Accusée de concurrence déloyale aux hôtels, de réduire l'offre locative, et ainsi de faire monter le prix des loyers, la plate-forme tente toutefois de trouver des compromis (c) Airbnb Blog
La plate-forme de location de logements a passé une douloureuse année 2016.
Airbnb est depuis des mois dans le viseur de la justice américaine (san Francisco, New York...) mais aussi européenne (Berlin, Barcelone, Paris...).
Accusée de concurrence déloyale aux hôtels, de réduire l'offre locative, et ainsi de faire monter le prix des loyers, la plate-forme tente toutefois de trouver des compromis en prenant des engagements auprès des autorités néerlandaises et britanniques, qui tentent de contrôler de plus en plus sa présence.
« Nous annonçons un changement dans notre système qui prévoira désormais des limites automatiques afin que les logements référencés à Londres ne soient pas partagés plus de 90 jours », a expliqué Airbnb sur son site.
À Amsterdam, le seuil sera fixé à 60 jours, là aussi en respect de la réglementation locale.
La mesure sera effective à partir du 1er janvier prochain, pour l’instant jusqu’à fin 2018.
Airbnb est depuis des mois dans le viseur de la justice américaine (san Francisco, New York...) mais aussi européenne (Berlin, Barcelone, Paris...).
Accusée de concurrence déloyale aux hôtels, de réduire l'offre locative, et ainsi de faire monter le prix des loyers, la plate-forme tente toutefois de trouver des compromis en prenant des engagements auprès des autorités néerlandaises et britanniques, qui tentent de contrôler de plus en plus sa présence.
« Nous annonçons un changement dans notre système qui prévoira désormais des limites automatiques afin que les logements référencés à Londres ne soient pas partagés plus de 90 jours », a expliqué Airbnb sur son site.
À Amsterdam, le seuil sera fixé à 60 jours, là aussi en respect de la réglementation locale.
La mesure sera effective à partir du 1er janvier prochain, pour l’instant jusqu’à fin 2018.