La captation des empreintes
Depuis septembre dernier, le groupe testait sur la ligne Paris-Amsterdam la carte d’embarquement sur téléphone mobile selon un principe simple.
Le passager faisait, jusqu’à trente heures avant le départ son check in sur le site mobile.airfrance.com, en choisissant son numéro de siège.
Et il recevait en retour, par SMS ou MMS sur son téléphone mobile, un code barre unique lui servant de carte d’embarquement.
Et, pour les smartphones la carte d’embarquement prendra la forme d’un message internet. A présenter à l’embarquement mais aussi lors des formalités de police et éventuellement pour l’accès aux salons et dans les boutiques.
Depuis le 3 février, ce service a été étendu aux vols de la Navette et il le sera progressivement sur tous les vols européens des deux compagnies, hors Royaume-Uni.
Le passager faisait, jusqu’à trente heures avant le départ son check in sur le site mobile.airfrance.com, en choisissant son numéro de siège.
Et il recevait en retour, par SMS ou MMS sur son téléphone mobile, un code barre unique lui servant de carte d’embarquement.
Et, pour les smartphones la carte d’embarquement prendra la forme d’un message internet. A présenter à l’embarquement mais aussi lors des formalités de police et éventuellement pour l’accès aux salons et dans les boutiques.
Depuis le 3 février, ce service a été étendu aux vols de la Navette et il le sera progressivement sur tous les vols européens des deux compagnies, hors Royaume-Uni.
La ligne Paris-Amsterdam servira de test
Autres articles
-
Emirates répercute à son tour la taxe de solidarité sans attendre le vote
-
Air France suspend le survol de la Mer Rouge jusqu'à nouvel ordre
-
Air France : le contenu NDC disponible chez Supertripper
-
Liban : Air France et Transavia quid des vols ?
-
Air France : des prestations payantes en classe économique ?🔑
Alors que ce service se généralise, le groupe va expérimenter un autre système, le "smartboarding " basé sur la reconnaissance biométrique des deux index. Cette fois-ci encore, c’est la ligne Paris-Amsterdam qui servira de test pour 1500 voyageurs réguliers volontaires.
Ces derniers devront s’inscrire en déclinant leur identité, leur numéro de fréquent flyer. Ils recevront une carte individuelle, type carte de crédit, comportant l’empreinte cryptée de leur doigts.
Ces futurs passagers feront leurs check in sur internet puis à leur arrivée à l‘aéroport, il leur faudra glisser la carte dans une des quatre bornes dédiées, installées au terminal F de CDG et celle-ci imprimera une carte d’embarquement temporaire au dos. 500 vols seront possibles avec une seule carte.
Puis au moment d’embarquer dans l‘avion, le passager trouvera une nouvelle borne avec un portail automatique à côté de la passerelle. Il lui suffira de glisser une nouvelle fois sa carte dans la borne et de poser ses doigts pour permettre le contrôle d’identité.
Tous ces développements devraient, théoriquement, permettre de gagner en tranquillité et en temps…
Ces derniers devront s’inscrire en déclinant leur identité, leur numéro de fréquent flyer. Ils recevront une carte individuelle, type carte de crédit, comportant l’empreinte cryptée de leur doigts.
Ces futurs passagers feront leurs check in sur internet puis à leur arrivée à l‘aéroport, il leur faudra glisser la carte dans une des quatre bornes dédiées, installées au terminal F de CDG et celle-ci imprimera une carte d’embarquement temporaire au dos. 500 vols seront possibles avec une seule carte.
Puis au moment d’embarquer dans l‘avion, le passager trouvera une nouvelle borne avec un portail automatique à côté de la passerelle. Il lui suffira de glisser une nouvelle fois sa carte dans la borne et de poser ses doigts pour permettre le contrôle d’identité.
Tous ces développements devraient, théoriquement, permettre de gagner en tranquillité et en temps…