Les derniers attentats vont-ils accélérer la mise en place du PNR en Union européenne ? - DR : Salle des marchés Selectour Afat
Immédiatement après les attentats de Bruxelles dans lesquels 31 personnes ont été tuées et 250 autres blessées, la question du PNR (Passenger Name Record) a fait son retour à l'Assemblée nationale, en France.
Mardi 22 mars 2016, lors d'une séance des questions au gouvernement, le Premier ministre, Manuel Valls, a demandé aux parlementaires européens de "prendre leurs responsabilités" dans ce dossier.
Un message principalement adressé aux parlementaires socialistes et écologistes : "A mon tour, je le dis : il est temps de l'adopter."
C'est en effet une coalition de socialistes, de libéraux, de Verts et de la gauche qui bloque la mise en place du fichier PNR à l'échelle de l'Union européenne. Les parlementaires concernés estiment que cette mesure constitue une atteinte disproportionnée à la vie privée.
Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, partage la position de Manuel Valls. Juste après ce dernier, il a expliqué qu'il est "irresponsable de retarder le vote sur la mise en place du PNR, car sans ce vote, nous ne seront pas en situation de protéger l'Europe, face au risque terroriste."
Mardi 22 mars 2016, lors d'une séance des questions au gouvernement, le Premier ministre, Manuel Valls, a demandé aux parlementaires européens de "prendre leurs responsabilités" dans ce dossier.
Un message principalement adressé aux parlementaires socialistes et écologistes : "A mon tour, je le dis : il est temps de l'adopter."
C'est en effet une coalition de socialistes, de libéraux, de Verts et de la gauche qui bloque la mise en place du fichier PNR à l'échelle de l'Union européenne. Les parlementaires concernés estiment que cette mesure constitue une atteinte disproportionnée à la vie privée.
Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, partage la position de Manuel Valls. Juste après ce dernier, il a expliqué qu'il est "irresponsable de retarder le vote sur la mise en place du PNR, car sans ce vote, nous ne seront pas en situation de protéger l'Europe, face au risque terroriste."
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