« En période de crise les investisseurs se recentrent sur la manifestation leader. A choisir, ils donneront priorité au salon B2B au détriment du B2C » analyse Vincent Lhoste, directeur du salon.
Avec lucidité, il table toutefois sur les chiffres 2008 : 380 exposants, 1 300 marques et 26 000 visiteurs professionnels sur 4 jours.
Et les carnets de commandes suivent. Ils ont même pris un peu d'avance par rapport au mois de mars 2008.
A l'instar de la République Dominicaine, les grandes destinations touristiques sont de retour. D'une façon générale, de nombreux pays ont choisi d'investir sur Top Resa.
Un certain nombre de producteurs voyagistes, venus en simples visiteurs curieux en 2008, profitent de la nouvelle formule « village » pour prendre un stand.
Avec lucidité, il table toutefois sur les chiffres 2008 : 380 exposants, 1 300 marques et 26 000 visiteurs professionnels sur 4 jours.
Et les carnets de commandes suivent. Ils ont même pris un peu d'avance par rapport au mois de mars 2008.
A l'instar de la République Dominicaine, les grandes destinations touristiques sont de retour. D'une façon générale, de nombreux pays ont choisi d'investir sur Top Resa.
Un certain nombre de producteurs voyagistes, venus en simples visiteurs curieux en 2008, profitent de la nouvelle formule « village » pour prendre un stand.
Un stand TO à partir de 11 810 euros
« Le Village TO c'est un espace visuellement identifié, une zone de travail réservée, une population de visiteurs qualifiée et un espace de convivialité » explique Vincent lhoste.
Pour y accéder point n'est besoin de décorum ni nvestissement lourd : le salon propose d'exposer au travers de stands de 10 m2 (11 810 € HT), 16 m2 (18 087 € HT) ou 20 m2 au maximum (22 271 € HT).
Les prix comprennent la réalisation d'un stand fonctionnel (montage et démontage), le mobilier, les frais d'inscription (badges exposants, inscriptions au catalogue officiel, assurances) ainsi que les consommations au bar installé dans l'enceinte de ce village.
Le projet a été présenté aux voyagistes membres du CETO ainsi qu'au Conseil des Producteurs du SNAV.
Pour y accéder point n'est besoin de décorum ni nvestissement lourd : le salon propose d'exposer au travers de stands de 10 m2 (11 810 € HT), 16 m2 (18 087 € HT) ou 20 m2 au maximum (22 271 € HT).
Les prix comprennent la réalisation d'un stand fonctionnel (montage et démontage), le mobilier, les frais d'inscription (badges exposants, inscriptions au catalogue officiel, assurances) ainsi que les consommations au bar installé dans l'enceinte de ce village.
Le projet a été présenté aux voyagistes membres du CETO ainsi qu'au Conseil des Producteurs du SNAV.
Un village « Techno » avec agora est espaces de démonstration
Également bien identifiable le Village de la Technologie proposera de nombreux avantages à ses exposants au rang desquels une zone de travail réservée, un espace de convivialité pour revevoir, une Agora spécialement dédiée pour les conférences, des espaces de démonstration privés.
Le choix est donné entre des stands de 6 m2 (6 315 € HT), 9 m2 (10 035 € HT), 15 m2 (15 826 € HT) et 20 m2 (20 651 € HT). Les prix comprennent les mêmes services que ceux accorder aux TO auxquels s'ajoutent un écran plasma, clavier, souris, Wifi ainsi qu'un accès aux espaces de démonstration et à l'Agora Techno.
Le choix est donné entre des stands de 6 m2 (6 315 € HT), 9 m2 (10 035 € HT), 15 m2 (15 826 € HT) et 20 m2 (20 651 € HT). Les prix comprennent les mêmes services que ceux accorder aux TO auxquels s'ajoutent un écran plasma, clavier, souris, Wifi ainsi qu'un accès aux espaces de démonstration et à l'Agora Techno.
Des visiteurs en quête d'expertise
Top Resa Paris répond à la crise en s'adressant, du loisir au « corporate », du marché des groupes à celui des incentives en passant par l'événementiel, à toutes les cibles du marché.
Dès l'année dernière le profil des visiteurs Paris évoluait par rapport à Deauville. Sur la côte Normande, 50 % étaient des agents de voyages traditionnels venus à la rencontre de leurs producteurs. A Paris, l'année dernières, ils n'étaient plus que 38 %.
Paris voit se développer un autre public de professionnels en quête d'expertise sur les destinations et de correspondants étrangers.
Dès l'année dernière le profil des visiteurs Paris évoluait par rapport à Deauville. Sur la côte Normande, 50 % étaient des agents de voyages traditionnels venus à la rencontre de leurs producteurs. A Paris, l'année dernières, ils n'étaient plus que 38 %.
Paris voit se développer un autre public de professionnels en quête d'expertise sur les destinations et de correspondants étrangers.