
Agréé, jeudi, par la direction de l'aviation civile, ce centre a d'ores et déjà accueilli les 24 premiers candidats au CSS, sur le sol tahitien, qui ont achevé, vendredi, leur formation.
D'un coût total de 30 millions Fcfp (environ 250 000 euros), entièrement supporté par la compagnie au tiare, l'infrastructure comprend une maquette à l'échelle réelle d'une cabine d'airbus A340, mais également des salles "feu" et "fumée" afin de mettre en condition les futurs stewards et hôtesses.
En créant un centre de ce type en Polynésie, Air Tahiti Nui entend ainsi réduire les coûts de formation des personnels navigants. Jusqu'à aujourd'hui, ces derniers devaient, en effet, se rendre en métropole, à leurs frais, pour passer le CSS.
Ce qui leurs coûtait en moyenne 500 000 Fcfp (environ 4200 euros). Pour l'heure, les tarifs des sessions n'ont pas encore été fixés mais le directeur général de la compagnie, Nelson Levy, a assuré que ceux-ci devraient être de l'ordre de 250 000 Fcfp (environ 2100 euros).
Former le personnel d'autres compagnies
Outre les jeunes polynésiens, Air Tahiti Nui compte également attirer d'autres candidats en provenance de diverses destinations du Pacifique, et notamment de Nouvelle-Calédonie, ce qui lui permettrait un retour rapide sur investissement.
"Air Calédonie international nous a déjà déclaré qu'il serait intéressé pour faire passer les CSS des personnels calédoniens à Tahiti mais également la formation continue puisque chaque PNC -ndlr: personnel commercial naviguant- doit, une fois par an, passer à nouveau en revue ses cours de sécurité sauvetage", a expliqué Nelson Levy. Trois à quatre sessions d'examens auront lieu chaque année mais l'enseignement devrait se dérouler tout au long de l'année.
Ce centre de formation est le seul, dans le Pacifique, à préparer les personnels navigants aux diverses étapes du CSS, un diplôme d'Etat que délivre la direction générale de l'aviation civile. A la fin de chaque session, deux examinateurs viendront de France afin de faire passer l'examen final aux candidats.
D'un coût total de 30 millions Fcfp (environ 250 000 euros), entièrement supporté par la compagnie au tiare, l'infrastructure comprend une maquette à l'échelle réelle d'une cabine d'airbus A340, mais également des salles "feu" et "fumée" afin de mettre en condition les futurs stewards et hôtesses.
En créant un centre de ce type en Polynésie, Air Tahiti Nui entend ainsi réduire les coûts de formation des personnels navigants. Jusqu'à aujourd'hui, ces derniers devaient, en effet, se rendre en métropole, à leurs frais, pour passer le CSS.
Ce qui leurs coûtait en moyenne 500 000 Fcfp (environ 4200 euros). Pour l'heure, les tarifs des sessions n'ont pas encore été fixés mais le directeur général de la compagnie, Nelson Levy, a assuré que ceux-ci devraient être de l'ordre de 250 000 Fcfp (environ 2100 euros).
Former le personnel d'autres compagnies
Outre les jeunes polynésiens, Air Tahiti Nui compte également attirer d'autres candidats en provenance de diverses destinations du Pacifique, et notamment de Nouvelle-Calédonie, ce qui lui permettrait un retour rapide sur investissement.
"Air Calédonie international nous a déjà déclaré qu'il serait intéressé pour faire passer les CSS des personnels calédoniens à Tahiti mais également la formation continue puisque chaque PNC -ndlr: personnel commercial naviguant- doit, une fois par an, passer à nouveau en revue ses cours de sécurité sauvetage", a expliqué Nelson Levy. Trois à quatre sessions d'examens auront lieu chaque année mais l'enseignement devrait se dérouler tout au long de l'année.
Ce centre de formation est le seul, dans le Pacifique, à préparer les personnels navigants aux diverses étapes du CSS, un diplôme d'Etat que délivre la direction générale de l'aviation civile. A la fin de chaque session, deux examinateurs viendront de France afin de faire passer l'examen final aux candidats.