Alors que 2 700 personnes seraient contaminés en Chine, le monde panique - Crédit photo : Depositphotos @e.m.mitroshin.gmail.com
Il y a 17 ans, un vent de panique venait du continent asiatique avec l'épidémie du SRAS occasionnant la mort de 774 personnes.
Nouvelle décennie et bis repetita avec une mise à jour virulente d'un coronavirus. En l'espace de seulement quelques semaines 2 700 personnes auraient été contaminées par le virus en Chine pour 80 morts, dont un médecin de l'hôpital de la province du Hubei.
La ville de Wuhan a été placée en quarantaine, ainsi que sa région, en tout plus de 52 millions de personnes se retrouvent coupées du monde.
Le vent de panique, face à un virus extrêmement contagieux, est tel que la Mongolie a fermé ses frontières routières, la France a ordonné l'évacuation aérienne de ses ressortissants expatriés à Wuhan et a placé des équipes médicales dans les aéroports parisiens.
Que savons-nous et quelles sont les conséquences pour le tourisme ?
Nouvelle décennie et bis repetita avec une mise à jour virulente d'un coronavirus. En l'espace de seulement quelques semaines 2 700 personnes auraient été contaminées par le virus en Chine pour 80 morts, dont un médecin de l'hôpital de la province du Hubei.
La ville de Wuhan a été placée en quarantaine, ainsi que sa région, en tout plus de 52 millions de personnes se retrouvent coupées du monde.
Le vent de panique, face à un virus extrêmement contagieux, est tel que la Mongolie a fermé ses frontières routières, la France a ordonné l'évacuation aérienne de ses ressortissants expatriés à Wuhan et a placé des équipes médicales dans les aéroports parisiens.
Que savons-nous et quelles sont les conséquences pour le tourisme ?
René-marc Chikli (SETO) : "Personne n'a d'information sur ce qu'il se passe réellement"
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"Vendredi nous étions encore sur des nouvelles relativement bonnes, venant du Quai d'Orsay et de l'OMS, avec un virus cantonné à une région bien précise, avec toute une série de mesures qui avaient été prises.
Le problème étant que deux heures plus tard, trois cas sont détectés en France, suite à un voyage en Chine. C'est une précision importante dans le cadre d'une possible pandémie.
Puis pendant ce week-end, le président chinois a décidé de prendre des mesures drastiques qui dépassent l'OMS, c'est-à-dire la quarantaine de la région, etc. Est-ce que la situation est réellement inquiétante ? A-t-il des informations que personne ne possède ? Nous ne savons pas, tout comme cela peut être un moyen de renforcer son contrôle sur la population.
Il ferme une partie de la muraille, des musées et de la cité interdite, suite à cela nous avons décidé de tout arrêter. Avec nous 250 clients, nos 50 sur place et nos 200 qui doivent partir en février, nous n'allions pas continuer.
Puis vous ajoutez à cela, la déclaration de Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères, de rapatrier les ressortissants français présents sur place, c'est de la folie. Toutes ces déclarations rajoute de l'huile sur le feu et la psychose générale est en marche.
J'ai refusé de faire tous les médias nationaux, car c'est du voyeurisme inutile, pour seulement 250 clients.
Les 50 personnes sur places bénéficient d'un programme aménagé, il n'y a aucune incidence réelle sur l'économie de l'industrie en France. Nous n'allons pas nous mobiliser pour 50 personnes.
Le vrai problème est de savoir ce qu'il va se passer sur le marché français ? S'il n'y a plus de touristes chinois sur le marché français, cela va entraîner des pertes alors que les Chinois représentent des recettes importantes.
Personne n'a d'information sur ce qu'il se passe réellement, car tout est géré par le parti communiste en conclave, même les habitants ne savent rien.
Je ne comprends pas que pour la 1ère fois l'OMS est moins-disante que le pays. Si l'OMS existe c'est pour savoir ce qu'il se passe réellement dans le monde. Ils ont l'air perdu.
Le virus a été identifié, d'ici quelque temps, des solutions pour enrayer le virus seront trouvées, cela ira vite. Cela ne sert à rien d'ajouter du monde sur place, en envoyant des touristes français.
