Lors d'un call avec les salariés mercredi 7 octobre et le jeudi 8 octobre lors d’un CSE extraordinaire, la direction a présenté un point d’avancement, à date, sur le processus de recherche de repreneur pour les agences du réseau intégré.
"37 agences ont fait l'objet d'une offre de reprise" a expliqué Lazare Razkallah secrétaire général du CSE lors d'une assemblée générale des salariés qui a réuni vendredi 9 octobre 2020 jusqu'à 370 participants.
Lire aussi : TUI France : "seules 37 agences intégrées ont reçu des offres sérieuses"
22 offres seraient considérées comme "sérieuses" selon Lazare Razkallah. Reste que le détail des reprises n'a pas été dévoilé. Les représentants du personnel en sauront davantage lors d'une prochaine réunion extraordinaire du CSE prévu le 20 octobre prochain.
Mais ils ont quand même pu glaner quelques informations, sans avoir tous les détails précis.
"Ce que je peux vous dire c'est que les points de ventes de Brest, Clermont-Ferrand et de Paris intra-muros n'ont pas de repreneurs. Nous n'avons pas tous les détails encore. Les deux agences de Bordeaux, une agence sur 2 à Marseille et 2 sur 3 à Nantes auraient fait l'objet d'une offre. Aucune offre ne reprend l'intégralité des collaborateurs par agence" a expliqué Lazare Razkallah.
Contactée par nos soins, la direction a précisé qu'elle avait "reçu une offre de reprise pour une quarantaine d’agences, la majorité des repreneurs sont des mandataires. Mais rien n'est figé selon TUI France : "Les négociations se poursuivent. La situation va encore évoluer, il est trop tôt pour en tirer des conclusions définitives".
Xavier Van Geit, avocat du CSE précise : "Nous sommes passés en janvier 2020 à un projet de cession de l'ensemble des agences avant le covid-19, à un projet de cession dans le cadre d'un PSE avec intégration des agences de voyages."
Ce dernier ajoute que les agences sont classées en zone d'emploi et que les repreneurs devront garder les salariés en fonction des critères d'ordre dictés dans le cadre du PSE : "Par exemple à Nantes si une seule agence fait l'objet d'une reprise les critères d'ordre s'appliqueront sur l'ensemble des salariés de la zone d'emploi, ce n'est pas dit que ce soit les salariés de l'agence reprise qui resteront".
"37 agences ont fait l'objet d'une offre de reprise" a expliqué Lazare Razkallah secrétaire général du CSE lors d'une assemblée générale des salariés qui a réuni vendredi 9 octobre 2020 jusqu'à 370 participants.
Lire aussi : TUI France : "seules 37 agences intégrées ont reçu des offres sérieuses"
22 offres seraient considérées comme "sérieuses" selon Lazare Razkallah. Reste que le détail des reprises n'a pas été dévoilé. Les représentants du personnel en sauront davantage lors d'une prochaine réunion extraordinaire du CSE prévu le 20 octobre prochain.
Mais ils ont quand même pu glaner quelques informations, sans avoir tous les détails précis.
"Ce que je peux vous dire c'est que les points de ventes de Brest, Clermont-Ferrand et de Paris intra-muros n'ont pas de repreneurs. Nous n'avons pas tous les détails encore. Les deux agences de Bordeaux, une agence sur 2 à Marseille et 2 sur 3 à Nantes auraient fait l'objet d'une offre. Aucune offre ne reprend l'intégralité des collaborateurs par agence" a expliqué Lazare Razkallah.
Contactée par nos soins, la direction a précisé qu'elle avait "reçu une offre de reprise pour une quarantaine d’agences, la majorité des repreneurs sont des mandataires. Mais rien n'est figé selon TUI France : "Les négociations se poursuivent. La situation va encore évoluer, il est trop tôt pour en tirer des conclusions définitives".
Xavier Van Geit, avocat du CSE précise : "Nous sommes passés en janvier 2020 à un projet de cession de l'ensemble des agences avant le covid-19, à un projet de cession dans le cadre d'un PSE avec intégration des agences de voyages."
Ce dernier ajoute que les agences sont classées en zone d'emploi et que les repreneurs devront garder les salariés en fonction des critères d'ordre dictés dans le cadre du PSE : "Par exemple à Nantes si une seule agence fait l'objet d'une reprise les critères d'ordre s'appliqueront sur l'ensemble des salariés de la zone d'emploi, ce n'est pas dit que ce soit les salariés de l'agence reprise qui resteront".
Le montant du chômage partiel réinjecté dans le PSE
Autres articles
Le rendez-vous du 20 octobre est donc très attendu par les salariés des agences pour connaître le nom des repreneurs, les agences ciblées et le nombre de salariés repris par agence.
L'assemblée générale est également revenue sur la présentation du rapport d'expertise social d'Apex qui suit le CSE ainsi que sur l'évolution des conditions du plan.
Lazare Razkallah a ainsi évoqué une piste pour revaloriser le plan de sauvegarde. TUI France a en effet obtenu le feu vert de la Direccte (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi) pour le renouvellement du chômage partiel entre le 16 septembre et le 31 décembre 2020.
Selon les estimations du cabinet APEX, TUI France pourrait économiser jusqu'à 700 000 € par mois, soit près de 2,8M€ sur 4 mois, un montant que le CSE aimerait voir injecter dans le PSE.
"La direction n'est pas fermée, elle souhaite que ce soit la Direccte qui puisse l'intégrer au PSE. 2,8M€ ce n'est pas rien nous pourrions allonger par exemple le congés de reclassement" précise Lazare Razkallah.
L'assemblée générale est également revenue sur la présentation du rapport d'expertise social d'Apex qui suit le CSE ainsi que sur l'évolution des conditions du plan.
Lazare Razkallah a ainsi évoqué une piste pour revaloriser le plan de sauvegarde. TUI France a en effet obtenu le feu vert de la Direccte (direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi) pour le renouvellement du chômage partiel entre le 16 septembre et le 31 décembre 2020.
Selon les estimations du cabinet APEX, TUI France pourrait économiser jusqu'à 700 000 € par mois, soit près de 2,8M€ sur 4 mois, un montant que le CSE aimerait voir injecter dans le PSE.
"La direction n'est pas fermée, elle souhaite que ce soit la Direccte qui puisse l'intégrer au PSE. 2,8M€ ce n'est pas rien nous pourrions allonger par exemple le congés de reclassement" précise Lazare Razkallah.