
Entre les vols suspendus et les baisses des réservations, la facture est salée - DR
Le coronavirus n'est pas seulement la nouvelle lubie des chaînes d'information en continu, mais le virus commence à avoir de réels impacts sur l'industrie touristique.
Tout d'abord, différentes villes de Chine vivent dans une quasi-autarcie pour limiter la propagation de l'épidémie du Coronavirus, limitant par la même occasion les déplacements des touristes de l'empire du milieu vers les destinations asiatiques, occasionnant des manques à gagner.
Ce n'est pas tout, car les conséquences commencent à se faire ressentir chez les compagnies aériennes du monde entier. Alors que le personnel de Cathay Pacific est en vacances forcées, Air France-KLM vient de faire les comptes.
Les différentes fermetures de lignes aériennes vers la Chine ont occasionné un manque à gagner évalué de 150 à 200 millions d'euros, sur les mois de février à avril 2020. Cette hypothèse part du postulat d'une reprise progressive des opérations à partir d'avril.
Pour rappel, Air France avait annoncé la suspension de l'ensemble de ses vols à destination de Shanghai et Pékin, jusqu'au 15 mars 2020.
Tout d'abord, différentes villes de Chine vivent dans une quasi-autarcie pour limiter la propagation de l'épidémie du Coronavirus, limitant par la même occasion les déplacements des touristes de l'empire du milieu vers les destinations asiatiques, occasionnant des manques à gagner.
Ce n'est pas tout, car les conséquences commencent à se faire ressentir chez les compagnies aériennes du monde entier. Alors que le personnel de Cathay Pacific est en vacances forcées, Air France-KLM vient de faire les comptes.
Les différentes fermetures de lignes aériennes vers la Chine ont occasionné un manque à gagner évalué de 150 à 200 millions d'euros, sur les mois de février à avril 2020. Cette hypothèse part du postulat d'une reprise progressive des opérations à partir d'avril.
Pour rappel, Air France avait annoncé la suspension de l'ensemble de ses vols à destination de Shanghai et Pékin, jusqu'au 15 mars 2020.
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