Un des 4 avions de la flotte assurant les liaisons domestiques d'Air Seychelles
La compagnie nationale des Seychelles a été contrainte dimanche dernier d'annuler son vol 008 Q de 10h en raison d'un problème d'avion.
Selon nos informations glanées à l'insu de son plein gré, l'un de 2 Boeing 767 300 de la compagnie qui a atterri à Rome, a été quelque peu malmené par un des nombreux engins de levage qui pullulent dans les aérogares, ce qui aurait occasionné des dégâts dans le fuselage.
Jusque là rien de bien extraordinaire. En revanche ce que l'on comprend moins bien c'est black out total observé sur l'évènement, Air Seychelles se contentant de renvoyer sans autre explication les passagers dans leurs hôtels respectifs (pour ceux qui ont été prévenus) laissant la place à toutes les spéculations possibles.
On a l'impression que les compagnies n'apprennent rien...
Décidément, on a l'impression que malgré les problèmes qui se multiplient les compagnies, quelles qu'elles soient, n'apprennent rien et prennent au mieux leurs passagers pour des incapables majeurs et au pire pour des imbéciles.
Rageant !
Ce n'est que vers 16h que nous avons appris que notre vol était prévu pour le lendemain à 6h30. Ce lundi matin on enregistrait les passagers comme si de rien n'était. Et il a fallu poser la question expressément pour se voir confirmer laconiquement que l'annulation à Rome était bel et bien due à un problème technique. Lequel ? Circulez y a rien à voir...
Autre problème : il semble que selon la catégorie de l'hôtel où vous descendez ou la classe où vous voyagez, l'information soit plus ou moins pertinente et réactive (?)
Par exemple, les congressistes de Manor qui avaient pris une extension et qui étaient descendus au Beachcomber St Anne, ont été informés la veille (!) que l'avion était bloqué à Rome. Information confirmée dès le lendemain matin au réveil.
D'autres comme le président de Manor, Jean Korcia, ont eu la désagréable surprise d'apprendre la nouvelle face au comptoir d'enregistrement. Il a ensuite fallu attendre le début de l'après midi pour se voir confirmer le vol du lendemain !
Vous avez dit décalage horaire ?
Certes, passer une journée supplémentaire dans un hôtel de rêve aux frais d'Air Seychelles... il y a pire comme punition, me direz-vous. Encore que cela dépend de ce que l'on a à faire le lendemain... Ceux qui ne pouvaient différer leur départ ont été contraints à un gymkana consistant à passer parJohburg pour rejoindre Paris (!)
En cas de « pépin », Air Seychelles ne peut compter que sur elle-même
Certes, Air Seychelles est une petite compagnie. Mais quel dommage de ne pas retrouver dans ce genre de situation la même qualité de prestations, l'efficacité et la gentillesse des équipes à bord.
Pendant la Journée des Dirigeants Manor à Mahé nous avons appris la collaboration très étroite (certains parlent de Joint venture) qui lie Air France à la compagnie seychelloise.
En effet, les deux transporteurs volent en code share. Sauf que la compagnie tricolore qui affrête, selon nos informations, 60% des sièges d'Air Seychelles, ne partage apparemment que le meilleur avec son homologue.
En effet, aucun appareil d'AF n'est positionné sur la destination. Résultat : en cas de « pépin », Air Seychelles ne peut compter que sur elle-même et...sur ses deux appareils long courrier. Un peu short tout de même...
Voilà en tout cas un cas de figure qui fait le bonheur d'Emirates et de Qatar Airways qui, à la faveur d'une libéralisation récente du ciel seychellois, ont ouvert des bureaux de représentation commerciale et opèrent avec succès des vols vers Mahé via leur hub de Dubaï ou Doha...
Selon nos informations glanées à l'insu de son plein gré, l'un de 2 Boeing 767 300 de la compagnie qui a atterri à Rome, a été quelque peu malmené par un des nombreux engins de levage qui pullulent dans les aérogares, ce qui aurait occasionné des dégâts dans le fuselage.
Jusque là rien de bien extraordinaire. En revanche ce que l'on comprend moins bien c'est black out total observé sur l'évènement, Air Seychelles se contentant de renvoyer sans autre explication les passagers dans leurs hôtels respectifs (pour ceux qui ont été prévenus) laissant la place à toutes les spéculations possibles.
On a l'impression que les compagnies n'apprennent rien...
Décidément, on a l'impression que malgré les problèmes qui se multiplient les compagnies, quelles qu'elles soient, n'apprennent rien et prennent au mieux leurs passagers pour des incapables majeurs et au pire pour des imbéciles.
Rageant !
Ce n'est que vers 16h que nous avons appris que notre vol était prévu pour le lendemain à 6h30. Ce lundi matin on enregistrait les passagers comme si de rien n'était. Et il a fallu poser la question expressément pour se voir confirmer laconiquement que l'annulation à Rome était bel et bien due à un problème technique. Lequel ? Circulez y a rien à voir...
Autre problème : il semble que selon la catégorie de l'hôtel où vous descendez ou la classe où vous voyagez, l'information soit plus ou moins pertinente et réactive (?)
Par exemple, les congressistes de Manor qui avaient pris une extension et qui étaient descendus au Beachcomber St Anne, ont été informés la veille (!) que l'avion était bloqué à Rome. Information confirmée dès le lendemain matin au réveil.
D'autres comme le président de Manor, Jean Korcia, ont eu la désagréable surprise d'apprendre la nouvelle face au comptoir d'enregistrement. Il a ensuite fallu attendre le début de l'après midi pour se voir confirmer le vol du lendemain !
Vous avez dit décalage horaire ?
Certes, passer une journée supplémentaire dans un hôtel de rêve aux frais d'Air Seychelles... il y a pire comme punition, me direz-vous. Encore que cela dépend de ce que l'on a à faire le lendemain... Ceux qui ne pouvaient différer leur départ ont été contraints à un gymkana consistant à passer parJohburg pour rejoindre Paris (!)
En cas de « pépin », Air Seychelles ne peut compter que sur elle-même
Certes, Air Seychelles est une petite compagnie. Mais quel dommage de ne pas retrouver dans ce genre de situation la même qualité de prestations, l'efficacité et la gentillesse des équipes à bord.
Pendant la Journée des Dirigeants Manor à Mahé nous avons appris la collaboration très étroite (certains parlent de Joint venture) qui lie Air France à la compagnie seychelloise.
En effet, les deux transporteurs volent en code share. Sauf que la compagnie tricolore qui affrête, selon nos informations, 60% des sièges d'Air Seychelles, ne partage apparemment que le meilleur avec son homologue.
En effet, aucun appareil d'AF n'est positionné sur la destination. Résultat : en cas de « pépin », Air Seychelles ne peut compter que sur elle-même et...sur ses deux appareils long courrier. Un peu short tout de même...
Voilà en tout cas un cas de figure qui fait le bonheur d'Emirates et de Qatar Airways qui, à la faveur d'une libéralisation récente du ciel seychellois, ont ouvert des bureaux de représentation commerciale et opèrent avec succès des vols vers Mahé via leur hub de Dubaï ou Doha...