Tout le monde parle de la Chine, mais sans connaître. Ils ont mis 52 millions de personnes en quarantaine pour contenir la propagation du virus, les décisions sont prises de manières radicales.
Concernant le SETO, nous avons pris les décisions que nous devions prendre. Et puis il faut ajouter que la Chine est une petite destination pour la France, surtout qu'elle est en baisse depuis un an avec la mise en place de la politique des visas plus drastique."
Le problème étant que deux heures plus tard, trois cas sont détectés en France, suite à un voyage en Chine. C'est une précision importante dans le cadre d'une possible pandémie.
Puis pendant ce week-end, le président chinois a décidé de prendre des mesures drastiques qui dépassent l'OMS, c'est-à-dire la quarantaine de la région, etc. Est-ce que la situation est réellement inquiétante ? A-t-il des informations que personne ne possède ? Nous ne savons pas, tout comme cela peut être un moyen de renforcer son contrôle sur la population.
Il ferme une partie de la muraille, des musées et de la cité interdite, suite à cela nous avons décidé de tout arrêter. Avec nous 250 clients, nos 50 sur place et nos 200 qui doivent partir en février, nous n'allions pas continuer.
Puis vous ajoutez à cela, la déclaration de Jean-Yves Le Drian, le ministre des Affaires étrangères, de rapatrier les ressortissants français présents sur place, c'est de la folie. Toutes ces déclarations rajoute de l'huile sur le feu et la psychose générale est en marche.
J'ai refusé de faire tous les médias nationaux, car c'est du voyeurisme inutile, pour seulement 250 clients.
Les 50 personnes sur places bénéficient d'un programme aménagé, il n'y a aucune incidence réelle sur l'économie de l'industrie en France. Nous n'allons pas nous mobiliser pour 50 personnes.
Le vrai problème est de savoir ce qu'il va se passer sur le marché français ? S'il n'y a plus de touristes chinois sur le marché français, cela va entraîner des pertes alors que les Chinois représentent des recettes importantes.
Personne n'a d'information sur ce qu'il se passe réellement, car tout est géré par le parti communiste en conclave, même les habitants ne savent rien.
Je ne comprends pas que pour la 1ère fois l'OMS est moins-disante que le pays. Si l'OMS existe c'est pour savoir ce qu'il se passe réellement dans le monde. Ils ont l'air perdu.
Le virus a été identifié, d'ici quelque temps, des solutions pour enrayer le virus seront trouvées, cela ira vite. Cela ne sert à rien d'ajouter du monde sur place, en envoyant des touristes français.
Tout le monde parle de la Chine, mais sans connaître. Ils ont mis 52 millions de personnes en quarantaine pour contenir la propagation du virus, les décisions sont prises de manières radicales.
Concernant le SETO, nous avons pris les décisions que nous devions prendre. Et puis il faut ajouter que la Chine est une petite destination pour la France, surtout qu'elle est en baisse depuis un an avec la mise en place de la politique des visas plus drastique."
Laurent Mosconi (Orchidée Tours): "les autorités s'attendent à un développement assez important de l'épidémie..."
Orchidée Tours est un réceptif français qui travaille avec le marché chinois et asiatique.
"Nous n'avons pas d'information, mais des répercussions importantes en mettant en attente les opérations que j'avais sur mars et avril.
Nous attendons l'évolution de la situation, pour connaître l'ampleur des conséquences sur notre activité. Par chance, nous arrivons à la fin du Nouvel An chinois, donc tous les groupes que nous avions sur février sont en route, cela serait arrivé une semaine ou 15 jours plus tôt nous serions mal en point.
Après si le virus se développe sur Taïwan ou Hong-kong, et les pays de l'Asie du Sud-est avec une interdiction de voyager, nous n'allons pas être bien. Affaire à suivre.
