"Il faut taper dans la fourmilière", lance Didier Munin, PDG de Boiloris.
Depuis la convention de Marrakech au cours de laquelle Michel Rességuier, Président de Thomas Cook France avait annoncé le remplacement des enseignes Jet tours par celles de Thomas Cook., les franchisés Jet tours sont dans le flou le plus total.
"Il n'y a aucune avancée", martèle le patron de Boiloris, agacé.
"Depuis le discours de M. Resseguier à Marrakech où il annonçait vouloir repenser le modèle "distributeurs, producteurs, franchisés", où il avait promis des aides pour accompagner la mutation du changements d'enseignes... rien !"
Un sentiment partagé par de nombreux franchisés Jet tours qui ne voient rien venir.
Du côté du groupe de travail composé d'enseignes Jet tours, dont Didier Munier ne fait pas partie, rien de concret non plus...
Depuis la convention de Marrakech au cours de laquelle Michel Rességuier, Président de Thomas Cook France avait annoncé le remplacement des enseignes Jet tours par celles de Thomas Cook., les franchisés Jet tours sont dans le flou le plus total.
"Il n'y a aucune avancée", martèle le patron de Boiloris, agacé.
"Depuis le discours de M. Resseguier à Marrakech où il annonçait vouloir repenser le modèle "distributeurs, producteurs, franchisés", où il avait promis des aides pour accompagner la mutation du changements d'enseignes... rien !"
Un sentiment partagé par de nombreux franchisés Jet tours qui ne voient rien venir.
Du côté du groupe de travail composé d'enseignes Jet tours, dont Didier Munier ne fait pas partie, rien de concret non plus...
"TC m'a proposé d'augmenter mon taux de redevance de 1,15% !"
"Nous sommes dans le brouillard, nous confiait un patron d'agence Jet tours, fidèle à l'enseigne depuis plus de 10 ans. J'attends toujours qu'on nous présente le modèle, de connaître les conditions économiques..."
Au point mort également : la problématique des doublons entre franchisés et intégrés sur une même zone de chalandise, voire en face à face comme c'est le cas pour le réseau Boiloiris : "Aucune solution n'a été trouvée", précise Didier Munin.
Quant au nouveau contrat, "la seule chose que Thomas Cook m'a proposé c'est d'augmenter mon taux de redevance de 1,15%, un taux qui ne serait tout simplement pas viable pour moi ! En terme de vision constructive de l'avenir tous ensemble, j'ai vu mieux" , ajoute, un brin irrité, le patron de Boiloris.
Autre sujet de désaccord avec le groupe : l'estimation du prix de vente pour les agences intégrées susceptibles d'être cédées.
Pour Didier Munin, intéressé par la reprise de plusieurs points de ventes intégrés Thomas Cook, le mode de valorisation est tout simplement "inacceptable".
"Thomas Cook en demande 4 fois la valeur réelle. Ils ont un mode de valorisation qui doit venir de Londres et qui ne correspond pas au marché français..."
De son côté, Thomas Cook, que nous avons tenté de joindre, confirme laconiquement "travailler actuellement sur tous ces sujets."
Au point mort également : la problématique des doublons entre franchisés et intégrés sur une même zone de chalandise, voire en face à face comme c'est le cas pour le réseau Boiloiris : "Aucune solution n'a été trouvée", précise Didier Munin.
Quant au nouveau contrat, "la seule chose que Thomas Cook m'a proposé c'est d'augmenter mon taux de redevance de 1,15%, un taux qui ne serait tout simplement pas viable pour moi ! En terme de vision constructive de l'avenir tous ensemble, j'ai vu mieux" , ajoute, un brin irrité, le patron de Boiloris.
Autre sujet de désaccord avec le groupe : l'estimation du prix de vente pour les agences intégrées susceptibles d'être cédées.
Pour Didier Munin, intéressé par la reprise de plusieurs points de ventes intégrés Thomas Cook, le mode de valorisation est tout simplement "inacceptable".
"Thomas Cook en demande 4 fois la valeur réelle. Ils ont un mode de valorisation qui doit venir de Londres et qui ne correspond pas au marché français..."
De son côté, Thomas Cook, que nous avons tenté de joindre, confirme laconiquement "travailler actuellement sur tous ces sujets."