Des noms d’éventuels amateurs à la reprise circulent comme celui de la compagnie Tunisair ou encore Sahelian Investment pour remplacer la RAM
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Depuis le 25 avril, date de sa cessation d’exploitation et de retrait du BSP - de facto - Air Sénégal International n’y voit pas plus clair sur sa destinée.
Les réunions de travail des actionnaires qui ont eu lieu depuis n’ont toujours rien donné.
Il semble néanmoins que l’Etat sénégalais cherche un nouveau co-actionnaire pour remplacer Royal Air Maroc, bien décidée à jeter l’éponge.
Des noms d’éventuels amateurs à la reprise circulent comme celui de la compagnie Tunisair ou encore Sahelian Investment, ce groupe privé de droit britannique qui tente depuis 2006 de créer une compagnie aérienne en Afrique de l’Ouest.
Pendant le temps des dernières négociations, Royal Air Maroc est toujours contrainte de gérer les affaires courantes d’ASI. Le gros de l’activité consiste d’ailleurs à transporter les passagers préalablement prévus sur les avions d’ASI.
« Nous reprotégeons les passagers sur les vols de la Ram avec une escale à Casablanca. Mais il faut gérer les vols au jour le jour. Si une solution était trouvée, les passagers pourraient à nouveau voler sur les avions d’ASI », explique un employé d’Air Sénégal à Paris, avec philosophie.
Et la vente de billets pourrait reprendre. Ce qui serait, évidemment, la meilleure des solutions…
Les réunions de travail des actionnaires qui ont eu lieu depuis n’ont toujours rien donné.
Il semble néanmoins que l’Etat sénégalais cherche un nouveau co-actionnaire pour remplacer Royal Air Maroc, bien décidée à jeter l’éponge.
Des noms d’éventuels amateurs à la reprise circulent comme celui de la compagnie Tunisair ou encore Sahelian Investment, ce groupe privé de droit britannique qui tente depuis 2006 de créer une compagnie aérienne en Afrique de l’Ouest.
Pendant le temps des dernières négociations, Royal Air Maroc est toujours contrainte de gérer les affaires courantes d’ASI. Le gros de l’activité consiste d’ailleurs à transporter les passagers préalablement prévus sur les avions d’ASI.
« Nous reprotégeons les passagers sur les vols de la Ram avec une escale à Casablanca. Mais il faut gérer les vols au jour le jour. Si une solution était trouvée, les passagers pourraient à nouveau voler sur les avions d’ASI », explique un employé d’Air Sénégal à Paris, avec philosophie.
Et la vente de billets pourrait reprendre. Ce qui serait, évidemment, la meilleure des solutions…