Seuls le littoral provençal, les arrières pays provençaux et languedociens, affichent des hausses significatives
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Bien qu’un peu meilleures qu’en juillet, les conditions météorologiques très moyennes au mois d’août sur les quatre cinquième de la France à l’exception du pourtour méditerranéen, ont renforcé l’impression de médiocrité de la saison 2007, déjà largement pénalisée pour les mêmes raisons en mai, juin et juillet.
A ce jour on constate une hausse sur le littoral provençal, les arrières pays provençaux et languedociens, la vallée du Rhône, Paris et certaines villes de l’Est de la France nouvellement desservies par le TGV, telles que Strasbourg.
Les activités d’intérieur ont également bénéficié du mauvais temps tels que les aquariums, les musées et les châteaux notamment dans le Val de Loire.
La fréquentation des hôtels, meublés et résidences de tourisme est jugée stable malgré la pluie qui aura même contribué à endiguer la baisse de fréquentation des restaurants constatée ces dernières années.
L’activité stable pour le tourisme urbain
Cette stabilité concerne également les villages de vacances, et les hébergements ruraux mais dans une moindre mesure. L’activité est également jugée stable pour le tourisme urbain en général (exception faite des villes mentionnées plus haut), la côte languedocienne, les régions entre le Massif central et les Pyrénées et l’ensemble du massif pyrénéen.
En revanche, les littoraux de la mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique, (notamment en Bretagne, Pays de la Loire et Poitou-Charentes), tout comme la montagne des Vosges aux Alpes du Nord sont perçus en baisse.
Cette perception s’applique également à l’hôtellerie de plein-air, directement pénalisée par les conditions météorologiques sur les deux tiers nord du pays et l’hôtellerie sur le littoral non méditerranéen.
Août ressenti comme meilleur que juillet
Dans ce bilan morose, le mois d’août est cependant ressenti comme meilleur que juillet, notamment sur la côte atlantique, mais équivalent au mois d’août 2006 qui avait été jugé plutôt moyen en dehors des régions méditerranéennes.
Une nouvelle fois, la clientèle étrangère résiste mieux que la clientèle française, notamment sur les littoraux. Le nombre de Néerlandais progresse particulièrement, notamment en Bretagne, Bourgogne, Auvergne et Languedoc-Roussillon.
Perspectives pour septembre jugées stables
Le sud de la façade atlantique semble être le lieu de prédilection des clientèles espagnole et britannique avec une bonne tenue de leur fréquentation. Les clientèles allemande, suisse, belge, italienne et d’Europe centrale sont stables alors qu’on observe un tassement de la fréquentation des Scandinaves, Américains et Asiatiques (à l’exception pour ces deux derniers en Ile-de-France et sur la Côte d’Azur).
Les perspectives pour le mois de septembre sont jugées stables pour une moitié des Offices du tourisme et Syndicats d’initiative interrogés et bonnes pour l’autre moitié.
Il faudra attendre les résultats complets à fin septembre pour porter un jugement définitif sur cette saison d’été 2007.
Sources
Cette synthèse propose une photographie qualitative à un instant T de la conjoncture touristique estivale. Elle a été établie à partir des résultats des 2 vagues d’enquêtes conjoncturelles menées par la FNOTSI en août auprès de 717 offices de tourisme et de la 2ème vague d’enquête de la FNCDT auprès de 53 CDT ayant répondu au 20 août 2007.
Ces enquêtes ont été analysées et exploitées par la direction de l’Observation touristique d’ODIT France.
Les enquêtes sont disponibles sur les sites Internet : www.odit-france.fr/Saison_d_ete_Aout_2007_Not.1360.0.html
A ce jour on constate une hausse sur le littoral provençal, les arrières pays provençaux et languedociens, la vallée du Rhône, Paris et certaines villes de l’Est de la France nouvellement desservies par le TGV, telles que Strasbourg.
Les activités d’intérieur ont également bénéficié du mauvais temps tels que les aquariums, les musées et les châteaux notamment dans le Val de Loire.
La fréquentation des hôtels, meublés et résidences de tourisme est jugée stable malgré la pluie qui aura même contribué à endiguer la baisse de fréquentation des restaurants constatée ces dernières années.
L’activité stable pour le tourisme urbain
Cette stabilité concerne également les villages de vacances, et les hébergements ruraux mais dans une moindre mesure. L’activité est également jugée stable pour le tourisme urbain en général (exception faite des villes mentionnées plus haut), la côte languedocienne, les régions entre le Massif central et les Pyrénées et l’ensemble du massif pyrénéen.
En revanche, les littoraux de la mer du Nord, de la Manche et de l’Atlantique, (notamment en Bretagne, Pays de la Loire et Poitou-Charentes), tout comme la montagne des Vosges aux Alpes du Nord sont perçus en baisse.
Cette perception s’applique également à l’hôtellerie de plein-air, directement pénalisée par les conditions météorologiques sur les deux tiers nord du pays et l’hôtellerie sur le littoral non méditerranéen.
Août ressenti comme meilleur que juillet
Dans ce bilan morose, le mois d’août est cependant ressenti comme meilleur que juillet, notamment sur la côte atlantique, mais équivalent au mois d’août 2006 qui avait été jugé plutôt moyen en dehors des régions méditerranéennes.
Une nouvelle fois, la clientèle étrangère résiste mieux que la clientèle française, notamment sur les littoraux. Le nombre de Néerlandais progresse particulièrement, notamment en Bretagne, Bourgogne, Auvergne et Languedoc-Roussillon.
Perspectives pour septembre jugées stables
Le sud de la façade atlantique semble être le lieu de prédilection des clientèles espagnole et britannique avec une bonne tenue de leur fréquentation. Les clientèles allemande, suisse, belge, italienne et d’Europe centrale sont stables alors qu’on observe un tassement de la fréquentation des Scandinaves, Américains et Asiatiques (à l’exception pour ces deux derniers en Ile-de-France et sur la Côte d’Azur).
Les perspectives pour le mois de septembre sont jugées stables pour une moitié des Offices du tourisme et Syndicats d’initiative interrogés et bonnes pour l’autre moitié.
Il faudra attendre les résultats complets à fin septembre pour porter un jugement définitif sur cette saison d’été 2007.
Sources
Cette synthèse propose une photographie qualitative à un instant T de la conjoncture touristique estivale. Elle a été établie à partir des résultats des 2 vagues d’enquêtes conjoncturelles menées par la FNOTSI en août auprès de 717 offices de tourisme et de la 2ème vague d’enquête de la FNCDT auprès de 53 CDT ayant répondu au 20 août 2007.
Ces enquêtes ont été analysées et exploitées par la direction de l’Observation touristique d’ODIT France.
Les enquêtes sont disponibles sur les sites Internet : www.odit-france.fr/Saison_d_ete_Aout_2007_Not.1360.0.html