Il ne faut pas se leurrer, les Etats voisins vont avoir le droit à l'épidémie. Maintenant si la situation devait empirer, nous en sentirons les conséquences. Nous sommes philosophes, nous avons l'habitude. Après les Gilets Jaunes, les grèves, maintenant c'est le coronavirus, à un moment donné cela va s'arrêter et l'activité va reprendre normalement.
Dans le tourisme, il faut être prêt à tout, même si tout va bien un jour, tout peut se casser la figure très rapidement.
Concernant le marché chinois et les informations qui nous parviennent, je peux vous dire que s'ils construisent un hôpital en 15 jours, ce n'est pas pour y accueillir deux ou trois personnes. Les autorités s'attendent à un développement assez important de l'épidémie, après est-ce que la maladie va toucher les territoires limitrophes ? Je pense que oui, mais je n'espère pas aussi durement.
Maintenant il est très compliqué d'avoir des informations, en raison des festivités du Nouvel An chinois, puisque tous les bureaux sont fermés depuis une semaine. Ils reprennent le travail à la fin de la semaine, nous en saurons plus à ce moment-là.
Les seules informations que j'ai eues viennent de Taïwan. Pour le moment, il n'y a pas de panique. Nous naviguons à vue.
La Chine Populaire est un petit marché pour nous, avec seulement une dizaine de groupes par an, par contre les autres pays comme Taïwan ou l'Indonésie et la Thaïlande sont nettement plus importants. Je préfère que l'épidémie arrive maintenant qu'aux mois de mai ou avril. Par chance nous sommes un peu entre deux saisons et donc dans un creux.
La saison va se décider dans les deux prochains mois. Pour savoir si nous allons bien travailler ou si nous pouvons partir en vacances dès début avril."
"Nous n'avons pas d'information, mais des répercussions importantes en mettant en attente les opérations que j'avais sur mars et avril.
Nous attendons l'évolution de la situation, pour connaître l'ampleur des conséquences sur notre activité. Par chance, nous arrivons à la fin du Nouvel An chinois, donc tous les groupes que nous avions sur février sont en route, cela serait arrivé une semaine ou 15 jours plus tôt nous serions mal en point.
Après si le virus se développe sur Taïwan ou Hong-kong, et les pays de l'Asie du Sud-est avec une interdiction de voyager, nous n'allons pas être bien. Affaire à suivre.
Il ne faut pas se leurrer, les Etats voisins vont avoir le droit à l'épidémie. Maintenant si la situation devait empirer, nous en sentirons les conséquences. Nous sommes philosophes, nous avons l'habitude. Après les Gilets Jaunes, les grèves, maintenant c'est le coronavirus, à un moment donné cela va s'arrêter et l'activité va reprendre normalement.
Dans le tourisme, il faut être prêt à tout, même si tout va bien un jour, tout peut se casser la figure très rapidement.
Concernant le marché chinois et les informations qui nous parviennent, je peux vous dire que s'ils construisent un hôpital en 15 jours, ce n'est pas pour y accueillir deux ou trois personnes. Les autorités s'attendent à un développement assez important de l'épidémie, après est-ce que la maladie va toucher les territoires limitrophes ? Je pense que oui, mais je n'espère pas aussi durement.
Maintenant il est très compliqué d'avoir des informations, en raison des festivités du Nouvel An chinois, puisque tous les bureaux sont fermés depuis une semaine. Ils reprennent le travail à la fin de la semaine, nous en saurons plus à ce moment-là.
Les seules informations que j'ai eues viennent de Taïwan. Pour le moment, il n'y a pas de panique. Nous naviguons à vue.
La Chine Populaire est un petit marché pour nous, avec seulement une dizaine de groupes par an, par contre les autres pays comme Taïwan ou l'Indonésie et la Thaïlande sont nettement plus importants. Je préfère que l'épidémie arrive maintenant qu'aux mois de mai ou avril. Par chance nous sommes un peu entre deux saisons et donc dans un creux.
La saison va se décider dans les deux prochains mois. Pour savoir si nous allons bien travailler ou si nous pouvons partir en vacances dès début avril."
