Alter, syndicat de pilotes minoritaire d'Air France, qui s'était distingué en juin dernier en appelant ses membres pilotes de ligne à refuser de voler sur l'Airbus 330 tant qu'on aurait pas changé les sondes pitot, soupçonnées d'être à l'origine du cras du vol Paris-Rio, a décidé de quitter un comité de réflexion sur la sécurité.
Un comité mis en place au sein de la compagnie après l'accident du vol Rio-Paris. La raison : progrès n'a été réalisé dans ce domaine."]i estime-t-il.
L'organisation minoritaire juge cet organisme "inefficace" et s'interroge : "Alter pose une question simple: le drame de l'AF447 pourrait-il se reproduire aujourd'hui ? La réponse est tout aussi simple: oui !".
Suit une liste de 28 pages où Alter passe en revue ses revendications visant à améliorer la sécurité : formation, pression temporelle, maintenance, assistance au sol, nombre des hôtesses et stewards à bord, traduction de l'anglais vers le français de la documentation mise à la disposition des pilotes...
Un comité mis en place au sein de la compagnie après l'accident du vol Rio-Paris. La raison : progrès n'a été réalisé dans ce domaine."]i estime-t-il.
L'organisation minoritaire juge cet organisme "inefficace" et s'interroge : "Alter pose une question simple: le drame de l'AF447 pourrait-il se reproduire aujourd'hui ? La réponse est tout aussi simple: oui !".
Suit une liste de 28 pages où Alter passe en revue ses revendications visant à améliorer la sécurité : formation, pression temporelle, maintenance, assistance au sol, nombre des hôtesses et stewards à bord, traduction de l'anglais vers le français de la documentation mise à la disposition des pilotes...