A l’approche de la saison estivale, la population locale et la diaspora algérienne de France et d’Europe profitent des plages et s’adonnent aux loisirs aquatiques dans l’une des nombreuses villes de la côte méditerranéenne algérienne.
Ils seraient précisément 1 million 500 000 émigrés venus du Nord à prendre littéralement d’assaut chaque année le littoral algérien.
Ce qui amène certains réceptifs algériens à s’organiser bien en amont pour gérer ces flux, en commençant à bloquer les séjours à partir de février-mars, d’autant qu’il n’existe pour le moment pas suffisamment d’infrastructures hôtelières pour accueillir ces flots de plaisanciers.
D’aucuns constatent en outre que les tarifs des hôtels ne sont pas toujours très concurrentiels.
Pour autant, la clientèle est là et les professionnels du tourisme ainsi que les pouvoirs publics sont à pied d’œuvre pour aménager ces sites d’exception.
« Il faut attendre encore un peu pour que se diversifie l’offre et que tout soit mis aux normes, mais il ne fait aucun doute que cela va s’organiser » confirme Robert Charrière, directeur de Charrière Voyages, un TO qui organise depuis 25 ans des séjours en Algérie à destination d’une clientèle principalement française.
Ils seraient précisément 1 million 500 000 émigrés venus du Nord à prendre littéralement d’assaut chaque année le littoral algérien.
Ce qui amène certains réceptifs algériens à s’organiser bien en amont pour gérer ces flux, en commençant à bloquer les séjours à partir de février-mars, d’autant qu’il n’existe pour le moment pas suffisamment d’infrastructures hôtelières pour accueillir ces flots de plaisanciers.
D’aucuns constatent en outre que les tarifs des hôtels ne sont pas toujours très concurrentiels.
Pour autant, la clientèle est là et les professionnels du tourisme ainsi que les pouvoirs publics sont à pied d’œuvre pour aménager ces sites d’exception.
« Il faut attendre encore un peu pour que se diversifie l’offre et que tout soit mis aux normes, mais il ne fait aucun doute que cela va s’organiser » confirme Robert Charrière, directeur de Charrière Voyages, un TO qui organise depuis 25 ans des séjours en Algérie à destination d’une clientèle principalement française.
Des familles reviennent sur les lieux où ils ont vécus
Autres articles
-
Quelles sont les plages les moins chères pour se restaurer cet été ?
-
VVF : 61 % des vacanciers ont changé leur projet suite à la fermeture des remontées mécaniques
-
Demain le Tourisme : le grain de sable qui grippe l’avenir des plages post-Covid...
-
Françoise Dumont (Var Tourisme) : "Nous ne pourrons pas faire l'impasse sur la saison !"
-
Une liste des plages polluées pour rassurer vos clients
« A partir du mois des mois d’avril ou mai, la plage est accessible dans des villes côtières telles Annaba, Bejaïa, Alger, Oran, Mostaganem…
Des familles de 8 à 10 personnes, souvent des « pieds-noirs » ou d’anciens appelés, programment des séjours avec leurs enfants et petits-enfants. Ils sont très bien accueillis, sans crainte et sans douleur.
Mon correspondant à Oran est l’agence Maghreb Tourisme qui prend en charge les groupes et les particuliers et les mènent sur les lieux où ils ont vécus.
La nuitée en hôtel est d’environ 40 euros. J’organise du reste un séjour de ce type pour 3 personnes au départ de Marseille, du 26 mai au 2 juin, soit 7 nuits, dont 2 à Oran et le reste à Mostaganem. Je facture entre 600 et 650 euros, avec un vol via la compagnie Air Algérie » atteste R.Charrière.
Le tour opérateur envoie ainsi 2 à 3 groupes de 4 à 5 personnes par mois, plus souvent en période de vacances scolaires. Il recommande la côte kabyle - qui dispose de quelques petits hôtels - en particulier pour la plongée.
Des familles de 8 à 10 personnes, souvent des « pieds-noirs » ou d’anciens appelés, programment des séjours avec leurs enfants et petits-enfants. Ils sont très bien accueillis, sans crainte et sans douleur.
Mon correspondant à Oran est l’agence Maghreb Tourisme qui prend en charge les groupes et les particuliers et les mènent sur les lieux où ils ont vécus.
La nuitée en hôtel est d’environ 40 euros. J’organise du reste un séjour de ce type pour 3 personnes au départ de Marseille, du 26 mai au 2 juin, soit 7 nuits, dont 2 à Oran et le reste à Mostaganem. Je facture entre 600 et 650 euros, avec un vol via la compagnie Air Algérie » atteste R.Charrière.
Le tour opérateur envoie ainsi 2 à 3 groupes de 4 à 5 personnes par mois, plus souvent en période de vacances scolaires. Il recommande la côte kabyle - qui dispose de quelques petits hôtels - en particulier pour la plongée.
Le complexe Sidi Fredj est l’un des hauts lieux de villégiature d’été
A Sidi Fredj, l’on pourra s’initier au scooter des mers, tout comme dans la baie d’Alger. A quelques encablures de là, à Aïn Beniane (anciennement La Madrague) s’organisent des départs en mer, à bord de bateaux de pêche.
Au retour, la dégustation des incomparables crevettes algéroises se fait dans l’un de ces fameux restaurants de poisson, dont le tout Alger parle tant.
A 44 Km de l'Aéroport International Houari Boumediene, le complexe hôtelier et de loisirs de Sidi Fredj est l’un des hauts lieux de villégiature d’été. Organisé autour du port de plaisance, il dispose de plusieurs hôtels en catégorie 3 et 4 étoiles.
La capacité de l’hôtel El Riadh, conçu - soit dit au passage - par l’architecte Pouillon, est de 236 lits (112 chambres doubles et 6 chambres juniors). En sus, deux restaurants, dont l’un de 560 couverts, une piscine, un solarium en saison estivale, ainsi qu’une aire de jeux pour enfants et 4 terrains de tennis. Quant à l’Hôtel El Manar, sa capacité est de 912 lits.
Tout à l’Est, sur la corniche bônoise, l’hôtel Rym El-Djamil, situé près d’Annaba, propose la chambre double en haute saison à 86 euros et des appartements à 127 euros.
Tous les services connexes sont assurés, dont la restauration et les loisirs (planche à voile, ski nautique, plongée sous marine, équitation).
Au retour, la dégustation des incomparables crevettes algéroises se fait dans l’un de ces fameux restaurants de poisson, dont le tout Alger parle tant.
A 44 Km de l'Aéroport International Houari Boumediene, le complexe hôtelier et de loisirs de Sidi Fredj est l’un des hauts lieux de villégiature d’été. Organisé autour du port de plaisance, il dispose de plusieurs hôtels en catégorie 3 et 4 étoiles.
La capacité de l’hôtel El Riadh, conçu - soit dit au passage - par l’architecte Pouillon, est de 236 lits (112 chambres doubles et 6 chambres juniors). En sus, deux restaurants, dont l’un de 560 couverts, une piscine, un solarium en saison estivale, ainsi qu’une aire de jeux pour enfants et 4 terrains de tennis. Quant à l’Hôtel El Manar, sa capacité est de 912 lits.
Tout à l’Est, sur la corniche bônoise, l’hôtel Rym El-Djamil, situé près d’Annaba, propose la chambre double en haute saison à 86 euros et des appartements à 127 euros.
Tous les services connexes sont assurés, dont la restauration et les loisirs (planche à voile, ski nautique, plongée sous marine, équitation).