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Nouveau rebondissement pour l’ex-hôtel Noga Hilton. Cet établissement 4 étoiles (234 chambres dont 48 suites, dix salles de réunions) qui emploie 200 salariés pourrait changer d’enseigne en novembre prochain.
Il vit depuis un an dans l’incertitude. Il a été racheté (murs et fonds) début 2006 aux enchères pour 84,5 ME par le groupe Jesta Fontainebleau. Tout en conservant son lien avec Hilton (méthodes de travail et centrale de réservation), l’établissement affichait depuis quelques mois le nom de Palais Stéphanie du prénom de la fille d’Elliott Aintabi propriétaire de Jesta Fontainebleau.
Il pourrait être exploité par le Groupe Accor
En novembre, il pourrait être exploité par le Groupe Accor sous l’enseigne Sofitel après résiliation du contrat liant Jesta à Hilton. Le propriétaire prévoit d’investir 20 millions d’euros pour des travaux de rénovation.
A noter qu’entre temps, la municipalité cannoise a entamé des discussions avec le groupe Jesta pour revaloriser le bail emphytéotique concernant l’assiette foncière qui court encore sur 58 ans.
La ville considère que le bail a été attribué notamment à un loyer équivalent à une cession gratuite. Elle estime que la cession aurait dû se faire au moins à 60 ME. Le groupe Jesta refuse de discuter s’estimant pleinement propriétaire depuis l’acquisition aux enchères.
Il vit depuis un an dans l’incertitude. Il a été racheté (murs et fonds) début 2006 aux enchères pour 84,5 ME par le groupe Jesta Fontainebleau. Tout en conservant son lien avec Hilton (méthodes de travail et centrale de réservation), l’établissement affichait depuis quelques mois le nom de Palais Stéphanie du prénom de la fille d’Elliott Aintabi propriétaire de Jesta Fontainebleau.
Il pourrait être exploité par le Groupe Accor
En novembre, il pourrait être exploité par le Groupe Accor sous l’enseigne Sofitel après résiliation du contrat liant Jesta à Hilton. Le propriétaire prévoit d’investir 20 millions d’euros pour des travaux de rénovation.
A noter qu’entre temps, la municipalité cannoise a entamé des discussions avec le groupe Jesta pour revaloriser le bail emphytéotique concernant l’assiette foncière qui court encore sur 58 ans.
La ville considère que le bail a été attribué notamment à un loyer équivalent à une cession gratuite. Elle estime que la cession aurait dû se faire au moins à 60 ME. Le groupe Jesta refuse de discuter s’estimant pleinement propriétaire depuis l’acquisition aux enchères.