Arthur Courtinat, DG des Maisons du Voyage : "nous tablons sur une reprise de l'activité en mars"
"Pour ceux qui s'attendaient à une année 2020 de tout repos, ce ne sera pas le cas. Après les feux en Australie, voilà l'épidémie en Chine.
Toutefois, nous essayons de lutter contre la panique ambiante. Nous avons un rapport quotidien de notre bureau basé à Péki, nous permettant de suivre l'évolution de la situation.
Pour tout vous dire, nous déconseillons fortement à nos clients de se rendre lors des festivités du nouvel an chinois en Chine, car ce sont de grandes transhumances, les trajets sont assez compliqués.
Les sites sont très fréquentés, en résumé ce ne sont pas des bonnes conditions pour voyager. Donc ces deux conditions font que nous n'avons personne sur place, en revanche nous avions une centaine de passagers prévus sur février.
A l'heure, où nous nous parlons, il est très compliqué d'assurer des voyages en Chine, au delà du risque sanitaire qui n'est pas nul. Le point à 20h (heure de Chine), nous avions un peu moins de 3 000 cas en Chine, 81 décès, 55 guérisons, et la moitié des cas proviennent de la province de Hubei.
Le taux de mortalité est d'environ 3%, bien moins que le SARS pour le moment, mais un peu plus qu'une grippe normale. Le sujet est sérieux personne ne le conteste, mais il ne faut pas sombrer dans l'hystérie non plus.
Nous invitons les personnes qui doivent voyager plus tard dans l'année à patienter. Par rapport au SRAS, que j'ai vécu, il y a eu beaucoup d'hésitations et de manques de prises de conscience des autorités chinoises à l'époque, sauf que nous nous trouvons dans un scénario absolument différent.
De plus, les informations sont échangées entre différents pays, avec des laboratoires Français et Internationaux qui travaillent sur les souches. Nous sommes encore sur une phase ascendante, car les autorités découvrent encore des cas, en raison de la phase d'incubation.
Nous ne savons pas quand la période d'incubation interviendra, mais nous tablons sur une reprise de l'activité en mars. Avec les informations que nous avons, voilà notre objectif.
Notre prochaine échéance étant lundi prochain, après la fin les festivités du nouvel an. En espérant que les mesures de confinement aient porté leurs fruits.
A Pékin, il y a moins de 100 cas pour plus de 20 millions d'habitants, donc ce n'est pas la panique dans la ville. Quand nous parlons avec notre bureau, ce qui les frappe c'est le calme ambiant.
Normalement, c'est une période de grande agitation, avec énormément d'activités dans les sites touristiques, mais là-bas tout est très calme. Il y a une forme d'attentisme. Il faut reconnaître qu'il y a un problème, il est traité, sans en connaître l'ensemble des conséquences immédiates.
Pour autant, il ne faut pas céder à la panique. Nous avons eu un appel, d'un client pour savoir s'il était encore sûr de se rendre au USA, suite à détection d'un cas.
Les problèmes sanitaires sont anxiogènes, mais il faut rester lucide."
Toutefois, nous essayons de lutter contre la panique ambiante. Nous avons un rapport quotidien de notre bureau basé à Péki, nous permettant de suivre l'évolution de la situation.
Pour tout vous dire, nous déconseillons fortement à nos clients de se rendre lors des festivités du nouvel an chinois en Chine, car ce sont de grandes transhumances, les trajets sont assez compliqués.
Les sites sont très fréquentés, en résumé ce ne sont pas des bonnes conditions pour voyager. Donc ces deux conditions font que nous n'avons personne sur place, en revanche nous avions une centaine de passagers prévus sur février.
A l'heure, où nous nous parlons, il est très compliqué d'assurer des voyages en Chine, au delà du risque sanitaire qui n'est pas nul. Le point à 20h (heure de Chine), nous avions un peu moins de 3 000 cas en Chine, 81 décès, 55 guérisons, et la moitié des cas proviennent de la province de Hubei.
Le taux de mortalité est d'environ 3%, bien moins que le SARS pour le moment, mais un peu plus qu'une grippe normale. Le sujet est sérieux personne ne le conteste, mais il ne faut pas sombrer dans l'hystérie non plus.
