » conclut le tour opérateur.