Le quotidien cite des observateurs du secteur d'après lesquels cette acquisition correspond à la fois aux moyens financiers et aux intérêts stratégiques du groupe, qui possède notamment les chaîne Ibis et Sofitel.
"Je ne peux imaginer personne d'autre", déclare même le directeur d'un important groupe hôtelier. Interrogée, une porte-parole d'Accor a déclaré : "Nous ne commentons pas les rumeurs".
WestLB cherche à vendre sa participation cette année en un seul bloc et à un seul investisseur ou consortium.
"Nous ne commentons pas les rumeurs"
Le 19 août, Reuters avait appris de source proche du dossier que WestLB pourrait limiter la vente à un peu moins de 30%, afin d'éviter de déclencher une offre d'achat obligatoire sur le solde du capital, comme l'impose la législation allemande lors d'une prise participation supérieure à 30%.
A l'époque, on faisait état de même source d'entretiens notamment avec le groupe hôtelier espagnol Barcelo. Dans son édition de lundi, le Financial Times croyait savoir que l'acheteur le plus probable était Riu Hotels, associé espagnol de TUI.
"Je ne peux imaginer personne d'autre", déclare même le directeur d'un important groupe hôtelier. Interrogée, une porte-parole d'Accor a déclaré : "Nous ne commentons pas les rumeurs".
WestLB cherche à vendre sa participation cette année en un seul bloc et à un seul investisseur ou consortium.
"Nous ne commentons pas les rumeurs"
Le 19 août, Reuters avait appris de source proche du dossier que WestLB pourrait limiter la vente à un peu moins de 30%, afin d'éviter de déclencher une offre d'achat obligatoire sur le solde du capital, comme l'impose la législation allemande lors d'une prise participation supérieure à 30%.
A l'époque, on faisait état de même source d'entretiens notamment avec le groupe hôtelier espagnol Barcelo. Dans son édition de lundi, le Financial Times croyait savoir que l'acheteur le plus probable était Riu Hotels, associé espagnol de TUI.