Une bonne nouvelle n’arrive jamais seule.
Après la décision de Japan Airlines, la semaine dernière, de rester, malgré l’offre de Delta, dans l’alliance One world pour créer une joint venture avec American Airlines sur le Transpacifique, cette fois-ci c’est sur l’axe transatlantique que les choses bougent, enfin.
Les autorités américaines ont, en effet, donné un accord de principe, samedi 13 février, pour la constitution d’une alliance avec immunité antitrust entre American Airlines et British Airways, auxquelles s’ajoutent Iberia, Finnair et Royal Jordanian.
Cela faisait exactement douze ans que les deux compagnies tentaient de décrocher cette autorisation. En 2002, elles avaient renoncé à concrétiser devant l’obligation imposée par les autorités américaines d’abandonner 16 paires de slots quotidiens à Heathrow.
Après la décision de Japan Airlines, la semaine dernière, de rester, malgré l’offre de Delta, dans l’alliance One world pour créer une joint venture avec American Airlines sur le Transpacifique, cette fois-ci c’est sur l’axe transatlantique que les choses bougent, enfin.
Les autorités américaines ont, en effet, donné un accord de principe, samedi 13 février, pour la constitution d’une alliance avec immunité antitrust entre American Airlines et British Airways, auxquelles s’ajoutent Iberia, Finnair et Royal Jordanian.
Cela faisait exactement douze ans que les deux compagnies tentaient de décrocher cette autorisation. En 2002, elles avaient renoncé à concrétiser devant l’obligation imposée par les autorités américaines d’abandonner 16 paires de slots quotidiens à Heathrow.
25% du trafic entre l’Europe et les Etats-Unis
Cette fois-ci, les conditions sont beaucoup moins drastiques puisque ce ne sont que quatre paires de slots que les compagnies devront laisser à la concurrence.
Les compagnies rivales qui ont à redire sur le projet disposent maintenant de 45 jours pour faire valoir leurs arguments auxquels British Airways et American Airlines devront répondre, par la suite, dans un délai de 15 jours.
Le processus qui était déjà en place pour les joint venture d’Air France/Delta ou encore Lufthansa/United, n’a pas fait changé d’avis les autorités de tutelle américaines.
On peut donc s’attendre à ce que cette fois-ci encore, AA et BA décrochent un accord définitif. Elles auront alors un délai maximum de 18 mois pour concrétiser l’exploitation conjointe du transatlantique.
Mais auparavant, il faudra aussi que les autorités européennes acceptent le projet qui devrait donner aux nouveaux alliés One world un peu moins de 50% du trafic entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, et environ 25% du trafic entre l’Europe et les Etats-Unis.
Les compagnies rivales qui ont à redire sur le projet disposent maintenant de 45 jours pour faire valoir leurs arguments auxquels British Airways et American Airlines devront répondre, par la suite, dans un délai de 15 jours.
Le processus qui était déjà en place pour les joint venture d’Air France/Delta ou encore Lufthansa/United, n’a pas fait changé d’avis les autorités de tutelle américaines.
On peut donc s’attendre à ce que cette fois-ci encore, AA et BA décrochent un accord définitif. Elles auront alors un délai maximum de 18 mois pour concrétiser l’exploitation conjointe du transatlantique.
Mais auparavant, il faudra aussi que les autorités européennes acceptent le projet qui devrait donner aux nouveaux alliés One world un peu moins de 50% du trafic entre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, et environ 25% du trafic entre l’Europe et les Etats-Unis.