Malheureusement, nous allons devoir apprendre à vivre durablement avec la covid-19, cette maladie n'est pas destinée à disparaître dans les prochaines semaines.
Pour relancer un tourisme international totalement à l'arrêt, il n'existe pas 50 000 solutions, mais sans doute une seule, en dehors du vaccin : la création d'un protocole international.
Ce dernier doit être accepté par tous et en mesure de rassurer aussi bien les voyageurs que les populations à destination. Le tourisme pour ne plus être montré du doigt sur sa capacité à propager le virus, doit créer un protocole strict.
Et c'est l'objectif de la start-up AOK Pass, selon nos confrères suisses du média Le Temps (SOURCE).
"L’idée est de faire tester le passager dans une clinique dédiée avant qu’il n’entre dans l’aéroport, puis dans l’avion – et d’assurer que les autres passagers sont aussi négatifs au covid – et qu’il puisse sortir librement à l’arrivée," Guy Escarfail, vice-président innovation et engagement à la Société générale de surveillance (SGS).
La SGS est une multinationale à l'initiative de l'AOK Pass et qui doit présenter le projet ce jeudi à différents acteurs du tourisme.
Ainsi, le dossier est soutenu la Chambre de commerce internationale, l’Organisation mondiale du tourisme, International SOS (leader mondial des soins de santé à l’international) et l’Association internationale des transporteurs aériens (IATA).
Pour relancer un tourisme international totalement à l'arrêt, il n'existe pas 50 000 solutions, mais sans doute une seule, en dehors du vaccin : la création d'un protocole international.
Ce dernier doit être accepté par tous et en mesure de rassurer aussi bien les voyageurs que les populations à destination. Le tourisme pour ne plus être montré du doigt sur sa capacité à propager le virus, doit créer un protocole strict.
Et c'est l'objectif de la start-up AOK Pass, selon nos confrères suisses du média Le Temps (SOURCE).
"L’idée est de faire tester le passager dans une clinique dédiée avant qu’il n’entre dans l’aéroport, puis dans l’avion – et d’assurer que les autres passagers sont aussi négatifs au covid – et qu’il puisse sortir librement à l’arrivée," Guy Escarfail, vice-président innovation et engagement à la Société générale de surveillance (SGS).
La SGS est une multinationale à l'initiative de l'AOK Pass et qui doit présenter le projet ce jeudi à différents acteurs du tourisme.
Ainsi, le dossier est soutenu la Chambre de commerce internationale, l’Organisation mondiale du tourisme, International SOS (leader mondial des soins de santé à l’international) et l’Association internationale des transporteurs aériens (IATA).
Comment fonctionne l'AOK Pass ?
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C'est en s'appuyant sur ces institutions de renom, que l'entreprise suisse entend institutionnaliser le "passeport-covid".
“C’est tout le travail que nous faisons à présent pour le faire reconnaître par les aéroports et les États”, poursuit le responsable. Pendant ce temps, l'outil numérique est développé par la start-up AOK Pass basée à Singapour.
Concrètement, la jeune pousse permettra à l'ensemble des détenteurs de son application de pouvoir compiler leurs informations de santé dans ce "passeport" numérique, et donc de présenter les résultats négatifs des différents tests réalisés.
Le logiciel fonctionne à partir de QR Code. Les informations personnelles de chaque voyageur sont préservées puisque les données "ne sont à aucun moment stockées sur une base externe ou dans un système centralisé", explique la start-up AOK Pass.
Alitalia travaille sur un projet pilote sur ses liaisons Rome-New York, Rome-Abu Dhabi et Rome-Le Caire. Des aéroports de Paris, du Japon et des Etats-Unis pourraient également rejoindre le mouvement.
Etihad Airways, la compagnie nationale d’Abu Dhabi, teste déjà le trajet Islamabad-Abu Dhabi avec tous les passagers munis d’AOK Pass.
Si un passeport est exclusivement délivré par les Etats, des discussions ont été entamées avec plus de 170 aéroports à travers le monde.
“C’est tout le travail que nous faisons à présent pour le faire reconnaître par les aéroports et les États”, poursuit le responsable. Pendant ce temps, l'outil numérique est développé par la start-up AOK Pass basée à Singapour.
Concrètement, la jeune pousse permettra à l'ensemble des détenteurs de son application de pouvoir compiler leurs informations de santé dans ce "passeport" numérique, et donc de présenter les résultats négatifs des différents tests réalisés.
Le logiciel fonctionne à partir de QR Code. Les informations personnelles de chaque voyageur sont préservées puisque les données "ne sont à aucun moment stockées sur une base externe ou dans un système centralisé", explique la start-up AOK Pass.
Alitalia travaille sur un projet pilote sur ses liaisons Rome-New York, Rome-Abu Dhabi et Rome-Le Caire. Des aéroports de Paris, du Japon et des Etats-Unis pourraient également rejoindre le mouvement.
Etihad Airways, la compagnie nationale d’Abu Dhabi, teste déjà le trajet Islamabad-Abu Dhabi avec tous les passagers munis d’AOK Pass.
Si un passeport est exclusivement délivré par les Etats, des discussions ont été entamées avec plus de 170 aéroports à travers le monde.