Le nombre de passagers s’est accru de 5,2 %, tandis que le volume de cargo a progressé de 13,1 %. Le chiffre d'affaires consolidé progresse de 6 % pour atteindre 271,4 millions d'euros. Les activités aéronautiques ont connu une forte croissance reflétant le redressement de l'activité. Le chiffre d'affaires s'élevait à € 169,8 millions, en hausse de 11,5 %.
Les revenus commerciaux ont connu une baisse de 3,5 %, s’élevant à € 101,6 millions, en raison de l'impact de l’abandon de l‘activité de livraison d’électricité à la suite de la libéralisation du marché de l'électricité, et en raison de l’effort continu des utilisateurs et concessionnaires de l’aéroport pour aligner leurs propres coûts aux niveau actuels de l'activité à l'aéroport de Bruxelles.
BIAC a contenu ses dépenses pour services et biens divers qui passent de € 99,4 à € 101,6 millions soit en légère hausse de 2,2 %.
Cette évolution reflète les efforts continus en matière de réduction soutenable des coûts, malgré le fait que pour la première fois les coûts liés à la Jetée A ont été pris en compte pour une année complète.
Le chiffre d'affaires consolidé progresse de 6 %
Les dépenses de personnel se sont élevées à € 50,34 millions, en hausse de 7,5 % sous l’impact des engagements rendus nécessaires par les mesures additionnelles de sûreté imposées par les autorités belges et internationales fin 2002.
Les investissements, d'un total de € 36 millions, ont été essentiellement consacrés au maintien de la capacité existante, ce qui conduit à une diminution du niveau des amortissements en comparaison avec 2002.
Les charges financières ont pu être réduites par rapport à 2002. Au total, hors financement subordonné pour l’acquisition des terrains, la dette financière consolidée s’élève au 31 décembre 2003, à € 309 millions, contre € 357 millions un an plus tôt et le résultat financier a représenté une charge nette de € 12,4 millions contre € 15,1 millions en 2002.
Au total, le résultat avant impôt s’élève à € 28,3 millions contre € 3 millions en 2002 et le résultat après impôt à € 18,9 millions contre € 0,2 millions.
Les revenus commerciaux ont connu une baisse de 3,5 %, s’élevant à € 101,6 millions, en raison de l'impact de l’abandon de l‘activité de livraison d’électricité à la suite de la libéralisation du marché de l'électricité, et en raison de l’effort continu des utilisateurs et concessionnaires de l’aéroport pour aligner leurs propres coûts aux niveau actuels de l'activité à l'aéroport de Bruxelles.
BIAC a contenu ses dépenses pour services et biens divers qui passent de € 99,4 à € 101,6 millions soit en légère hausse de 2,2 %.
Cette évolution reflète les efforts continus en matière de réduction soutenable des coûts, malgré le fait que pour la première fois les coûts liés à la Jetée A ont été pris en compte pour une année complète.
Le chiffre d'affaires consolidé progresse de 6 %
Les dépenses de personnel se sont élevées à € 50,34 millions, en hausse de 7,5 % sous l’impact des engagements rendus nécessaires par les mesures additionnelles de sûreté imposées par les autorités belges et internationales fin 2002.
Les investissements, d'un total de € 36 millions, ont été essentiellement consacrés au maintien de la capacité existante, ce qui conduit à une diminution du niveau des amortissements en comparaison avec 2002.
Les charges financières ont pu être réduites par rapport à 2002. Au total, hors financement subordonné pour l’acquisition des terrains, la dette financière consolidée s’élève au 31 décembre 2003, à € 309 millions, contre € 357 millions un an plus tôt et le résultat financier a représenté une charge nette de € 12,4 millions contre € 15,1 millions en 2002.
Au total, le résultat avant impôt s’élève à € 28,3 millions contre € 3 millions en 2002 et le résultat après impôt à € 18,9 millions contre € 0,2 millions.