Et voilà que les milliardaires espagnols, forts de leurs fonds d'investissements, s’en mêlent. A la tête de la fronde, Gala Capital, une association de deux sociétés d’investissements, Omega Capital et Inver-Avante, cette dernière était filiale d’un des premiers groupes immobiliers privés espagnols.
Gala Capital aurait également l’appui d’une banque basque, BBK et de Juan Hidalgo, le patron d’Air Europa, associée à l‘alliance Skyteam. Une autre personnalité de l’aérien, Angel Mullor, ancien cadre dirigeant d’Iberia serait également de la partie, en tant que conseiller. Gala Capital aurait également fait appel à Citygroup pour le montage de l’offre.
La première communication de Gala Capital a été de renchérir sur l’offre de BA/TPG fixée à 3,4 milliards d’euros. L’offre concurrente fait monter les enchères jusqu’à 3,7 milliards d’euros. Une initiative qui a été immédiatement saluée en bourse par une augmentation de la valeur de l’action Iberia de 5 euros.
Mais rien n’est acquis pour autant. Gala Capital estime avoir besoin d’un délai d’un mois pour finaliser son offre et, entre temps, étudier les comptes de la compagnie en profondeur….
Ce qui laisse un peu plus de temps à BA/TPG pour décrocher les derniers appuis financiers qui manquaient encore au duo. Et reporter encore de quelques semaines la finalisation de la vente. Une décision de principe prise par les actionnaires en mai dernier.
Gala Capital aurait également l’appui d’une banque basque, BBK et de Juan Hidalgo, le patron d’Air Europa, associée à l‘alliance Skyteam. Une autre personnalité de l’aérien, Angel Mullor, ancien cadre dirigeant d’Iberia serait également de la partie, en tant que conseiller. Gala Capital aurait également fait appel à Citygroup pour le montage de l’offre.
La première communication de Gala Capital a été de renchérir sur l’offre de BA/TPG fixée à 3,4 milliards d’euros. L’offre concurrente fait monter les enchères jusqu’à 3,7 milliards d’euros. Une initiative qui a été immédiatement saluée en bourse par une augmentation de la valeur de l’action Iberia de 5 euros.
Mais rien n’est acquis pour autant. Gala Capital estime avoir besoin d’un délai d’un mois pour finaliser son offre et, entre temps, étudier les comptes de la compagnie en profondeur….
Ce qui laisse un peu plus de temps à BA/TPG pour décrocher les derniers appuis financiers qui manquaient encore au duo. Et reporter encore de quelques semaines la finalisation de la vente. Une décision de principe prise par les actionnaires en mai dernier.