Nous invitons les personnes qui doivent voyager plus tard dans l'année à patienter. Par rapport au SRAS, que j'ai vécu, il y a eu beaucoup d'hésitations et de manques de prises de conscience des autorités chinoises à l'époque, sauf que nous nous trouvons dans un scénario absolument différent.
De plus, les informations sont échangées entre différents pays, avec des laboratoires Français et Internationaux qui travaillent sur les souches. Nous sommes encore sur une phase ascendante, car les autorités découvrent encore des cas, en raison de la phase d'incubation.
Nous ne savons pas quand la période d'incubation interviendra, mais nous tablons sur une reprise de l'activité en mars. Avec les informations que nous avons, voilà notre objectif.
Notre prochaine échéance étant lundi prochain, après la fin les festivités du nouvel an. En espérant que les mesures de confinement aient porté leurs fruits.
A Pékin, il y a moins de 100 cas pour plus de 20 millions d'habitants, donc ce n'est pas la panique dans la ville. Quand nous parlons avec notre bureau, ce qui les frappe c'est le calme ambiant.
Normalement, c'est une période de grande agitation, avec énormément d'activités dans les sites touristiques, mais là-bas tout est très calme. Il y a une forme d'attentisme. Il faut reconnaître qu'il y a un problème, il est traité, sans en connaître l'ensemble des conséquences immédiates.
Pour autant, il ne faut pas céder à la panique. Nous avons eu un appel, d'un client pour savoir s'il était encore sûr de se rendre au USA, suite à détection d'un cas.
Les problèmes sanitaires sont anxiogènes, mais il faut rester lucide."
Les décisions des autorités, compagnies aériennes et le SETO :
L'aéroport de Wuhan (WUH) est fermé jusqu'à nouvel ordre, ce qui implique par la même occasion l'annulation de tous les vols d'Air France de et vers la destination, jusqu'au 2 février 2020.
Des mesures commerciales sont mises en place pour le remboursement de votre voyage.
Dans le même temps, et compte tenu de la situation sanitaire en Chine (Coronavirus), les autorités chinoises ont demandé d'annuler les voyages des clients voyageant en groupe à compter du 28 janvier 2020.
Le SETO a pris la décision, alors que la plupart des sites touristiques sont fermés, de suspendre jusqu’au vendredi 21 février 2020 inclus tous les séjours programmés.
Les tour-opérateurs en informent leurs clients dans les meilleurs délais et leur proposent des modifications sans frais ou des reports sans frais des voyages concernés à une date ultérieure aux conditions en vigueur du tour-opérateur.
Dans le même temps, France Diplomatie recommande fortement de reporter tout déplacement dans la province du Hubei.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de relever son évaluation au niveau international de la menace qui passe à "élevée", alors, qu'il reste "très élevé" en Chine. La précédente évaluation doit être considérée comme une erreur de formulation.
Les sites à consulter :
Organisation mondiale de la santé (OMS)
Ministère des Solidarité et de la Santé
Des mesures commerciales sont mises en place pour le remboursement de votre voyage.
Dans le même temps, et compte tenu de la situation sanitaire en Chine (Coronavirus), les autorités chinoises ont demandé d'annuler les voyages des clients voyageant en groupe à compter du 28 janvier 2020.
Le SETO a pris la décision, alors que la plupart des sites touristiques sont fermés, de suspendre jusqu’au vendredi 21 février 2020 inclus tous les séjours programmés.
Les tour-opérateurs en informent leurs clients dans les meilleurs délais et leur proposent des modifications sans frais ou des reports sans frais des voyages concernés à une date ultérieure aux conditions en vigueur du tour-opérateur.
Dans le même temps, France Diplomatie recommande fortement de reporter tout déplacement dans la province du Hubei.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient de relever son évaluation au niveau international de la menace qui passe à "élevée", alors, qu'il reste "très élevé" en Chine. La précédente évaluation doit être considérée comme une erreur de formulation.
Les sites à consulter :
Organisation mondiale de la santé (OMS)
Ministère des Solidarité et de la Santé