Le groupe d’hôtellerie de luxe dirigé par Herbert Couacaud est en haut de l’affiche sur Maurice depuis un demi-siècle. Il possède 18 % du parc de l’île, a réalisé 158 M€ d’investissements depuis 1999, et affiche 144 M€ de C.A en 2006.
Rémi Sabarros, directeur France de Beachcomber Hotels, précise que l’épidémie de chikungunya, ou plutôt « la mauvaise communication à son sujet », n’a pas eu les effets négatifs redoutés sur la fréquentation. Elle est de fait en hausse de 10 % par rapport à 2005. Le taux d’occupation est de 70 %, « supérieur à la moyenne nationale ».
Une image moderne
Si l’entreprise semble se porter comme un charme, elle n’a pour autant pas l’intention de se reposer sur ses lauriers. Elle lance cet automne une campagne de communication qui s’inscrit dans l’ère du temps, adaptée tant à l’évolution des désirs de la clientèle qu’à l’évolution du marché.
La concurrence haut de gamme est en effet de plus en plus forte et « il nous fallait prendre un discours de leader », insiste Mikaël Le Luron, marketing manager. Aussi, Beachcomber a tenu à « faciliter » et non à « imposer » un modèle, et s’est façonné une image moderne, main dans la main avec l’agence Consulting Avenue.
Rémi Sabarros, directeur France de Beachcomber Hotels, précise que l’épidémie de chikungunya, ou plutôt « la mauvaise communication à son sujet », n’a pas eu les effets négatifs redoutés sur la fréquentation. Elle est de fait en hausse de 10 % par rapport à 2005. Le taux d’occupation est de 70 %, « supérieur à la moyenne nationale ».
Une image moderne
Si l’entreprise semble se porter comme un charme, elle n’a pour autant pas l’intention de se reposer sur ses lauriers. Elle lance cet automne une campagne de communication qui s’inscrit dans l’ère du temps, adaptée tant à l’évolution des désirs de la clientèle qu’à l’évolution du marché.
La concurrence haut de gamme est en effet de plus en plus forte et « il nous fallait prendre un discours de leader », insiste Mikaël Le Luron, marketing manager. Aussi, Beachcomber a tenu à « faciliter » et non à « imposer » un modèle, et s’est façonné une image moderne, main dans la main avec l’agence Consulting Avenue.
Rémi Sabarros, directeur du bureau français de Beachcomber Hotels, et Mikäel Luron, marketing manager du groupe
La campagne pub est axée sur la sensation, le feeling. Elle a pour slogan « Dream is a serious thing ». « Nous avons pris le parti d’images en close-up qui parlent d’elles-mêmes », précise Aldabert de Bagneux, directeur général de Consulting Avenue. De sorte que le message soit en rapport « avec les codes d’une vraie marque haut de gamme, et qu’il assoie les projets de la chaîne au niveau international ».
Plan média : 2,3 M. d’euros
Esthétisme des clichés, élégance des mannequins, textes poétiques. Quatre des neuf hôtels de la marque résument l’état d’esprit. Le Royal Palm suggère l’exception, le Dinarobin évoque « le ressourcement », le Paradis Hotel & Golf Club entend illustrer le dynamisme, et le Sainte-Anne Resort & Spa, l’icône du groupe aux Seychelles, invite au romantisme. L’offre de services est mise en valeur avec efficacité et sobriété, de la thématique lune de miel à l’Incentives, en passant par le mariage, la famille, le golf et le Spa.
« Les différentes annonces Beachcomber Hotels permettent de communiquer auprès d’un large public, mais également d’avoir une communication pointue auprès de niches de clientèles », se félicite Rémi Sabarros. La campagne se déclinera en B2B, « par le biais de la presse professionnelle », et en B2C, « en soutien de nos prescripteurs. » 2,3 millions d’euros seront investis dans le plan média d’octobre 2006 à septembre 2007.
Confortant par cette opération séduction sa place de leader historique sur Maurice, le géant local aux 4000 salariés entrevoit l’avenir avec sérénité. « Nous prévoyons une croissance à deux chiffres pour 2006/2007, et d’autres conquêtes géographiques », annonce Rémi Sabarros. Un second établissement verra le jour aux Seychelles, sur l’île de Praslin, en avril 2009. Il s’agira d’un 5 étoiles de 125 chambres. Beachcomber programme en outre cette année-là l’ouverture d’un complexe de 150 suites et villas au Maroc, à Marrakech, sous l’enseigne Royal Palm.
Infos : www.beachcomber-hotels.com
Plan média : 2,3 M. d’euros
Esthétisme des clichés, élégance des mannequins, textes poétiques. Quatre des neuf hôtels de la marque résument l’état d’esprit. Le Royal Palm suggère l’exception, le Dinarobin évoque « le ressourcement », le Paradis Hotel & Golf Club entend illustrer le dynamisme, et le Sainte-Anne Resort & Spa, l’icône du groupe aux Seychelles, invite au romantisme. L’offre de services est mise en valeur avec efficacité et sobriété, de la thématique lune de miel à l’Incentives, en passant par le mariage, la famille, le golf et le Spa.
« Les différentes annonces Beachcomber Hotels permettent de communiquer auprès d’un large public, mais également d’avoir une communication pointue auprès de niches de clientèles », se félicite Rémi Sabarros. La campagne se déclinera en B2B, « par le biais de la presse professionnelle », et en B2C, « en soutien de nos prescripteurs. » 2,3 millions d’euros seront investis dans le plan média d’octobre 2006 à septembre 2007.
Confortant par cette opération séduction sa place de leader historique sur Maurice, le géant local aux 4000 salariés entrevoit l’avenir avec sérénité. « Nous prévoyons une croissance à deux chiffres pour 2006/2007, et d’autres conquêtes géographiques », annonce Rémi Sabarros. Un second établissement verra le jour aux Seychelles, sur l’île de Praslin, en avril 2009. Il s’agira d’un 5 étoiles de 125 chambres. Beachcomber programme en outre cette année-là l’ouverture d’un complexe de 150 suites et villas au Maroc, à Marrakech, sous l’enseigne Royal Palm.
Infos : www.beachcomber-hotels.com