Vue sur la vieille ville de Beyrouth depuis la terrasse de la suite présidentielle de l'hôtel Le Gray
«Quand le monde va mal, le Liban va bien» assure Hector de Galard, le directeur général du nouvel hôtel Le Gray à Beyrouth. Un proverbe qui souligne l’extraordinaire capacité de la ville à se remettre de ses années noires.
Avant la guerre, le Liban était un centre économique de premier ordre dans le Moyen-Orient. Beyrouth veut désormais retrouver cette place.
Symbole de ce renouveau, l’hôtel Le Gray a ouvert ses portes en novembre dernier. Membre du réseau Leading Small Hotels of the World, il est installé au cœur du centre ville historique, dans le quartier chic de Beirut Central District.
Etablissement moderne et design, il propose 87 chambres et suites, à la décoration contemporaine. De nombreuses œuvres d’arts tapissent ses murs aux tonalités sobres. Entre le verre et l’aluminium, quelques touches orientales rappellent qu’on est bien au Liban.
Déjà complet seulement quelques mois après son ouverture, le directeur estime qu’il accueille environ 70% de voyageurs d’affaires qui restent en moyenne deux nuits. Il s’attend également à recevoir 70% de clients originaires du golfe, notamment d’Arabie Saoudite, et 30% d’étrangers. Parmi eux, les français sont les premiers voyageurs européens à visiter le pays.
Avant la guerre, le Liban était un centre économique de premier ordre dans le Moyen-Orient. Beyrouth veut désormais retrouver cette place.
Symbole de ce renouveau, l’hôtel Le Gray a ouvert ses portes en novembre dernier. Membre du réseau Leading Small Hotels of the World, il est installé au cœur du centre ville historique, dans le quartier chic de Beirut Central District.
Etablissement moderne et design, il propose 87 chambres et suites, à la décoration contemporaine. De nombreuses œuvres d’arts tapissent ses murs aux tonalités sobres. Entre le verre et l’aluminium, quelques touches orientales rappellent qu’on est bien au Liban.
Déjà complet seulement quelques mois après son ouverture, le directeur estime qu’il accueille environ 70% de voyageurs d’affaires qui restent en moyenne deux nuits. Il s’attend également à recevoir 70% de clients originaires du golfe, notamment d’Arabie Saoudite, et 30% d’étrangers. Parmi eux, les français sont les premiers voyageurs européens à visiter le pays.
Beyrouth pour un week-end
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Très bien desservie, la capitale libanaise se trouve à 3h30 d’avion de Paris (4h au retour) avec Air France et Middle East Airlines, qui opèrent quatre vols quotidiens. A l’arrivée, il ne faut que 10 minutes pour rejoindre le centre ville.
Coté budget, les saisons touristiques sont basées sur le calendrier des pays voisins, et ne correspondent pas avec la France. Par exemple, les longs week-end de mai sont en basse saison, tout comme le mois d’août.
Une fois sur place, Beyrouth offre aux voyageurs toute une gamme d’activités. C’est une ville très culturelle, qui ne dort jamais. Une destination en passe de devenir à la mode pour un court séjour.
La compagnie hôtelière Campbell Gray, propriétaire de l’hôtel Le Gray, a tellement confiance dans l’avenir touristique du Liban, qu’elle souhaite lancer un second hôtel, dans le sud du pays. Mais en attendant, elle se prépare à sa prochaine ouverture, à Marrakech.
Coté budget, les saisons touristiques sont basées sur le calendrier des pays voisins, et ne correspondent pas avec la France. Par exemple, les longs week-end de mai sont en basse saison, tout comme le mois d’août.
Une fois sur place, Beyrouth offre aux voyageurs toute une gamme d’activités. C’est une ville très culturelle, qui ne dort jamais. Une destination en passe de devenir à la mode pour un court séjour.
La compagnie hôtelière Campbell Gray, propriétaire de l’hôtel Le Gray, a tellement confiance dans l’avenir touristique du Liban, qu’elle souhaite lancer un second hôtel, dans le sud du pays. Mais en attendant, elle se prépare à sa prochaine ouverture, à Marrakech.